Corneille Racine Comparaison

tragi-comédie et tragédie : comparaison entre les différentes versions de la pièce ; mise au point sur « la querelle du Cid » et les reproches adressés à la pièce • Les registres : pathétique, lyrique, délibératif, épique etc. (cf. extraits étudiés) Travaux d’écriture : • Un commentaire d’un extrait de tirade ou de monologue (cf. IV, 3) • Un travail d’invention consistant à imaginer et à décrire une mise en scène A propos des sources de Corneille (à compléter par la lecture

L'affaire Corneille-Molière - Wikipédia 06/01/10 11:46 L'affaire Corneille-Molière Il existe une "affaire Corneille-Molière" depuis que le 16 octobre 1919 l’écrivain et poète Pierre Louÿs (1870-1925) annonça dans le très sérieux journal Le Temps que Pierre Corneille (1606-1684) était l’auteur des principales comédies de Jean-Baptiste Poquelin, dit Molière (1622-1673) ; autrement dit, que Corneille était, selon une pratique alors courante dans le milieu théâtral du XVIIe siècle, le prête-nom

HYPERLINK http//www.comptoirlitteraire.com www.comptoirlitteraire.com Andr Durand prsente Andromaque (1667) Tragdie en cinq actes et en vers de Jean RACINE pour laquelle on trouveun rsum puis successivement lexamen de les sources (page 3) lintrt de laction (page 7) lintrt littraire (page 14) lintrt documentaire (page 21) lintrt psychologique (page 23) lintrt philosophique (page 32) la destine de luvre (page 33) ltude de toutes les scnes (pages 39-94) Bonne lecture RSUM Acte I Scne 1 Spars par

Fiche de révision bac françaisPrincipaux genres littéraires : · La poésie : C’est un genre littéraire très ancien, aux formes variées, écrit généralement en vers mais qui admet aussi la prose. Elle permet d’évoquer la réalité de façon créatrice à travers le langage en exaltant la beauté.· La littérature d’idées : Elle désigne tout écrit dans lequel les ressources de la littérature sont au service de l’argumentation. Elle permet de défendre le point de vue de l’auteur sur une question ou une polémique

b - L’anaphore (ou reprise) a - L’accumulation b - La gradation L’hyperbole (ou amplification) • Un cortège de souffrance, de deuil, d’espoir, de joie et de peur. • Plus méchant, plus laid, plus immonde. « Va, cours, vole... et me venge. » CORNEILLE • Adorer un mets. • Mourir de faim / de froid / de peur. • Dire mille fois. • Coûter une fortune. • Couper les cheveux en quatre • Prendre ses jambes à son cou. « Mon premier film était si nul qu’aux Etats-Unis, dans sept Etats, on l’a utilisé pour

Charles Perrault de son poème Le Siècle de Louis XIV dans lequel il proclame la primauté de la littérature du temps s’engage une polémique. Les partisans de la suprématie antique se recrutent surtout à la Cour et dans la génération classique (Boileau, Racine, La Fontaine, Bossuet, La Bruyère). Leurs adversaires sont plutôt des auteurs jeunes (Charles Perrault, Fontenelle), des mondains et des amateurs de genres nouveaux (opéra, contes, romans). Vers 1700 l’antagonisme s’apaise, sans victoire nette. Un

de Jean Racine mise en scène, dispositif scénique et chorégraphique de Faustin Linyekula Assistant à la mise en scène, Maurice Papy Mbwiti Musique, Flamme Kapaya avec Bruno Raffaelli, Arsace, Phénice et Paulin Céline Samie, Antiochus Bakary Sangaré, Titus Shahrokh Moshkin Ghalam, Bérénice Coproduction : Comédie-Française, Studio-Théâtre, théâtre2gennevilliers-Centre Dramatique National de Création Contemporaine. spectacle créé du 26 mars au 7 mai 2009 au Studio-Théâtre de la Comédie-Française.

dans une société de plus en plus étouffante. III) Les grands genres du classicisme Le génie classique se manifeste surtout dans le genre théâtral, avec Molière. La comédie lui permet d’analyser la société et les travers de l’homme. Le Cid, de Corneille a permis l’élaboration des règles pour améliorer ce genre. Quant à la tragédie, elle s’inspire essentiellement de l’Antiquité gréco-latine. Elle est régie par la règle des trois unités : une action unique, concentrée en un jour, et en un seul lieu

répétition [graphique] la figure dérivative répétition consistant à utiliser dans une même phrase deux mots ayant la même racine « Ton bras est invaincu, mais non pas invincible » — Corneille, Le Cid [rythmique] l'isocolie [stylistique] répétition d'une cadence sur plusieurs segments de phrase « Quitté de mes compagnes, je me reposai au bord d'un massif d'arbres : son obscurité, glacée de lumière, formait la pénombre où j'étais assis. » — Chateaubriand, Mémoires d'Outre-tombe, 1re partie

en fonction des époques et des auteurs. Ces lectures feront l'objet d'échanges et d'exposés. Elles pourront prendre deux formes : -des lectures complémentaires, à partir des extraits étudiés. Il s'agira de passages courts, faisant l'objet de comparaisons immédiates avec les lectures analytiques. -des oeuvres complètes, tirées en partie de la littérature de jeunesse, mais surtout d'un fonds culturel commun, susceptible d'éveiller la sensibilité des élèves, d'enrichir leurs références et d'augmenter