Cosmogonie

mystique en disant que « les gens ont inventé l androgyne pour expliquer les choses qui échappent à leur entendement. » L’androgynie de l’ancêtre mythique ou de l’Homme Primordial est le plus souvent la reproduction de celle des dieux des cosmogonies antiques ou du divin des doctrines gnostiques, kabbalistiques ou théosophiques. De même, la dégradation de cet état premièr est conçu tant dans le paganisme platonicien que dans le mysticisme chrétien comme la punition infligée par les dieux ou

philosophie, dans son acception occidentale., pourrait donc se résumer en ceci : d'une part, elle désigne un ensemble de spéculations personnelles sur des données objectives telles que des points de vue interrogatifs ou discursifs sur la cosmologie, la cosmogonie, la vie et les hommes ou des points de vue sur l'expérience scientifique à une époque donnée ; d'autre part, elle désigne et implique à la fois des principes méthodiques et des éléments de base d'une science quelle qu'elle soit. En raison de sa

de la Recherche. La matière renvoie aux qualités sensibles qui sont des signes véridiques qui nous donnent une joie extraordinaire, des signes pleins, affirmatifs et joyeux. LA MER L’une de ces qualités c’est la mer, élément essentiel de la cosmogonie, symbolise la dynamique de la vie et de la mort. Lieu des naissances, des transformations, des renaissances, la mer implique un état transitoire entre des réalités vivables et des mondes possibles, une situation d’ambivalence et de doute dont l’aboutissement

union de l’homme avec l’homme, de l’homme avec le cosmos, de l’homme avec Dieu ».En effet, dans différentes pratiques culturelles et religieuses, il y a cette volonté de communiquer avec le surnaturel en particulier avec Dieu. Par exemple, dans la cosmogonie africaine, le seul moyen de construire un pont avec l’Etre-Suprême (Dieu) étant à la fois immanent et transcendant est la danse. C’est pour cette raison qu’en Afrique, une grande partie des danses sont sacrées. Pour chaque circonstance, il existe

de quoi que ce soit: ni de la terre, ni des animaux, ni des végétaux. Pour eux, la pensée a créé la matière. Ils disent que les pensées ont un pouvoir. L’art, la religion, la guerre, la chasse, l’amour et la mort étaient régis par le sacré. La cosmogonie insulaire des maoris est concentrique. L'organisation de leur village et celle des communautés divines est elle aussi conçue en cercles concentriques. La déesse Ragi-Pô avait accordé au grand guerrier Honoura le droit de visiter son royaume. Il

mystère et l’ineffable par excellence ; lorsque le surnaturel et le subnaturel se confondent, et que le divin apparait comme la seule réponse au pourquoi y-a-t-il quelque chose plutôt que rien ? L’onto-théologie s’enracine dans le quid de toutes cosmogonies et cosmologies. Nonobstant, au « pourquoi » de la nature, le « comment » s’explicite par des arguties métempiriques. Au-delà de la causalité déterministe des phénomènes, la pensée humaine a cette faculté de poser le premier principe à l’enchainement

butte émergeant de l’eau. Ces couples sont chacun composé d’un élément et de sa parèdre : Noun et Naunet, l’océan primordial, Het et Hehet, l’eau qui cherche sa voie, Kekou et Keket, l’obscurité, Amon, le dieu caché et Amaunet. La troisième cosmogonie est connue par un document unique et tardif (règne du souverain kouchite Chabaka à la charnière du VIIe et VIe siècle av. JC). Il s’agit d’une dalle en granit provenant du temple de Ptah à Memphis et conservée au British Museum. Elle combine les

naître un tel discours en étant capables de rompre avec les explications mythiques qui étaient en vigueur. Ceux que l’on appelait les présocratiques ont construit le discours philosophiques en étant capables de se départir de la théogonie, de la cosmogonie, de l’anthropogonie dont la culture grecque étaient pourtant riche. M.A Rey dans son ouvrage la jeunesse de la Science grecque montre bien l’importance de cette rupture : « voici le grand tournant, après les premiers balbutiements, les longues hésitations

penser » (Fin de citation) («Cf. Le peuplement de l’Egypte ancienne et le déchiffrement de l’écriture Méroïtique », p. 87). Serge Sauneron l’avait déjà noté au sujet de la religion, quand il était frappé par les similitudes entre la cosmogonie égyptienne et la cosmogonie Dogon. Commençons par les plus évidents. Les coiffures féminines sont les plus flagrantes. Les fameuses tresses, dites parfois à tort rasta ou chevelure nattée, par le rajout éventuel de mèches artificielles en matières végétales

trouve dans les ouvrages dédiés de Diop[45]. La méthodologie de comparaison de Diop est rejetée par des linguistes modernes, comme Russell Schuh[46]. Par la culture spirituelle [modifier] Cosmogonie [modifier] Selon Cheikh Anta Diop[47], la comparaison des cosmogonies égyptiennes avec les cosmogonies africaines contemporaines (Dogon, Ashanti, Agni, Yoruba[48], etc.) montre une similitude radicale qui témoigne selon lui d'une commune parenté culturelle. Il avance une similitude du Dieu-Serpent