Coso Fraude

2013 Formation à la lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme Cas pratiques Etudes de cas par activité bancaire N° cas Thème Application 1 Batiraval SARL Cas de fraude aux organismes sociaux Banque de détail Entreprises - Professionnels 2 Société Despertes Cas de fraude fiscale Banque de détail Entreprises - Professionnels 3 Food Trading SA Cas d’abus de bien social Banque de détail Entreprises 4 Société Connectic Cas d’escroquerie à la TVA Banque de détail

Test sur l’évasion fiscale 1. Expliquez brièvement comment fonctionne l’évasion fiscale « légale » ? 2. Quel est le taux réel moyen d’imposition des grandes entreprises du CAC 40 ? 3. Quel est le taux réel moyen d’imposition des PME en France ? 4. Au début du film, une petite animation évoque les dépenses budgétaires financées par les impôts. Citez en 5. 5. Citez 4 grands groupes français qui pratiquent légalement l’évasion fiscale. 6. Citez 5 paradis fiscaux. 7. Qu’est-ce qu’une société « offshore » 

autre côté, l’impôt exprime la grandeur du contribuable, invité à le consentir directement ou par ses représentants et bénéficiaires. Le contribuable insatisfait par cet impôt et voulant le réduire, l’éviter, le contourner, a recours parfois à la fraude fiscale, qui implique une violation intentionnelle de la loi, ou à l’évasion qui est l’utilisation de la loi pour minimiser le coût fiscal des opérations. On s’accorde à penser que cette pratique est légitime; par exemple choisir d’utiliser les allègements

MISE EN SERVICE DU PROJET 1 / Réalisation de l’opération de vote 7.1. Ouvrir la séance de vote par le président 7.2. S’assurer de l’identité de l’électeur selon la liste des électeurs 7.3. Fournir enveloppes et bulletins aux électeurs 7.4. Constater devant les électeurs présents que l’urne est fermée et dont les clés sont remises, une au président du bureau de vote et l’autre au plus âgé du bureau prédéfinis 7.5. réalisation du vote par l’électeur 7.6. Clôturer le scrutin

qualité de traitement des dossiers, sur la base d’une démarche introduisant la notion de prise en compte du risque. Cette démarche qui est utilisée également dans la programmation des vérifications en vue d’un meilleur ciblage dans la lutte contre la fraude fiscale, est fondée sur l’analyse du comportement fiscal des entreprises concernées, au titre d’une période significative. La notation (scoring) qui découle de cette opération fait intervenir différents paramètres pour classer les entreprises en

l’administration fiscale prononce une majoration = PROCEDURE DE REDRESSEMENT ; ex. sanction pénale : en cas de fraude fiscale, l’administration fiscale saisit le Procureur de la République et le juge judiciaire prononce soit des sanctions financières en cas de mauvaise foi du contribuable (fraude fiscale simple) = PROCEDURE DE REPRESSION, soit des sanctions pénales en cas de fraude fiscale complexe = PROCEDURE CONTENTIEUSE). B. La procédure d’imposition ❖ La procédure d’imposition

pr problème de surconsommation. Aspect 1 : Droits fondamentaux de l’Homme en Europe et en Asie * Sous-aspect 1 : Droits fondamentaux = pas respectés en Chine : -Peine de mort : -8000 exécutions/an, 68crimes passibles de peine de mort (ex : fraude fiscale ou contrebande) -Répression sur Internet +ds les médias : -centaines de sites = bloqués + interdits. Bcp d’emprisonnement de journalistes et internautes à cause de leur opinion. -Procès inéquitables : -avocats = pas disponibles –mauvais

Cas général Déclaration de soupçons uniquement à l’initiative de l’établissement qui doit expliquer les raisons de cette déclaration. Ils sont tenus de déclarer à TRACFIN les sommes ou les opérations qu’ils soupçonnent. viii. Cas de la fraude fiscale Il faut, pour une déclaration de soupçons, qu’il y est un des critères défini par décret. Quelques exemples : * Retraits fréquents d’espèces d’un compte professionnel non justifié par l’activité économique. * Refus du client de produire

prix s’avère très élevé pour les budgets des Etats dans l’Union européenne. On peut souhaiter que la volonté affichée des institutions européennes, à partir de cette prise de conscience récente, de renforcer leur coopération pour lutter contre la fraude fiscale se concrétise effectivement. De même, celle de mieux se coordonner en vue de mettre fin à certaines pratiques complaisantes, qui, sous couvert de concurrence, créent in fine de réelles distorsions. Mais les risques de contournement impliquent

Tracfin (Traitement du Renseignement et Action contre les Circuits Financiers clandestins) les sommes ou opérations dont ils soupçonnent qu’elles proviennent du blanchiment de capitaux, participent au financement du terrorisme ou proviennent d’une fraude fiscale (C. mon. fin. art. L 561-15 nouveau). Lorsqu’ils interviennent pour un même client et dans une même transaction, les professionnels peuvent s’informer mutuellement de l’existence et du contenu de la déclaration de soupçon (C. mon. fin. art