Coté Divertissant Apologue

les luttes sociales, dénonciation de la guerre, les utopies...). "apte à" = donc l'aptitude, les moyens littéraires, sans préjuger de leur efficacité. "sous toutes ses formes" = afin de parfaire le panel, un petit tour du côté de votre cours s'impose (essai, dialogue, apologue, lettre etc.). On réfléchira à la problématique du sujet pour chacun. Enfin, un filtre intéressant sera de mesurer chacune des postures d'argumentation, et notamment, "convaincre", "persuader" : quels moyens se donnent-elles

en plusieurs genres tels que la fable, le conte philosophique, le conte, l'utopie. L'apologue est une forme argumentative qui a pour but de convaincre le lecteur, de le faire réfléchir, pour cela l'auteur joue sur l'implicite et le lecteur, de son côté, "croit" à sa liberté d'interprétation et de jugement. Pour s'assurer de l'efficacité de l'implicite et des "bons choix" du lecteur, l'auteur met donc en place des stratégies de persuasion pour le séduire. Toutefois la complexité des moyens utilisés

Fleurs du mal font partie des « classiques » de la poésie française. Le recueil, ouvert par la section « spleen et idéal » dont est extrait le poème « Don Juan aux enfers », est dominé par une double tendance : l’idéal et l’élévation vers la Beauté d’un côté, le spleen et la noirceur de l’autre. Ici, le texte joue d’emblée sur un effet d’intertextualité déroutant : le poème met en son cœur une figure dramatique, empruntée au théâtre classique, Dom Juan. On y reconnait cependant la marque baudelairienne

lecteurs dans ses œuvres, il souhaite leur apporter un enseignement, dont ils pourront plus tard se servir. Le géant Sirius dans son conte Micromégas l’affirme : « je ne veux pas qu’on me plaise…, je veux qu’on m’instruise. » Voltaire écrit des apologues dont on pourra tirer une morale, et il met pour cela en scène un « messager », et c’est exactement ce que l’on retrouve dans Memnon ou la sagesse humaine. Mais Voltaire a-t-il voulu uniquement nous délivrer un enseignement dans ce conte ? N’a-t-il

que la violence prend le dessus sur la réponse. II. La lecture analytique 1. Introduction a. La contextualisation : Comme deux auteurs avant lui, le Grec Esope et le Latin Phèdre, Jean de La Fontaine fut l’auteur de ces apologues aux récits divertissants, aux êtres de caractères et à la portée didactique. Au XVIIe siècle cet auteur, un temps protégé de Louis XIV, rassembla des fables dans deux recueil publiés en 1668, en 1678 et réunis en 1693. Versifiées, adaptés des auteurs antiques

spectateur est amusé par la pièce, il ne va donc pas penser à ce qu'elle implique de plus profond sur le moment mais il va enregistrer toutes ses informations inconsciemment et plus tard quand il sera sortit du théâtre en pensant avoir passé un moment divertissant il sera amené à se poser des questions sur ce qu'il a vu. Ou encore un spectateur qui est opposé aux idées de l'auteur n'irait pas voir la pièce si la leçon était trop évidente. Le rire est donc un moyen pour l'auteur de duper le spectateur en

écrit 3 recueils de fables sur 30 ans et en 1668, il dédie ses fables au dauphin et affiche clairement son intention didactique. Il reprend des fables attribuées à Esope pour éduquer le jeune prince pour la découverte des vérités contenues dans ces apologues. Dans la 22ème fable, il reprend la fable d’Esope en étoffant le récit et en utilisant une forme diversifiée. 1er axe : Récit plaisant 2ème axe : la leçon d’un moraliste 1er axe : • Forme du texte - Vers hétérométriques : alexandrins et octosyllabes

lecteur. La présence de fée, d’ogre et le cadre médiéval stimule l’imagination du lecteur. Mais ces contes instruisent autant qu’ils plaisent. C’est pourquoi à la fin de chacun d’eux on retrouve une morale qui récapitule clairement ce que le conte en divertissant le lecteur a voulu montrer. Par exemple la morale de « la belle au bois dormant » récapitule bien le fait qu’il vaut mieux attendre le bon mari que d’en épouser un qui ne nous rendra pas heureux, dans le récit la princesse a attendu cent ans

les dechiffrer. C'est des lors que nous nous interrogeons sur la question suivante, l'apologue est-il la forme d'argumentation la plus efficace pour faire adhérer autrui a nos theses? Nous repondrons a cette question en etudiant la magie du dit-apologue et ce qu'il vaut comparer aux autres formes d'argumentation. PARTIE 1:La magie de l’apologue A. L’enfantin, le reve : L'apologue a cette particularite d'etre un nid a reve, ou se lotissent des histoires chimeriques . Une magie qui se tisse dans

vérifié qu'il ne lui soit rien arrivé. Nous montrerons de quelles manière l'auteur met il en valeur sa conception du bonheur à travers l'amitié. Dans un premier temps nous analyserons le côté entreprenant et distrayant de la fable puis en second lieu nous aborderons le concept de l'amitié dans cet apologue. La fable est construite sur un schéma classique avec un schéma narratif des plus complet qu'il soit : situation initiale (v1 à v4) avec le cadre spatio-temporel « au Monomotapa », l’élément