Cour d'appel de Grenoble

 divorce  ;  qu'ʹelle  a  obtenu  une  indemnité   pour  brusque  renvoi  mais  a  été  déboutée  de  sa  demande  en  réparation  du  dommage   résultant  du  caractère  abusif  de  son  licenciement.       Attendu  qu'ʹil  est  fait  grief  à  la  Cour  d'ʹappel,  statuant  sur  renvoi  après  cassation,  d'ʹen   avoir   ainsi   décidé,   alors   que,   selon   le   pourvoi,   d'ʹune   part,   est   fautif   le   licenciement   motivé   par   l'ʹexercice,   dans   le   cadre   de   la   vie   privée

par exemple : Cass. 3 civ., 6 mai 1980 ANNEXE 6 ne bénéficient pas de cette perpétuité, seuls les délais de prescription « ordinaires » peuvent en bénéficier. D’autre part, alors même qu’il s’agit précisément d’un délai ordinaire de prescription, la Cour de cassation écarte toute forme de perpétuité de l’exception de nullité, lorsque le contrat a été déjà partiellement exécuté pour une raison re re e quelconque. (Cass. 1 civ., 9 novembre 1999, Cass. 1 civ., 13 mars 2001, Cass. 3 civ., 10 mai 2001,

demander si une telle clause ne risque pas de générer au profit du bailleur « un droit de regard et d'ingérence dans la vie privée du preneur » (Paris, 6 ch. B, 5 févr. 1988, D. 1988. IR 59). De manière constante, la troisième chambre civile de la Cour de cassation considère que le droit dont dispose le preneur de mener une vie familiale normale l'autorise à héberger ses proches. Mais encore convient-il de savoir ce qu'il faut entendre par « héberger ». Tel est l'intérêt de cette décision qui permet

temps changent et les mœurs évoluent. On en vient donc à s’interroger sur le sort du devoir de fidélité, quand est-il de sa portée ? On note en effet qu’au travers de nombreuses décisions des juges aux affaires familiales et de la jurisprudence de la Cour de cassation que la portée du devoir de fidélité s’est quelque peu affaiblie, notamment en raison de la loi du 11 juillet 1975 qui vient supprimer le délit pénal d’adultère. En effet, avant 1975 la sanction pénale du délit d’adultère était plus forte

dont le contrat a été résilié ne peut prétendre à une indemnité compensatrice. Ayant énoncé que le concédant peut résilier le contrat sans donner de motifs, sous réserve de respecter le délai de préavis et sauf abus du droit de résiliation, la cour d'appel a relevé que le concessionnaire ne rapportait pas la preuve que le concédant l'aurait contraint à exposer d'importants frais d'investissements et, qu'au contraire, il y avait procédé spontanément pour remédier aux résultats très inférieurs aux

tour-opérateur en justice pour réparation des préjudices subis. L’affaire est portée devant le Tribunal de Grande Instance de Paris. Le tribunal conclut à la non-responsabilité du tour-opérateur ; les victimes font appel de la décision. En appel, la Cour va rappeler très fermement et interpréter strictement les textes qui étaient applicables au moment des faits, c’est à dire la loi de 1975 et l’arrêté de 1982. Il n’est donc pas fait application de l’article 23 de la loi du 13 juillet 1992 qui n’est

être assimilée à un intérêt légitime. Toutefois, cette notion d’intérêt légitime est appréciée de manière subjective par les juges. Il s’agit d’une appréciation souveraine des juges du fond sous le contrôle de la Cour de cassation. Ainsi, dans l’affaire « Mégane Renault », la cour d’appel de Rennes, le 4 mai 2000, a accepté l’association du prénom Mégane et du nom Renault. Même s’il s’agissait dans cet arrêt d’une contestation relative à l’attribution d’un prénom et non pas d’une demande de changement

d'autre part a voulu maintenir le droit moral des| |victimes à agir au pénal. Il en résulte un imbroglio où, d'un côté la Cour de cassation (41) considère, à juste titre, que celui qui a | |reçu une indemnisation intégrale n'a plus « intérêt à agir » en réparation pour les mêmes préjudices devant une autre juridiction, et | |d'un autre côté le Conseil d'Etat appuyé par la Cour européenne des droits de l'homme, pour lequel la victime intégralement indemnisée | |par une voie, peut toujours tenter

Barot ouvre le site académique de Rouen : nombreux travaux : la condition féminine en France, le travail des enfants, fiches méthodes, ressources pédagogiques pour le programme de terminale : http://www.ac-rouen.fr/pedagogie/equipes/ecjs/Site_ECJS/ A Grenoble : nouvelle étude :" le sang contaminé", E. David, lycée Champollion. http://www.ac-grenoble.fr/ecjs/ Ne pas oublier la presse ! Il est impossible de citer tous le titres ! file://E:\EMA 2008\ECJS terminale.htm 10/03/2008 ECJS terminale

européen. Le droit Européen tient une place extrêmement importante. Les instances européennes ont beaucoup légiféré sur la législation du travail. On doit être en conformité avec le droit européen. Rien ne nous empêche d’évoquer des décisions de la cour européenne de Justice ou des décisions du conseil de l’Europe car on est membre de la communauté européenne. Droit européen : * libre circulation des travailleurs et de sa famille * égalité professionnelle * protections sociales équivalentes