Cour d'appel de Grenoble

Réponse donnée par la cour de cassation : non cet avis n’est pas valable parce qu’il ne respecte pas les dispositions prévues par l’article 4, cette dame aurait dû être nommé sous son nom de jeune fille. Appréciation de l’arrêt : on peut critiquer l’arrêt rendu par la cour de cassation parce que dans la vie de tous les jours les femmes mariées sont désignés sous leur nom d’épouse. Il y a une divergence jurisprudentielle : la première chambre et la troisième chambre de la cour de cassation n’applique

l'art. 144, 75, 108, 264 et 306. Le tribunal va par la suite s'attacher à montrer en quoi la législation française par cette condition de distinction des sexes ne s'opposent pas au droit européen. Ainsi le tribunal va s'appuyer sur un arrêt de la Cour Européenne des Droits de l'Homme, énonçant clairement que la condition de distinction des sexes ne contrevenait pas à l'art.12. Au contraire, les juridictions européennes laissent une liberté totale aux législations des Etats membres dans la codification

autre, et la cour d'appel de Bastia considéra que la responsabilité pénale était transmise à la société absorbante. Ce qui justifiait cette solution, c'était le fait d'une transmission universelle des droits, biens et obligations. Sans doute, il y a bien succession universelle, mais l'héritier s'il répond des dettes même non fixées dans leur montant ne répond pas pénalement. Aussi bien, la Cour de cassation, par un arrêt du 20 juin 2000 (Bull. n° 237) a censuré la décision de la cour d'appel. On observera

TD de droit civil : L’objet et la cause Document 1 : Analyse de la décision rendue par : l’Assemblée plénière de la Cour de Cassation En date du : 29/10/2004 Faits : M.X, décédé le 15/01/1991, avait désigné Mme Y légataire universelle par testament authentique du 04/10/1990. Mme Y a introduit une action en délivrance du legs, entrainant la demande d’annulation de ce legs par la veuve du testateur et sa fille Mme X. Procédure : Le sens du jugement rendu en 1e instance, et de l’arrêt

telle action a-t-elle des chances de prospérer ? Quelles atteintes est-il possible de soulever dans le présent cas ? L’article 6 du code civil, dispose d’une garantie contre l’atteinte à la vie privée, le 20 décembre 2000, 1ere chambre civile de la cour de cassation rend un arrêt sur l’atteinte à la dignité de la personne humaine consistant dans la publication d’une photographie d’une personne assassinée gisant sur la chaussée. C’est pour cela qu’une telle action à des chances de prospérer, les atteintes

de mariage au procureur, M. Naimi a été interpellé puis expulsé de France avant que le mariage ait pu être célébré. Presse : Le Monde, 26 mars 2009, « Des soutiens aux sans papiers demandent à être poursuivis » (en annexe). Condamnations 2) Cour d'appel de Nîmes, 23 aout 2005 : Hébergement d'un amant étranger en situation irrégulière – condamnation à 1000 euros d'amende 3 Extrait de l'arrêt : « Attendu que M. V. ne conteste pas avoir hébergé à son domicile, à Avignon, pendant, selon lui 4

Commentaire d’arrêt du 20 Janvier 2009 Par un arrêt en date du 20 janvier 2009, la troisième chambre civile de la Cour de Cassation a dû se prononcer sur la démolition d’un mur résultant d’un empiètement sur le terrain d’autrui. En l’espèce, des époux avaient décidés d’acquérir une propriété tout en ayant connaissance de l’existence d’un empiètement minime sur celle-ci. Par la suite, ces époux ont souhaités entreprendre d’importants travaux en limite de propriété impliquant des interventions

panneaux disposés par l'exploitant du télésiège.  Procédure : La Cour d'appel de Montpellier, dans son arrêt du 30 novembre 1995, suivie en cela par la première chambre civile de la Cour de cassation le 10 mars 1998 (Bull. civ. no 110 p. 73,Petites Affiches du 2 octobre 1998, note F. Gauvin), avait retenu une obligation de moyens à la charge de l'exploitant, en considération du rôle actif de l'usager. La résistance de la Cour d'appel de Nîmes, dans son arrêt du 2 novembre 1999 qui retient une obligation

Cour de cassation, chambre civile, 1er novembre 1981 Un musulman d’Algérie avait perdu la nationalité française à la suite de l’indépendance de ce pays, faute d’avoir souscrit à l’époque la déclaration qui lui eût permis de la conserver. Ayant par la suite épousé une Française et vivant en France, il souhaitait reprendre la nationalité française. Mais comme son mariage était antérieur à la loi du 9 janvier 1973 il ne pouvait bénéficier de l’article 37-1 du code de la nationalité qui permet

 Commentaire de la décision de la 1ère chambre civile de la cour de cassation du 3 juillet 1996 « Si le contractant s'engage, ce n'est pas seulement pour obtenir que l'autre s'oblige de son côté. Les deux obligations corrélatives ne sont qu'un premier stade destiné à préparer le résultat définitif qui est l'exécution des prestations promises ». Selon Henri Capitant, la cause de l'obligation dans les contrats synallagmatiques ne serait pas seulement l'obligation de l'autre