Cour De Cassation 1ere Civ 3 Juillet 1996

ce dernier forme un ensemble très vaste (qui comprend notamment le droit patrimonial de la famille et aussi le droit des obligations). On peut dire en faite que le droit des biens et le droit des obligations constitue la base du droit patrimonial. À 1ere vue, les biens ce sont les choses au sens où le langage courant les entend. Toutes les choses dans leur infinie diversité mais pour le juriste les biens sont appréhendés sous l’angle des droits que les personnes détiennent sur eux. Ils sont objets

civile de la Cour de cassation française Présentation des instruments internationaux de coopération concernant l’enfance : conventions de la Haye sur les déplacements illicites d’enfants et sur l’adoption internationale, Bruxelles II bis La convention internationale des droits de l’enfant (CIDE) est un texte auquel les conventions de La Haye : Sur la protection des enfants et la coopération en matière d’adoption internationale du 29 mai 1993 et la convention de La Haye du 19 octobre 1996 sur la compétence

famille | | | | | |1ère année Licence Droit. Série 2 | | |2010-2011 |

traités est signée le 23/05/1969 (codification du droit coutumier relatif aux traités). Elle n’est entrée en vigueur que le 27/01/1980. Les traités sont sources de droit international. Par ailleurs, l’Art 38 du statut de la Cour International de Justice dispose que : « La cour applique notamment les conventions internationales soit générales, soit spéciales établissement des règles expressément reconnues par des Etat en litige ». Selon la conception dualiste, la norme internationale doit être reçue

des séparations judiciaires et du peu de temps qui nous est imparti pour faire le tour des principaux thèmes du droit de la famille, seule la question du divorce sera ici traitée. Principes directeurs du droit du divorce C’est la loi du 11 juillet 1975 qui a posé les grands principes du droit contemporain du divorce. Ces principes ont été repris et développés par la loi du 26 mai 2004 et s’organisent autour de trois idées : Libéralisation : l’idée progresse que ce n’est pas au droit

Semestre 3 Introduction Générale Section 1 : Les obligations §1 : la notion d' obligation. Définition obligation : terme de vocabulaire courant qui est utilisé en droit mais dans un définition plus étroite. → sens courant : devoir quelqu'en soit la source, qu'elle soit morale, religieuse, sociale etc... → sens droit : le droit ne reconnaît pas toutes les obligations qui ont une portée sociale. Obligation = verbe « ligare » => lier => lier en vue de quelque chose. 1ere acception

débiteur, l’obligation constitue un élément du passif. {text:soft-page-break} Un lien personnel L’obligation va lier 2 ou plusieurs personnes. C’est donc un droit personnel par opposition aux droits réels (droits sur une chose). Il y a alors 3 conséquences : Le créancier n’a de droit qu’à l’égard de la personne du débiteur, il n’a pas de droit direct sur les biens de son débiteur pris individuellement. En revanche, le créancier a un droit sur le patrimoine du débiteur en cas d’inexécution

suivants : maladie, incapacité de travail, décès chômage. La retraite ne fait pas partie de la prévoyance, mais elle fait partie des garanties collectives. L’adhésion des salariés peut être obligatoire ou facultative. Le régime de prévoyance relève de 3 organismes : - les mutuels relèvent du Code de la mutualité : l’adhésion n’est pas obligatoire, sauf quand l’entreprise a signé un contrat de groupe. - les sociétés d’assurance relèvent du Code des assurances (facultative ou obligatoire). - les institutions

personnes visées, le code civil ne s’intéresse pas à la famille en tant qu’objet mais dans le mécanisme qui constitue la structure de la famille. La doctrine s’est chargée de définir la famille, n’en ayant pas une légale. Cette doctrine l’a défini en 3 cercles : * La famille au sens large : toutes les personnes unies par le mariage ou la filiation, la parenté ou l’alliance, c'est-à-dire tout ceux qui descendent d’un ancêtre commun * La famille au sens étroit : ce sont les personnes qui vivent

en cause par la législation du pacs qui prévoit des disposition propre au concubin ayant contracté à ses semblables à celle du régime primaire. La cour de casation veille à sanctionner les applications par anologie des règles du régime matrimonial au concubin (civ 1ère 11 janvier 1984, gazette du palais 1985 1ère partie p.133 et civ 1ère 2 mai 2001 1ère partie numéro 111). Le mariage impose le régime primaire quelque soit le régime matrimonial choisi et aucune convention matrimonial ne peut y déroger