Cour De Cassation 1ère Chambre Civile

l'espèce, dans cet arret du 14 mai 1996 rendu par la 1ère chambre civile de la cour de cassation, un particulier achète un lot de tuilé à une Société en février 1979 en vue de restaurer sa maison et découvre par la suite que ces tuiles présentaient des désordres. 6 ans après l'achat du lot de tuiles, il obtient désignation d'un expert en référé, qui à la suite d'un rapport, affirme que les tuiles présentant des désordres imputables à un vice de fabrication, devaient être totalement remplacées. L'acheteur

LE RÔLE DE LA CAUSE DANS L’EXECUTION DU CONTRAT. Visée par les articles 1108 et 1131 et suivant du code civil, la cause peut dans une première approche être défini comme la raison d’être de l’engagement des contractants. La notion de cause a été l’objet de vives controverses doctrinales qui puisent leurs racines dans l’histoire. Le droit romain classique ignorait en effet ce concept, du fait de son caractère formaliste. Il fût introduit tardivement pour permettre à une des parties d’obtenir restitution

prononcer des dommage et intérêts à titre d’exécution du contrat par équivalent (et non pas en nature). Cette controverse est avant tout théorique et, malgré son intérêt, elle n’a pas d’incidence pratique. Si le Code civil ne parle pas de responsabilité contractuelle, la Cour de cassation fait explicitement référence à cette notion. La responsabilité contractuelle entre en jeu lorsque l’exécution forcée du contrat est impossible, soit que la loi interdise cette exécution forcée[1] soit que cette

une source de droit, mais il faut qd même nuancer, les décisions de justice des juridictions suprêmes ont une force de pvr. D'ailleurs, la cour de cassation impose de + en + ses solutions, tant aux juges de fond que aux praticiens. La jurisprudence modèle, modifie et complète la loi de sorte qu'elle s'incorpore à celle-ci. La jurisprudence de la cour de cassation a pour rôle d'uniformiser l'interprétation du droit sur le territoire national. La jurisprudence peut également inspirer le législateur

TD 1 commercial Com. 6 mars 2012 Pourquoi on dépose une QPC ? porte-t-elle atteinte ? Une partie devant une instance en cours. Dans un seul cas, on ne peut pas déposer de QPC : la cour d’assises. 3 conditions : -absence de déclaration préalable de conformité : le conseil constitutionnel ne s’est pas encore prononcé sur cette question. -caractère sérieux de la question -applicabilité dans le litige en cours : la disposition législative en cause doit être applicable au litige. Condition

mars 2006 : la Cour d'appel de Versailles rend un arrêt en faveur de Monsieur X sur le fondement que les énonciations des statuts contractualisés du 8 avril 1999 permettaient en apparence à Monsieur X de croire que son statut serait aligné sur celui des anciens agents, et que cette possibilité n'était jamais évoquée ni dans les lettres des 15 février 1999 et 19 mars 1999, ni dans le contrat du 8 avril 1999. -Date inconnue : Les sociétés Mutuelle du Mans forment un pourvoi en cassation. -le 12 juillet

Cet arrêt de la Cour de cassation, 1ére chambre civile, du 3 mai 2000 cassé la décision rendue par la cour d'appel concernant l'obligation d'information sur l'acheteur. Dans ce cas, Mme Y a vendu des photographies de Baldus pendant des enchères publiques en 1986 pour un prix de mille francs chacune. Trois années plus tard elle a retrouvé M. Z, le même acquéreur des photographies, et lui a vendu quelques autres photographies au même prix. Elle a découvert que Baldus était en photographe très bien

DROIT CIVIL. Commentaire d’arrêt : plan bateau : sens, valeur, portée. On doit revenir sur la solution rendue au moins 2 fois par page. INTRODUCTION. La notion d’obligation : une obligation (droit personnel ou droit de créance) est un lien personnel entre deux personnes à la différence des droits réels qui consistent un droit entre une personne et une chose. C’est un lien personnel qui va obliger le débiteur soit à faire quelques choses ou à ne pas faire quelques choses (ne pas faire) ou a transmettre

une obligation imposée à un contractant de garder et surveiller une chose. Pouvoir de contrôler et de direction sur une chose que l’on utilise. Ce pouvoir est une chose que l’on utilise. Ce pouvoir est une condition d’existence de la responsabilité civile du gardien si la chose est à l’origine d’un dommage. Contradictoire : C’est un principe naturel de l’instance de vertu duquel toute personne doit être informée de l’existence d’une instance engagée contre elle et doit être en mesure de discuter

Code Civil précise que le corps humain est inviolable. De ce fait une personne ne peut être obligée de subir une intervention chirurgicale, ni même subir un préjudice financier si elle refuse de s’y soumettre. C’est ce raisonnement qu’à suivi la deuxième Chambre Civile de la Cour de Cassation dans un arrêt du 19 juin 2003 en précisant que la victime n’est pas tenue de limiter son préjudice dans l’intérêt du responsable. Cette jurisprudence a été confirmée par un arrêt de la 2ème chambre civile en