Cour De Cassation Du 16 Septembre 2010

Dans ces 2 théories, la responsabilité n’a plus pour seul fondement la faute, mais aussi le risque. La faute est un fondement subjectif. Le risque est un fondement objectif. Influence de cette théorie * Jurisprudence. Dans un arrêt Teffaine du 16 juin 1896 les juges ont eu une lecture très extensive de l’article 1384 al 1 du Code civil qui énonce que "On est responsable non seulement du dommage que l'on cause par son propre fait, mais encore de celui qui est causé par le fait des personnes dont

Détail d'une jurisprudence judiciaire 18/02/12 18:51 Cour de cassation chambre civile 1 Audience publique du mercredi 20 octobre 2010 N° de pourvoi: 09-68131 Publié au bulletin Cassation M. Charruault, président Mme Pascal, conseiller rapporteur M. Mellottée (premier avocat général), avocat général Me Odent, SCP Gatineau et Fattaccini, avocat(s) REPUBLIQUE FRANCAISE AU NOM DU PEUPLE FRANCAIS LA COUR DE CASSATION, PREMIÈRE CHAMBRE CIVILE, a rendu l'arrêt suivant : Sur le moyen unique pris en

les enfants légitimes et naturels , la suppression de la puissance paternelle sur les enfants atteignant l’âge de 21 ans… Ce droit intermédiaire est remis en cause par la révolution, l’état civil est confié aux municipalités par un décret du 20 septembre 1792. Cette laïcisation de l’état civil dépouille l’église de son emprise sur l’état des personnes. 3. Le code civil Il affirme deux grands principes : - les principes de fond : * il affirme la supériorité du mari , l’épouse lui doit obéissance

procédure pénale mais ne peut pas créer de nouvelles dispositions. Longtemps on a considéré qu’en cas de lacune du CPP on pouvait se référer au code de procédure civile mais pb car ce code est lui d’origine règlementaire en grande partie. La cour de cassation admet dans un arrêt du 13 décembre 2005 d’appliquer certains textes règlementaires dans la PP seulement si la règle énoncée est générale et si il n’y a pas d’équivalent. B) les sources non écrites On admet une source essentielle qui est les

Touahri Shaïneze L1 Droit, groupe n°11 TD n° 13 – Droit civil | La mort Commentaire de l'article 16 – 1 – 1 du Code civil : Planiol disait : « les morts ne sont plus des personnes, ils ne sont plus rien en droit ». La mort biologique, celle du corps et du cerveau, met fin à la personnalité juridique de la personne. Le défunt n'est plus considéré, en droit, comme un sujet de droit doté de la personnalité juridique entendue comme l’aptitude à être titulaire de droits et assujetti

issue du Sénat qui date du 9 juillet 2010. Selon cette dernière, il y aurait un futur article qui ferait que le principe du non cumul serait inscrit dans le Code. Ce principe n’empêche pas des situations intermédiaires. La question est de savoir si des tiers au contrat peuvent se prévaloir de l’inexécution au contrat ? Pour prouver que l’auteur du dommage a commis une faute, suffit-il de montrer une inexécution ou la faute est-elle nécessaire ? Cour de cassation Assemblée plénière 6 octobre 2006

déc. 1985, dans cette affaire nous avons un père qui souscrit une assurance décès. S'il décède ses enfant auront une indemnisation. Il décède avant l'arrivé de l'enfant. L'assureur refuse. Il estime qu'il n'est pas une personne de droit. La cour de cassation déboute l'assurance. B. Preuves. Art. 311 alinéa premier : qui porte une règle simple, l'enfant est présumé conçu sur une période qui s'étend du 300ème jour au 180 ème jour inclusivement avant la naissance. (X) II. La fin de la personnalité

juridiques, notamment relatives aux sanctions disciplinaires, à des situations nouvelles. C’est ce qu’illustre l’arrêt rendu par la chambre sociale de la Cour de cassation du 15 décembre 2009 au sujet de la licéité de la preuve en matière de licenciement disciplinaire. L’espèce concernait un salarié, engagé en qualité de clerc de notaire le 16 septembre 1999, et licencié pour faute grave le 24 mai 2004, après la découverte, en son absence, sur l’ordinateur mis à sa disposition par la société l’employant

(FAED) a été instauré par le décret n°87-249 du 8 Avril 1987. Selon l’article 2 de ce décret ce fichier est mis en œuvre par la direction centrale de la police judiciaire au ministère de l’intérieur et placé sous le contrôle du procureur général près la cour d’appel de Paris. Il a pour but de « faciliter la recherche et l’identification des auteurs de crimes et de délits et de faciliter la poursuite, l’instruction et le jugement des affaires dont l’autorité judiciaire est saisie » (art 1). Cette base de

Université d’Auvergne Clermont I Faculté de Droit et de Science politique Année universitaire 2010 - 2011 A. LE POMMELEC, Maître de conférences, L2 DROIT DROIT DES OBLIGATIONS L’objet de ce document n’est pas de se substituer aux heures de cours mais de donner simplement quelques lignes directrices afin de préparer correctement les épreuves de fin de semestre. Il comporte en annexe, des décisions importantes citées en cours. RÉSUMÉ N° 5 L'OBJET ET LA CAUSE DANS LES CONTRATS Pour qu'un