Cours Sur La Laideur

croisillons […] en manière de gland ». Une personnification péjorative, insultante, qui apparaît comme un emblème : « une de ces pauvres choses, enfin, dont la laideur muette a des profondeurs d'expression comme le visage d'un imbécile ». Maladresse terrifiée du personnage : - Le nouveau ressemble à un pantin désarticulé : immobile pendant le cours, « n'osant même croiser les cuisses, ni s'appuyer sur le coude », il ne s'anime qu'au son de la voix du maître d'études qui « fut obligé de l'avertir, pour

le journaliste qui interviewe Mija commence par la douceur et finit par l’agressivité, probablement par goût du scoop – avant de jouer les facilitateurs bien rémunérés dans les échanges avec la famille de Heijin… A qui faire confiance alors ? 3)Laideur de l’environnement urbain : Séoul est décrite par ses banlieues interminables ; routes, fils électriques, immeubles, flot de circulation incessant (cf bande-son avec bruit du trafic quasi-permanent), couleurs criardes, panneaux publicitaires omniprésents

femmes de bonne volonté avaient écrit, avaient souffert, avaient péri. D’autres avaient écouté, terrés dans leur univers clos, enfermés dans une souffrante torpeur. Personne n’avait perçu cette similitude d’attitude, celle qui s’était produite au cours du siècle dernier et semblait s’être confirmée jour après jour dans les premières années du siècle naissant. Un fort long temps avait été nécessaire pour entendre enfin une Eglise reconnaître combien ses accusations n’étaient pas fondées, n’avaient

dérision. Vénus est décrit comme étant hideuse « Puis le col gras et gris, les larges omoplates » v.5, on voit d'ailleurs que cette alitération en « gr » contribue à cette laideur. De plus « Avec des déficit assez mal ravaudés » v.4 montre que son corps est squelettique et creux. Mais il n'y a pas que la vue qui est touchée par cette laideur puisque le narrateur nous dit « L'échine est un peu rouge, et le tout sent un goût Horrible étrangement » v.9 et 10. De plus Rimbaud tourne en dérision le tableau qui

suivra. L’extrait choisi correspond au moment où la Belle rencontre la Bête pour la première fois en « tête à tête ». Il s’agit du moment clef de l’histoire qui pose la problématique du conte : la différence entre les apparences et la réalité (laideur vs bonté d’esprit de la Bête). Je vais donc faire la lecture de l’extrait : « A midi (…) obligé » Dans une première partie je ferai une analyse littéraire de « La Belle et la Bête » , et dans une deuxième partie, je proposerai une exploitation

la Cour des Miracles, qui est un lieu mystérieux, un lieu fermé car seules quelques personnes peuvent y rentrer (truands, saltimbanques, bohémiens…). C’est un immense cabaret, le cabaret des truands qui sont aussi rouges de vin que de sang. Cette cours est surveillée par un roi : Clopin Trouillefou. C’est un lieu où l’on se sent mal à l’aise, on n’y est pas en sécurité. V) Epoque et contexte : L’action se déroule au XVème siècle durant la fin du Moyen-âge, au début du roman on nous dit que

Champ de problème : La culture Notion : l'Art Cours : L'art est-il nécessairement lié à la beauté ? INTRODUCTION L'art désigne la création artistique, la recherche du beau. Mais il désigne aussi la technique, le savoir-faire. La question se pose donc : l'art est-il nécessairement lié à la beauté ? Peut-on considérer qu'il y a art s'il n'y a pas beauté ? La beauté est-elle une condition de l'art ? Sa définition ? En tant que pratique, il est l'action de l'artisan produisant une œuvre grâce

robe blanche. D’ailleurs, la simplicité, la nudité même, du décor empêche le regard du spectateur de se disperser et concentre toute l’attention sur les comédiens : seuls comptent les personnages, ce qu’ils se disent ou vont se dire au cours de duos successifs : Antigone et la nourrice, Antigone et Ismène, Antigone et Hémon, Antigone et Créon, Antigone et le garde. Il faut noter que ces dialogues sont écrits en prose avec un niveau de langue courant à familier alors que, traditionnellement

Artiste: Otto Dix, (1892-1969) Biographie: Dix est né en 1892. Il avait un père qui travailler dans une mine de fer et une mère qui était intéresser à la peinture et à la musique, C'est d’ailleurs elle qui l'a éduqué dans ce domaine, Dix a pris des cours de peinture à Dresde pendant 5 ans (1909-1914). Il s'est exercé au cubisme (le fait de dessiner en cube ou autre formes géométriques), au futurisme (dessiner d'une façon moderne) et au dadaïsme (consiste a inventée des langages et à jouer sur les

chaussette et me libérer le pied. Le problème, je cours et il y plein de crottes de clébards. Un pied dans la déjection, c' est vraiment la merde quelque soit le pied. Je cours, un coup à droite, un coup à gauche, je vrille. Cette ville, c' est mon théâtre, des artères, un fleuve, des monuments, et toujours ce bruit de moteur derrière moi. C'est joli ici en décembre, les guirlandes scintillent, des jouets s'animent dans les vitrines mais, moi je cours..... ça y est, j' ai déchiré le diaphragme, je me