Créancier privilégié

assister par deux témoins majeurs qui ne sont ni à son service ni au service du créancier. Cela vaut pour l’entrée dans l’immeuble et aussi pour l’ouverture des meubles. En l’absence du débiteur dans les lieux, l’huissier est tenu d’assurer la fermeture des locaux. Section 2 : Les conditions de cette exécution forcée : I- Conditions de fond 1) Les conditions touchant aux personnes sujettes de la saisie Le créancier doit avoir la capacité d’agir mais la loi de 1991 pose le principe d’une

Droit des sûretés Introduction Le droit des suretés a pour objet de garantir spécialement un créancier contre le risque d’impayés en transférant ce risque sur autrui. Quand ils sont confrontés à un débiteur défaillant, les créanciers ordinaires sont soumis au droit commun du paiement qui offre des protections. En revanche, les créanciers détenteurs de suretés disposeront d’un droit effectif au paiement. Le risque d’impayés, de ce point de vue, sera soit normal ou minoré avec un droit au paiement

CC régissant le contrat de promotion immobilière, les créanciers du promoteur ont engagé des actions en paiement et en responsabilité pour faute auprès des SICOMI maîtres d'ouvrage. Ces actions se sont conclues par un accord transactionnel prévoyant le versement par les SICOMI au groupement de créanciers d'une indemnité forfaitaire moyennant le désistement réciproque de toutes les actions engagées. Cette somme a été répartie entre les créanciers selon des modalités contractuellement définies par eux

: La notion des obligations L'obligation = c'est un lien de droit entre deux personnes en vertu duquel l'une d'entre elle le créancier va exiger de l'autre le débiteur une prestation ou une abstention. Cette obligation fait partie des droits personnels. L'obligation peut être envisagée : - sur un aspect actif : on s'attache au droit octroyer au créancier (droit de créance). - Ou dans un aspect passif : en tant que dette du débiteur. Dans l'obligation on va examiner d'abord

des tiers à l'acte juridique, c'est à dire les penitus extranei. Ainsi, le tiers au contrat ne peut se retrouver créancier ou débiteur d'obligations à son insu, sans y avoir consenti. Il convient toutefois de préciser que la rigueur de la relativité connaît une intensité moindre qu'il s'agisse de dettes ou de créances: autant il apparaît concevable qu'un contrat rende un tiers créancier, autant il paraît extraordinaire qu'il puisse le rendre débiteur. 2- Les «fausses» exceptions à l'effet relatif

Recouvrement de créances et faillite Recouvrement : Mettre en œuvre des démarches pour obtenir d’un débiteur qu’il s’acquitte de la dette qu’il a contracté à l’encontre d’un créancier. Créance : contraire d’une dette. Le créancier a une créance quand il est titulaire d’un droit de créance c’est à dire le droit d’exiger la remise d’une somme d’argent ou l’exécution d’une obligation. Pour pouvoir mettre en œuvre ces démarches, il faut pouvoir démontrer que nous sommes en présence d’une créance

de la sûreté La sûreté est une garantie de paiement qui permet à un créancier d’obtenir le paiement de sa créance à terme de manière directe ou indirecte, le cas échéant par équivalent. C’est une garantie de paiement d’une créance. Il est difficile selon les auteurs de donner une définition plus précise et qui épuise toutes les formes de garantie de paiement qui existent. La sûreté est une prérogative offerte au créancier par une convention, la loi ou encore plus rarement le juge lui assurant

l’identifie notamment à l’absence de crainte, c’est-à-dire à la confiance, notion-clef dans les deux domaines si liés des sûretés et du crédit. Le nantissement est le contrat par lequel un débiteur remet une chose mobilière ou immobilière à son créancier pour garantie de sa dette, le nantissement d’une chose mobilière s’appelle gage et le nantissement d’une chose immobilière s’appelle antichrèse. Il faut cependant se méfier de ne pas le confondre avec le gage, la différence est que la remise du bien

à la procédure est ce donc ne fait pas l’objet d’une procédure collective en France. Les créanciers du débiteurs peuvent poursuivre individuellement leur paiement en France et au besoin procédé à leur bien. Mais on pourra avoir éventuellement une procédure collective française n’a qu’a des créanciers de France ou tous les créanciers sans distinction de nationalité pourront produire càd déclaration créanciers. 2) En revanche lorsque le jugement étranger en faillite fait l’objet d’une mesure exequatur

d’exécution ce sont les moyens par lesquels le créanciers poursuit la réalisation forcée de son droit. Dans la notion de voie d'exécution, il y a l'idée d'une contrainte qui va être exercée sur le débiteur. On peut dire que cette matière présente l'ensemble des procédures qui permettent à un particulier d'obtenir par la force l'exécution d'un acte juridique ou d'un jugement qui lui reconnaît des droits. En effet, cette matière permet de consacrer la qualité de créancier. Laquelle qualité n'est pas fictive mais