Crim 14 Juin 1990

condamné à une amende pour délit de vente au déballage fut relaxé en appel, la cour ayant notamment relevé qu’un élément du dossier n’établissait avec certitude que les tapis et les objets d’art anciens soi-disant mis en vente étaient neufs (Colmar 8 juin 1979, G.P, 1979-2-678 ; R.T.D. com 1980-135, obs Hémard). De même la mise en vente de tapis présentés comme importés d’Iran n’implique pas nécessairement qu’il s’agit de tapis neufs. Il n’en serait autrement que s’il était précisé que ces derniers

certains crimes seulement : Les crimes de guerres : rechercher les suspects présents sur le territoire et les poursuivre ou les dénoncer à d'autres juridictions qui les poursuivront sous des charges suffisantes (Convention de Genève, art. commun 49/50/129/146). Les crimes contre l'humanité doivent être réprimés là où ils sont commis. L'État du lieu d’arrestation est titulaire de l’obligation d’assurer les poursuites s’il n’extrade pas l’auteur vers un autre État. Les crimes de génocide

les organes juridictionnels ou non concernés. B - 1966 : LA CONFIRMATION UNIVERSELLE DU DROIT À UN PROCÈS ÉQUITABLE Le Pacte international relatif aux droits civils et politiques (4), dans ses articles 14 et 15, a universellement fixé la signification du droit à un procès équitable. Ainsi, l’article 14 stipule que : « 1. Tous sont égaux devant les tribunaux et les cours de justice. Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement et publiquement par un tribunal compétent, indépendant

ANNEXE……………………………………………………………………………………445 BIBLIOGRAPHIE…………………………………………………………………………469 INDEX………………………………………………………………………………………507 TABLE DES MATIÈRES…………………………………………………………………515 6 LISTE DES ABRÉVIATIONS AJ pénal Al. APJ APJA Art. Ass. plén. Bull. civ. Bull. crim. C. aviation civ. Actualité juridique pénal Alinéa Agent de police judiciaire Agent de police judiciaire adjoint Article Arrêt de l’Assemblée plénière de la Cour de cassation Bulletin des arrêts des chambres civiles de la Cour de cassation Bulletin

islamistes et chefs d’Etat du monde arabe : Ousama ben Laden (revendique les attentats du 11 septembre 2001), Saddam Hussein (dictateur de l’Irak de 1979 à 2003), Yasser Arafat (président élu de l’autorité palestinienne de 1996 à 2003). Evènements : 1990-1991 : 1ere guerre du Golfe ; 11 septembre 2001 : attentats aux Etats-Unis ; 2001 : guerre en Afghanistan ; 2003 : 2eme guerre du Golfe = guerre en Irak ; 2003 : protocole de pacification entre Israël et la Palestine (= « Feuille de route »).

prescription et la supervision du médecin) et le paramédical (agent de laboratoire ; de radiologie …) Sont con sidérés comme personnels de santé ou agents de santé. Le droit à la santé est clairement reconnu par la constitution béninoise du 11 d décembre 1990 en ses articles 2 et 26 ; il en est de même de la charte africaine des droits de l’homme et des peuples qui disque en son article 16 « toute personne a le droit de jouir du meilleur état de santé physique et mental qu’elle soit capable d’atteindre

|  |14 juin 1940: Paris se livre sans combat. | |Fonctionnalistes: historiens qui pensent |1941: Mussolini tente de maîtriser les | |que les circonstances ont fait qu'Hitler |Balkans. |  |  | |s'est adapté coup par coup. L'occasion |Avril 1941: Charte de l'Atlantique | |l'aurait poussé à concrétiser son projet |22 juin 1941: Grande Opération

que Bernard Lugan, pour qui « la colonisation fut une chance historique pour l'Afrique noire qui n'a toujours pas su la saisir »3. Pour explication, par négationnisme colonial, il convient de comprendre ce postulat visant à la remise en cause des crimes et autres outrances commis et avérés au nom de l'ordre colonial, et dont les justifications sont tributaires des nécessités économiques, du dogmatisme religieux et du racisme4. Aujourd'hui, les droits de l'Homme sont sacralisés, institutionnalisés

certaines révélations faites à un avocat ou le pénitent se confiant à un prêtre. Le fait confidentiel, c'est également le fait qui, quoique non expressément confié sous le sceau du secret, ait un lien avec l'activité professionnelle ou l'état du confident (Crim. 6 fév. 1997, B. n° 55). La loi sanctionne ainsi d'une peine d'un an d'emprisonnement et de 15000 € d'amende la personne qui révélerait une information à caractère secret alors qu'elle en est dépositaire soit par état ou par profession, soit en

exécuter une personne qui a été reconnue coupable d’une faute qualifiée de crime capital. La sentence est prononcé par l’institution judiciaire par l’issus d’un procès. les crimes issus de la peine de mort ou les pays l’autorisent : Les crimes passibles de la peine de mort sont souvent ceux qui s'attaquent à l'Etat (trahison, crimes militaires, fabrication de fausse monnaie(!)) ou au pouvoir en place et aux personnes (viol, homicide, atteinte à la propriété, ...) L’aspect historique :  Elle existe