Critique de la religion

l’Encyclopédie parfois trop prudente dans ses critiques, Voltaire entreprend la rédaction de son propre Dictionnaire philosophique en 1765, un dictionnaire qui se veut «  portatif » et qui remet en cause tous les aspects de la société. L’ouvrage prend en particulier pour cible les contradictions entre les dogmes de l’Eglise et les Evangiles. Dans cet article, le polémiste dénonce les ravages de la guerre légitimée par une « religion artificielle » qu’il oppose à la « religion naturelle » qui définit son théisme

→ Voltaire va écrire ses 1è œuvres politiques et entretient une brillante correspondance avec Frédéric II de Prusse → invité à sa cour 2 ans pour conseiller sur la manière de conduire un état Fin de sa vie menacée par le gouvernement de Louis XV (critique) plus désirable à la cour ou à Paris → exile en Suisse à Ferney à côté du pays de Jex (frontière) → Les délices de Ferney → malice politicienne de Voltaire quand il y habite : il joue de cette frontière + mets en place une manufacture de bas de soie

composé sur extrait de l’Article « Guerre » du Dictionnaire Philosophique de Voltaire p.543 Le Dictionnaire philosophique de Voltaire analyse les préjugés, les mensonges politiques, les injustices, et s’efforce de remettre tout au point. Cette « critique de la société par alphabet » fera scandale à sa parution, et Voltaire, menacé de Bastille, part à l’étranger. Voltaire rédige ce petit Dictionnaire philosophique à 70 ans, pour lutter en faveur du progrès et de la tolérance. Il y regroupe plusieurs

La religion, lorsqu’elle se présente sous la forme de dogmes, a été et est l’objet de plusieurs types de critiques philosophiques et scientifiques. Les critiques rationalistes, estiment que toute religion répond en premier lieu à un sentiment de peur (peur de la nature, de la mort), qu’elle est favorisée par l’ignorance, et qu’elle se construit sur des valeurs qui conduisent à des pratiques cruelles et arbitraires qui entravent tout progrès dans le bien-être de l’humanité. La plupart des grandes

tiré de l'Encyclopédie, expose de manière subjective le point de vue de l’auteur sur les religions pendant le siècle des lumières. En effet D’Holbach dans cet article de l’Encyclopédie parle de façon critique voire ironique des religions. Il fut d’ailleurs qualifié de « spinoziste » ce qui était synonyme à l’époque d’athée. À travers ce récit D’Holbach fait une critique subjective du pouvoir qu’exerce la religion sur les fidèles. Peut-on qualifier ce récit philosophique, d'article des Lumières ?

UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL Rapport de lecture HEGEL ET MARX Question 1: Au début de la section intitulée « L'État de droit » de la Raison dans l'histoire, Hegel critique la conception de l'état de nature utilisée par les théoriciens du contrat social. D'une part, pour Hegel, ces théoriciens ont une conception nébuleuse de l'état de nature qui n'est pas historiquement fondé. Ainsi, l'État de nature n'a jamais existé. D'autre part, même dans l'état de sauvagerie, la société avait des

La religion dans Gargantua : critiques et conseils Dans son œuvre, Rabelais s’attaque vivement à la religion, et ce en différents points : I) Critique de la religion et du clergé Théologiens, moines ou simples croyants, Rabelais n’hésite pas à en faire une satire comique. Par exemples avec les théologiens Thubal Holoferne ou Janotus de Bragmardo, qui ne sont bons qu’à abrutir leurs disciples et à déblatérer des discours inutiles, ainsi que les moines, de l’abbaye de Seuilly notamment, qui ne

chapitre est d'autant plus fort qu'il suit l'Eldorado. On a un passage du Paradis à l'Enfer. Dans ce passage V. va dénoncer l'esclavage des nègres. Après l'esclavage, derrière, il va dénoncer la religion et remettre en cause l'optimisme. Mais ce qui est intéressant dans ce chapitre, c'est que la critique se fait comme un récit, comme une scène de théâtre vivante avec un dialogue et pourtant ce récit n'en sera pas moins efficace qu'un texte argumentatif. On va suivre deux grands axes, V. mène ici

discussion, et notamment celui de la religion.  Le savant expose à Candide et à Cacambo la religion de l’Eldorado, le déisme. Elle est radicalement différente de celles que connaît Candide. Notre exposé porte sur cette singulière religion, nous allons développer trois axes pour vous la « présenter ». Dans un premier temps, nous verrons les caractéristiques du Déisme puis nous étudierons la réaction de Candide face à ces révélations pour finalement aborder la critique de la société qui se cache derrière

d'étudier relate l'enterrement de celle-ci, un enterrement pauvre et lugubre. Aussi, nous nous demanderons en quoi cet extrait mêle satire et tragique en étudiant dans un premier temps le tragique de la scène, avant de s'intéresser à la satire de la religion. I. Une scène tragique 1. Une situation morbide ex : « cercueil », « air mort », « un grand trou », « tumulus », « fosse » = champ lexical de la mort, situation de disparition d'un être aimé, éléments propres à l'enterrement + absence de vie jusque