Critique Du Cogito Nietzsche

possession, il commence à parler comme lui. la complicité La possession par une philosophie Chapitre 3 : Descartes et Pascal Nous faisons un bon jusqu’au 17e siècle, et nous voilà en philosophie moderne. Descartes  L'expérience du cogito Il va utiliser une méthode neuve = la méditation personnelle  pour « rentrer en soi-même ». Il va s’appuyer sur une expérience, celle du doute radical  suppose que tout ce qui est dit est faux. Il imagine un « malin génie »  tente de le convaincre

inacceptable sur les pouvoirs de la conscience. Nietzsche, Marx et Freud, les philosophes du soupon. Freud fait donc partie de ces auteurs qui mettent mal lidalisme philosophique et les thories du sujet. Et si lhomme ntait pas cet tre idal, capable de matrise de soi, dauto-dtermination, de sublimation permanente Sil tait tout simplement terroris par linconnu au point daccepter nimporte quel enfantillage (religion, illusions, morale) pour calmer ses angoisses (Nietzsche, texte tudi en cours) Sil ne dterminait

* Intro À quoi sert la philo? Orienter l’action individuelle et collective * Philosophie : Questions existentielles, problèmes fondamentaux, discours rationnel et critique * * Concepts philosophiques de l’être humain : * Être acquis/inné * Perfectibilité * Historique * Culturel * Créature de Dieu * Besoin/instincts/désirs * Sentiments/émotions * Raison/passion/logique * Libre arbitre/volonté/liberté * Inconscient/conscient de soi-même

est Basedow) L'objectif : - 1. écrire une encyclopédie pour les enseignants (il n'existe pas de formation du maître) 2. créer un institut pour réformer les maîtres et leurs apprendre à enseigner → selon les méthodes de Rousseau. Mais objectif critiqué par Karl Spazier qui parle d'un enseignement du « tout savoir sans rien savoir ». Basedow cherche à : 1 → une éducation indépendante de l'église 2 → culturellement utilitaire 3 → fondée sur une méthode sensible, intuitive et récréative

nature en langage mathématique, mais il lui reprochait son manque de méthode, d'ordre, et d'unité. Toute la philosophie cartésienne aura pour préoccupation constante de ramener l'étude d'objets particuliers à quelques principes premiers, dont le fameux cogito. Dans son ouvrage sur les Règles pour la direction de l'esprit (1629), Descartes avait fait l'inventaire de nos moyens de connaître, et avait privilégié l'intuition et la déduction, sans négliger l'imagination et la mémoire (règle douzième). Après

objet de connaissance, ne suis-je pas condamné à ne jamais pouvoir me ressaisir en tant que sujet ? Je serais ainsi pour moi-même le plus proche et le plus lointain. L’oracle de Delphes apparaît alors comme un ironique oxymore : comme le notait Nietzsche, ce « Connais-toi toi-même » a l’accent d’une « plaisanterie féroce ». Cependant, peut-on ainsi faire l’économie d’une telle connaissance de soi ? Si elle est logiquement impossible, n’est-elle pas éthiquement nécessaire ? N’est-elle pas le présupposé

de risques. DESCARTES fait part de ses scrupules, les pensées qu’il livre sont tellement abstraites qu’il craint l’accueil que lui réserveront les lecteurs. Mais il est trop facile de garder ses pensées pour soi, il y a la nécessité d’un regard critique sur son travail, le savoir se partage. Il recherche la vérité dans les sciences. Pour ce qui concerne les mœurs, on peut se contenter de l’incertain, de l’à peu près, en fait, il nous renvoie à la morale par provision (troisième partie). Il faut

c’est-à-dire inconsciente : d’abord virtuelle, puis tacite. Une faculté ne peut pas être secrète par nature. Cependant la question de l’inconscient rebondira alors sur les passions ou les passivités de l’âme. Cette réponse ouvre la voie aux critiques de la transparence à soi-même de l’esprit cartésien, au premier rang desquelles se trouvent celles des PP. Malebranche, Daniel ou Lamy. Qu’est donc alors précisément cet inconscient cartésien ? Il ne se peut agir ni d’une chose permanente, ni

(1724-1804) 36 Histoire et révolutions (le xixe siècle) 38 Friedrich Hegel (1770-1831) 38 Arthur Schopenhauer (1788-1860) 39 Alexis de Tocqueville (1805-1859) 43 L’ère du soupçon (fin du xixe siècle) 44 Karl Marx (1818-1883) 44 Friedrich Nietzsche* (1844-1900) 48 Sigmund Freud (1856-1939) 48 La philosophie contemporaine (xxe siècle) 49 De la phénoménologie à l’existentialisme 49 Edmund Husserl (1859-1838) 49 Martin Heidegger (1889-1976) 50 Jean-Paul Sartre (1905-1980) 53 La philosophie

en s'incarnant dans le corps que l'âme oublie la connaissance des idées acquise dans un autre monde. C'est donc en se délivrant du corps que l'âme retrouvera pleinement son pouvoir de connaissance. Ce mépris classique du corps sera interprété par Nietzsche comme un mépris de la vie. Plus généralement, la philosophie est accès à l'intelligible et donc refus du sensible.  Philosopher, c'est apprendre à mourir au sensible (Phédon) Que nul n'entre ici s'il n'est géomètre ! Platon avait fait graver