Critique Du Libertinage

le protège et l'invite au Palais Royal où il partage la salle avec les Italiens. En 1662, il se marie avec la fille de Madeleine Béjart, Amande Béjart, une comédienne de sa troupe, de vingt ans plus jeune que lui et donc cause des attaques de la critique. En 1665, sa troupe devient "troupe du roi" et dès lors, les pièces se succèdent et il connaît le vrai succès. À travers ses pièces, il a su allier le côté farce, en s'inspirant de la 'commedia dell'arte' et de la tradition farcesque Française

d'Aix pour superviser la construction du port. C'est là qu'il commence la rédaction des « Liaisons dangereuses » qu’il publie en 1782, anonymement. Il écrira un traité sur l'éducation des femmes, « Des femmes et de leur éducation » (1783), et un critique virulente de Vauban, « Lettre à MM. de l'Académie Française sur l'éloge de M. le Maréchal de Vauban » (1786). Il quitte l'armée, entre au service du duc d'Orléans, écrit des textes révolutionnaires qui lui vaudront d'être arrêté deux fois et libéré

réactions, lui a permis d'acquérir la connaissance des autres et à interpréter leurs réactions ___● Une éducation très exigeante : _____■ le sérieux et la rigueur du travail qu'elle s'est assignée _____3)__Le rejet d'une éducation traditionnelle = critique de l'éducation des femmes de l'époque. ___♣ Aucune règle ne régit l'éducation des femmes :.. ___♣ Les femmes ne sont pas perçues comme des êtres pensants, on ne fait jamais appel à leur ____..intelligence, leur réflexion _____- → montre aussi

irréligieux. Sganarelle n'est pas que complice et confident de Dom Juan, il est également hypocrite en dénonçant le libertinage ( être affranchi de la morale commune et surtout de la religion ) de son maître. En effet, il n’hésite pas a critiquer Dom Juan sur la vie qu'il mène. Dans cette pièce, Molière a décider de « dénoncer les vices du siècle «. Il en fait une réflexion sur le libertinage et ses excès. La grande originalité de Dom Juan de Molière c'est l'aspect religieux qu'il y a entre eux deux. Dans

certaines inimitiés et certains duels auxquels il ne se dérobe pas. Il affiche un certain cynisme dans les relations avec ses proches, notamment avec son père (Dom Louis) et remet en cause les conditions chrétiennes mais également sociales, son libertinage symbolisant son indépendance. Il aime les défis, jusqu'à celui de la fin : le repas avec la Statue du Commandeur, que Dom Juan avait tué auparavant, qui l'emportera dans les flammes de l'Enfer. Dans son récit, Molière a créé un personnage ayant

misère tandis que s'édifient d'immenses fortunes : inégalité. Des écrivains prennent le sujet pour cibles dans leur critiques -La régence (1715/1723) Louis 15 est trop jeune pour gouverner donc la régence est assurée par Philippe d'Orléans. Cette période est caractériser par un mouvement de libération: plaisir, le goût du luxe, la liberté des mœurs, l'impiété et le libertinage. Law invente le « billet de banque ». Le climat générale est l'instabilité: certaines pièces de théâtre et certains romans

à la fin b) Deux systèmes de pensé opposés -S joue 2 jeux vis à vis de D.J. -il l'admire -D.J le répugne -Il se permet de critiquer D.J comme s'il était le maître. Il essai de s'en approcher en utilisant un ton didactique avec Gusman. Il joue le role du prof. Il joue avec comme un acteur avec le publique. -S défend la morale divine -D.J. défend le libertinage, la liberté des homme de prendre leur vie en main et de se détacher du joug divin.

Le Roman I) Un genre négligé (XVIème) Siècle humaniste. Peu de romans sont représentatifs de cette époque sauf Rabelais avec Gargantua. Ces romans ont pour but de faire rire, réfléchir et de faire une critique de la guerre et de l’éducation. II) Le romanesque baroque (1ère moitié du XVIIème) Siècle baroque. A cette époque, les romans « héroïques » sont inspirés des romans de chevalerie ou roman « comique » qui peignent la vie quotidienne avec des intrigues foisonnantes (intrigue abondante) et

Don Juan et Catherinon. Le comique de la scène semble naître de la complicité des deux personnages. En effet, la relation entre Don Juan et Catherinon n’apparaît pas sous l’angle traditionnel du système de vassalité. Ici, Catherinon n’hésite pas à critiquer les faits de son maître, notamment par le biais de l’ironie « Catherinon : Le beau paiement que tu réserves à son accueil ! », « Catherinon : Femme infortunée ! Nous payons vraiment bien ton accueil ! ». Tirso de Molina tend à tourner au burlesque

 Cette Elle semble ressentir un réel besoin de dominer et de gouverner les autres. Elle est le personnage le plus puissant de l'histoire et sa destruction de la fin est necessaire pour sauver le caratère moral du roman. (Texte inspiré de Mtholyoke) Critique : Ce roman fait parti des oeuvres littéraires que je préfère s'il n'est pas L'oeuvre que je préfère, tout court. Le fait qu'il ne soit fait que de lettre, le style epistolaire donc, est une chose qui me séduit beaucoup. Elle le rend très agréable