Croire Savoir Philosophie

l’épicurisme : une philosophie calomniée et déformée L’adjectif « épicurien » est passé dans le langage courant. Il qualifie les bons vivants, ceux qui aiment les plaisirs du ventre et de la chair. Certains ( le Dom Juan de Molière, le poète romain Horace – 1°s après JC - ) se présent ainsi comme des « pourceaux du troupeau d’Epicure », et un autre poète contemporain d’Epicure, Alexis, avait intitulé une comédie « le professeur de débauche ». La philosophie d’Epicure serait donc une « philosophie cochonne »

d'une divinité, dans le but de le protégé des malheurs. La religion a vu naître des communautés religieuses qui se donnent pour mission de prendre en main chaque fidèles, de les mener vers le chemin de Dieu. Mais l'homme a aussi le libre choix de croire en telle ou telle religion. Si il choisi de suivre le chemin de Dieu, cela pourrait signifier qu'il cherche en la divinité une force protectrice. L'être humain peut-il réellement être religieux naturellement ou a t-il besoin de faire partie d'une

ou d’interdépendance entre la philosophie et la théologie : « La philosophie doit rendre un peu de raison à la théologie et la théologie doit rendre un peu de foi à la philosophie. » Le plan I. Introduction II. Développement a) Définition de la philosophie b) La non-utilité de la philosophie c) L’utilité de la philosophie d) L’activité de la philosophie e) Définition de la théologie f) La philosophie doit rendre service à la théologie

l’ouvrage de Bertrand Russel, Problèmes de philosophie, cherche à expliquer l’intérêt de la philosophie pour l’Homme, en mettant en avant les différences entre le regard d’un individu « éclairé » par la philosophie et celui d’un individu se contentant de la réalité superficielle du monde qui l’entoure. Russel évoque ainsi la transformation du quotidien par le biais de la philosophie ainsi que son utilité. Selon le philosophe britannique, la philosophie remet en cause la plus banale des réalités

horizontal) et au divin (lien vertical). La religion de ce point de vue unit les hommes et crée le lien social. « Sitôt que les hommes vivent en société, il leur faut une religion qui les y maintienne », Rousseau * La religion consiste à croire. Qu’est-ce que croire et comment croit-on ? Il ya la foi vague, conventionnelle, que l’on hérite de sa famille et de sa société. « Nous sommes chrétiens au même titre que nous sommes Périgourdins ou allemands. », Montaigne Et il y a la foi fervente du mystique

sans preuves. La philosophie peut s’en réjouir. Toutefois l’esprit scientifique lui-même n’échappe pas toujours au fanatisme technocratique caractérisé par l’étroitesse d’esprit et à un mode de raisonnement terre à terre. Il se confond alors avec le scientisme qui considère que les sciences sont capables de résoudre tous les problèmes, tant dans le domaine de la connaissance que dans le domaine de la morale, de la vie sociale ou de la politique. Aux yeux du scientiste, la philosophie est presque aussi

d’objectivité. Pourtant, notre façon d’expliquer le monde n’est-elle pas qu’une manière de faire le monde , comme dirait Goodman ? Les mathématiques un langage que nous posons et nous voile la réalité ? Peut-on réellement croire que cette façon de voir le monde est plus abouti que celle d’autre peuple à la réflexion moins galiléenne ? Tu me disais que la science n’était pas abstraite, contrairement à l’art, mais les mathématiques dures, ne sont-elles pas abstraites ? En Occident

accepter, faire le deuil que ses désirs ne soient pas immédiatement satisfait. Ainsi l’enfant à qui on passe tout ses caprices ne pourra pas grandir, se confronter aux principes de réalité en opposition aux principes du plaisir. Travailler, c’est savoir faire l’épreuve de la réalité étant donné que la réalité ne se plie pas aux désirs. En la condition élémentaire du travail, renoncer/différer le moment de la réalisation de son plaisir. C’est tellement peu évident que certains n’y arrivent jamais

La philosophie, cette matière qui a fait gémir plus d’un élève, serait-elle d’une quelconque utilité en magie ? J’ose prétendre que oui, car tel Jourdain qui faisait de la prose sans le savoir, le magicien fait de la philo sans le vouloir. Une partie de la philosophie d’Aristote, puis des scolastiques, traite de la connaissance. En particulier, elle affirme que nous connaissons d’abord par l’intermédiaire de nos sens. Et que ces différents sens, s’ils ne sont pas malades, ne nous trompent pas

Introduction I) Qu’est ce que la science? a) Définition de la science b) Les différents types de science II) la philosophie des sciences a) Objectif & But de la science b) L’infaillibilité scientifique III) Les limites de la science a) Les limites internes de la démarche scientifique b) Les limites externes de la science IV) Le progrès scientifique a) Les avantages du progrès scientifique b) Les inconvénients du progrès scientifique CONCLUSION Introduction