Création De La Modernité Depuis Platon

germe du pbm liberté/soumission Aristote : « Puisque l'autorité politique s'exerce sur des êtres libres, il faut q'uils aient un droit de participation à la vie politique. » il n'y aura jamais légitimé si il y a privation de tout pouvoir. La modernité avec sa théorie du contrat a ses prémisses dans le christiannisme, càd dans la liberté reconnue à la personne, créature unique de Dieu, disposant totalement de son corps (abolition esclavage), de sa vie, et, puisque son corps ne lui appartient vmt

même schéma. Le débat au cœur du structuralisme : savoir si l’on est libre ou si c’est déjà tous tracé. Ce qui est paradoxale c’est que cette interrogation intervient lorsque les sciences dures s’interrogent avec modestie de rendre compte de la modernité. S’il y a un commencement qu’elle est l’origine du monde ? il n’y a pas de réponse. Dans l’ordre de la microphysique, mm interrogation, plus on descend dans la matière plus elle devient subtile et on se demande si la matière n’est pas in fine

être calculé mais il y a bien trop d'interactions donc de calculs mathématiques à faire pour que l'homme puisse tout prévoir. En observant la nature soit la création du destin, l’homme faisant donc parti de la nature, on peut remarquer qu’elle est relativement stable, qu’il y règne une certaine harmonie et elle est en constante évolution : depuis le big bang (en admettant que c’est le commencement de l’univers) jusqu’à aujourd’hui, il y a eu une constante évolution, les planètes, les étoiles (etc.)

(permis VS interdit) cela relève du culturel et donc de l’appris. Plus de comportements appris que ce que l’on croit ? Une faille radicale entre l’être de l’animal et celui de l’homme ? Heidegger : « Philosopher, c’est apprendre à mourir » (idem Platon et Sénèque) §3. Le droit changeant Des systèmes juridiques relatifs, liés à des conditions d'émergence spécifiques du point de vue historique, géographique, culturel, politique ? Les institutions varient-elles davantage que le contenu

bouleversements dynastiques constituent obstacles svt rebutants Donc initiation rapide concrète à cette première modernité Europe fin XVe s. : 1 morcellement politique de l’Europe 2 structure éco et démographique de Europe I Morcellement politique A tout d’abord, certains facteurs d’unité : *religion -Europe est chrétienne : Europe de l’est c’est religion orthodoxe séparée de Rome depuis 1054 : même doctrine que catholicisme *latin langue de tous les lettrés, savants et langue de la liturgie *rôle

cette vision, on retrouve le contrefeu britannique. Il faut encercler l'île mondiale, ce qui est resté dans la pensée britannique. Spykman (http://fr.wikipedia.org/wiki/Nicholas_Spykman) estime que s'il y a un Heartland essentiel, il réfléchit à la création de l'encerclement. Il appelle cette zone le 'Rimland'. Il faut contrôler ce qui entoure l'Europe centrale. Il estime que c'est la où se joueront les conflits géopolitiques. Celui qui domine le 'Rimland' domine le Heartland et domine le monde. La

encore beaucoup dans les manuels et qui voudrait que l'Antiquité fût uniformément païenne. La Renaissance ne détruit pas le Christianisme mais le transforme en effet. Les humanistes ont d'ailleurs remarquablement su baptiser les auteurs antiques comme Platon, Virgile et Cicéron. L'Antiquité ne présentait de danger que chez ceux qui se laissaient aspirer par le paganisme général des temps de Cicéron en voulant trop imiter cette langue latine qu'ils estimaient parfaite. Érasme, lui-même dénonça très tôt

s'opposaient à la littérature considérée en relation avec son auteur, ou comme expression de son auteur, suivant une doctrine résumée dans le titre courant des thèses de lettres : X, l'homme et l'oeuvre. Avant Lanson, cette vulgate était identifiée depuis longtemps à Sainte-Beuve, le premier des critiques au xixe siècle : Proust s'élevait contre sa méthode biographique dans le titre bien connu de la première ébauche de la Recherche : Contre Sainte-Beuve. « Qu'importe qui parle », s'écriait assez brutalement

Alexandre VIALA Professeur de droit public à l’Université Montpellier I Directeur du CERCOP Nul ne saurait traiter du positivisme juridique sans évoquer la figure emblématique de Hans Kelsen. Considéré comme le pape du positivisme juridique depuis la Théorie pure du droit1, le maître viennois incarne ce courant majeur de la pensée juridique tant en raison de sa conception du droit qu’eu égard à son épistémologie juridique : en considérant qu’il n’est pas d’autre droit que le droit positif

concerne le citoyen, celui qui a conscience de vivre dans une cité, qui a conscience qu'il doit s'intéresser aux affaires publiques, c'est-à-dire aux affaires politiques. L'antiquité nous apporte essentiellement l'enseignement des grecs (avec PLATON, ARISTOTE...) mais également des expériences institutionnelles, les idées politiques étant associées étroitement au monde juridique et donc institutionnel. Ces expériences institutionnelles préfigurent des modèles politiques. Les grecs sont des réalistes