Crédit Mutuel Analyse Concurrence

1-3-1-5 Les entreprises de crédit Les entreprises de crédit réalisent des opérations de banque qui comprennent la réception de fond, la distribution de crédits, la mise à disposition des moyens de paiement et de leur gestion à la clientèle, différentes opérations telles que les placements, les conseils dans tous les domaines, la gestion de patrimoine. Ces entreprises sont régies selon la loi bancaire relative à l'activité et au contrôle des activités de crédit. Elles réalisent des opérations

Historique 8 III- Organisation 9 IV- Solutions et services 11 CHAPITRE II: Le marketing bancaire 14 I- La politique de produit : 15 II- La politique de prix : 18 III- La politique de distribution 19 IV- La politique de communication : 20 CHAPITRE III: Analyse de la pratique du marketing au sein du GBP 25 I- La politique de produit: 26 II- La politique de prix: 28 III- La politique de communication: 29 IV- Politique de distribution 31 V- Etude sur terrain : 32 Conclusion 43 Annexe : 44 Liste des figures

2 I.Le crédit agricole, dit la banque verte 3 a.La banque créée par le monde agricole. 3 b.Organisation du Crédit Agricole 4 c.Organisation de l’agence 5 d.Ses produits et services 6 e.Proxima, un nouveau concept bancaire 6 f.L’espace Libre Service 7 II.Ma mission en tant que chargée de l’accueil client et exécutant administratif. 8 a.Mes tâches récurrentes 8 b.Mes tâches ponctuelles 10 III.Mes compétences acquises 11 Conclusion 12 Table des annexes 14 Présentation du crédit agricole

Enfin, je remercie toute personne qui a participé de près ou de loin à l’élaboration de ce rapport. Nabil BENHALIMA Avant Propos : Le secteur bancaire au Maroc : De 21 banques en 2000, le Maroc n’en compte plus que 17 en 2005. La concurrence apparaît dans le secteur en 1998 et les banques connaissent, depuis, un resserrement de leur marge d’intermédiation, qui nourrit une dynamisation de concentration. La rentabilité globale et la situation prudentielle des banques généralistes commerciales

principale. b) Description de l ’environnement global : description résumée, souvent chiffrée, des composantes (économie, tourisme, social, géographie, services, activités…) qui caractérisent la zone d ’implantation Diagnostic, analyse de la concurrence et potentialités, analyse S.W.O.T. Mode d ’emploi phase 1 : conception c) Définition de(s) la clientèle(s) à cibler : tendances de la demande, et caractéristiques des clientèles = mise en avant de la bonne adéquation entre les offres et les attentes

proposent les mêmes services garantis qualité ATOL. B) Analyse du Chiffre d’affaires Communication nationale L’objectif de la communication pour un opticien est avant tout d’informer le client de l’existence de son enseigne, afin d’attirer une clientèle plus large et de la fidéliser. La guilde impose un relais de campagnes publicitaires tout au long de l’année par voie d’affichage et de presse, à concurrence de 40% du chiffre d’affaires. Au-delà l’opticien

Fournisseur passif : non régulier - Gestions du portefeuille de fournisseurs. Le principal choix de haut niveau concernant la gestion des fournisseurs est le type de relation, c’est à dire si un marché d’approvisionnement fait de partenariat ou de concurrence est préférable - Evaluation stratégique des fournisseurs partenaires sont évalués au bon moment avec une priorité spécifique donnée aux résultats de la relation Processus d’achat complètement différent selon 3 types d’achats : achats industriels

Professionnelle : Introduction  1ère partie I Description et analyse de la situation de l’entreprise 3 1.1 Fiche d’identité de l’entreprise 3 1.2 Organigramme 3 1.3 Activité del’entreprise 4 1.2.1 Métiers et savoir-faire 4 1.3.2 CA et contexte économique 4 II Analyse commerciale de l’entreprise 5 2.1 Clients 5 2.2 Zone de chalandise et politique de distribution 5 2.3 Contexte concurrentiel 5 2.4 Analyse de la politique commerciale 6 III Analyse financière de l’entreprise 6 3.1 Le bilan fonctionnel

du tissu est un vrai handicap par rapport aux pays d’Asie de l’est. - La concurrence interne féroce liée à la démultiplication des acteurs. Financement : Il est principalement endogène et basé sur la confiance : 66,3% des acteurs. L’autofinancement et financement familial y tiennent une bonne part. On retrouve également, crédits fournisseurs, petites associations pour achats de lots. En revanche, le recours au crédit bancaire est faible (3.2%). Les principales raisons invoquées sont la méfiance

L’intérêt envers la cible “jeunes” 24 B. Les acteurs de la banque en ligne 26 1) Etats des lieux de la concurrence 26 2) La réponse des banques traditionnelles 31 3) La Net Agence de BNP Paribas 33 a) Les canaux online 34 b) Les canaux offline 34 PARTIE III A. L’enquête et ses resultats 36 1) Presentation 36 2) Résultats 36 3) Discussion et analyse 43 Conclusion 45 Apport Personnel du stage 47 Bibliographie 49 Annexes………………………………………………………………………………………………………