Culturalisme

collectvies. Ces groupes confèrent des identités communautaires et refabriquent un holisme identitaire qu’il s’agissent de la bande de quartier ou de l’adhésion à une communauté raciale ou religieuses. Selon l’auteur, cela a un contre effet de multi-culturalisme car tout en arborant l’étendard de la différence, on fabrique des micro-conformismes encore plus contraignants. C’est dire qu’un homosexuel ou une femme ne se voit reconnu qu’a condition qu’il adhère à une catégorie, répudiant du même coup sa

jeu ou des rituels etc. … Il faut aussi compter avec la variété des grands courants qui l’ont traversée, certains devenus caducs, d’autres toujours en débat actuel. Ainsi en est-il de l’évolutionnisme, du diffusionnisme, du fonctionnalisme, du culturalisme, du structuralisme -et même du post-structuralisme- ou du marxisme, autant de définitions que d’écoles. Enfin, même si les fondateurs de ces écoles anthropologiques sont en grande partie anglo-saxons, français ou allemands, il existe une multiplicité

nombril du monde et la périphérie ne peut être que réceptive. Il y a donc eu à travers ces approches l’émergence d’idéologies notamment le culturalisme une idéologie entretenue par Lewis Morgan et c’est également l’analyse systémique classique qui est au cœur de l’émergence de la théorie ou de l’approche évolutionniste de Lucien Levy Brühl. Le culturalisme tend à soutenir l’idée que les sociétés non occidentales sont dotées de cultures supérieures, au point où au contact des sociétés non occidentales

construit ainsi nos références culturelles. 8. Le langage de l’espace Franz Boas fut le premier anthropologue à mettre en évidence la relation qui existe entre langage et culture. Il est à l’origine du nouveau courant de l’anthropologie culturelle ou culturalisme (début du 20ème siècle)12. - Les sociétés sont des créations culturelles. - Dégager la culture d’une société (complexe). - La civilisation occidentale est en train de dominer le monde. - Position éthique de l’anthropologue : que faire de ce fatalisme

définit de la manière suivante : - La fonction de stabilité normative : La socialisation doit assurer le maintien et la stabilité des valeurs et des normes et faire en sorte que celles-ci soient connues des acteurs et intériorisées par eux.(culturalisme) - La fonction d’intégration : L’exercice de la socialisation doit assurer la coordination nécessaire entre les différents agents socialisants (famille, école, crèche…). - La fonction de poursuite des buts : La socialisation doit permettre

les mœurs, les droits, les coutumes, ainsi que toutes les dispositions acquises par l'Homme vivant en société". La culture n'est pas innée, elle s'acquiert, nécéssite une transmission. Dans les années 1950-1960, se développe le courant du culturalisme. Ce courant a donné les bases pour expliquer les infulences et les coutumes de la culture sur la personnalité collective. Ce courant se développe surtout aux Etats-Unis avec Magareth Mead, Rose Benedict, Abraham Kardiner et R. Linton. Claude

programme culturaliste a) Bref historique du culturalisme: Programme né aux Etats-Unis né au XXème siècle qui à partir de 1935 domine la sociologie américaine. Programme de recherche sur le recul actuellement mais très souvent les sociologues ont été imprégnés par ce programme. Mais programme qui a du mal à analyser les sociétés modernes. L’individu post moderne n’aime pas entendre dire qu’il est déterminé. b) La problématique culturalisme Dans quelle mesure et selon quels mécanismes la

Première partie : Les " grandes oppositions qui traversent la discipline ". Chapitre 1 : Max Weber et la sociologie compréhensive Chapitre 2 : la pensée de Durkheim : père de la sociologie française Chapitre 3 : Le structuralisme, le culturalisme Chapitre 4 : La sociologie américaine 1 ( La 1ere école de Chicago, le fonctionnalisme ) Deuxième partie : Les grands courants Chapitre 5 : La sociologie américaine 2 ( L'interactionnisme ) Chapitre 6 : Les différentres forme d'invidualisme

est que c’est un code mis en œuvre par des acteurs, c’est donc un guide de nos actions en tant qu’acteur. Dans les sociétés complexes, aucun individu n’est exposé à une culture homogène et unique ; la culture n’est pas statique, comme le pense le culturalisme qui gomme la catégorie de l’action. Les cultures islamique et chrétienne ont bien contribué à forger des systèmes politiques à partir de systèmes de signification différents (Badie, Les deux Etats, 1986). Des codes culturels spécifiques façonnent

traditionnelles. L’aboutissement logique est qu’on se renferme sur soi-même. Un danger d’une mauvaise herméneutique, celle qui ferait plus de s’approprier d’une autre culture que la notre, contraire à l’Évangile. Ainsi, le christianisme sera transformer en culturalisme sans un fondement biblique valable. Face au progrès technologique, il se pose le problème éthique du à la dualité de différentes perspectives. La question est celle de savoir comment nous pouvons garder notre identité en nous laissant ouvert à