Cynisme De Dom Juan

Extrait de la scène 4 de l’acte I de Cyrano de Bergerac d’Edmond Rostand (p. 55, v. 310, à p. 59, v. 389). Texte B : Extrait de la scène 3 de l’acte V du Mariage de Figaro de Beaumarchais (pp. 70-73). Texte C : Extrait de la scène 2 de l’acte I de Dom Juan ou le Festin de pierre de Molière (pp. 73-75). Texte D : Extrait de la scène 3 de l’acte III de Lorenzaccio d’Alfred de Musset (pp. 75-76). Texte E : Extrait de la scène 2 de l’acte II de Ruy Blas de Victor Hugo (pp. 76-78). Texte A : Extrait de

d’un dogue allemand énorme (l. 22) qui menace de mordre. Le narrateur insiste donc sur la fragilité et la faillite de l’être humain, vite dépassé par les animaux eux-mêmes. À moins qu’on ne perçoive, dans cette image du chien, une référence au cynisme chez un auteur qui pratique une vision cynique du monde. VERS LE BAC Invention Il s’agit d’écrire à partir d’un support iconographique. On pourra demander aux élèves de reprendre le dispositif énonciatif et descriptif construit par Michel

guzla ou Choix de posies illyriques recueillies dans la Dalmatie, la Bosnie, la Croatie et lHerzgovine (juillet 1827), croyant quelles taient des traductions de pomes authentiques. - Cela vous plat dire. Expression vieillie, souvenir de Molire (Dom Juan, II, 2). - ghazel Posie persane ou turque, sur des sujets rotiques ou mystiques. Page 248 - le monde Partie de la socit qui vit dans le luxe, avec le got du divertissement. Page 249 - transport Vive motion. Page 250 - kapas Tumulus. Le mot figure

d’un dogue allemand énorme (l. 22) qui menace de mordre. Le narrateur insiste donc sur la fragilité et la faillite de l’être humain, vite dépassé par les animaux eux-mêmes. À moins qu’on ne perçoive, dans cette image du chien, une référence au cynisme chez un auteur qui pratique une vision cynique du monde. VERS LE BAC Invention Il s’agit d’écrire à partir d’un support iconographique. On pourra demander aux élèves de reprendre le dispositif énonciatif et descriptif construit par Michel

usages de la représentation comme telle et du pouvoir de la représentation. Ici, effectivement, l’usage de la représentation dans son usage esthétique est de transformer l’existence en un tableau plaisant. C’est un point de vue possible, celui du cynisme. Il y a sans doute une polyphonie à l’œuvre dans l’écriture ; on constate en tout cas une tension entre sentiment moral et sentiment esthétique mais également une deuxième tension entre le sentiment immédiat de la justice et de l’injustice et la raison

la guerre civile ou du fanatisme arme les hommes de poignards, et que le sang coule à grands flots sur la terre, que le laurier d’Apollon s’agite et verdit. » Ici elle permet à l’artiste de regarder la réalité en face sans en tirer des leçons de cynisme. Le peintre reste toutefois hors de la vie politique : « Pourquoi m’en voudrait-on ? je ne fais de mal à personne. Je passe les journées à l’atelier. (…)Personne ne me connaît, et je ne connais personne : à qui ma vie ou ma mort peut-elle être utile

la guerre civile ou du fanatisme arme les hommes de poignards, et que le sang coule à grands flots sur la terre, que le laurier d’Apollon s’agite et verdit. » Ici elle permet à l’artiste de regarder la réalité en face sans en tirer des leçons de cynisme. Le peintre reste toutefois hors de la vie politique : « Pourquoi m’en voudrait-on ? je ne fais de mal à personne. Je passe les journées à l’atelier. (…)Personne ne me connaît, et je ne connais personne : à qui ma vie ou ma mort peut-elle être

moins vagues. Ce devoir des banquiers n’est manifestement pas respecté ici et on le remarque en particulier lorsque l’on observe les slogans utilisés. 2. Escuchar y expresarse Cd classe 1, piste 2 – Cd élève, piste 1 Vivir en casa de los padres Juan Carlos Martínez, mileurista de 33 años. « Trabajo desde hace nueve años como comercial. Gano alrededor de 1.100 euros brutos al mes. Y he intentado independizarme dos veces : la primera me fui con mi hermana ; la segunda, con amigos. Las dos veces

s’attacher à dépeindre un amour en perdition, ou plutôt perdu d’avance, puisque les deux amants ne semblent guère s’accorder. L’extrait de Bel-Ami envisagé va ainsi brosser le tableau d’une passion amoureuse, vu sous un jour propre au nouveau « Dom Juan » qu’est Georges Duroy, mais également s’attarder sur les ridicules de Mme Walter, maîtresse naïve et enfantine. C’est ainsi d’abord à l’évocation de cette passion amoureuse particulière que va se consacrer notre extrait : une passion qui

libertin adopte le langage de celle qu’il veut séduire : le libertin est un vide, il n’a pas de langage propre le libertin est un caméléon, sans identité propre PROTÉIFORME cfr. Tirso de Molina ‘El burlador de Sevilla’ : présente un Dom Juan = ‘un hombre sin nombre’ remarque : il est possible que lorsque il devient amoureux de Mme de Tourvel, il développe un langage vrai, un véritable identité → le roman contient sa propre inversion : «  Les Liaisons dangereuses,