Cynisme Stoicisme

Méditation du 21 mars 2011 – Ronald White Bonsoir, Aujourd’hui, je vais vous parler d’un texte de John Main qui est intitulé en anglais Isness. C’est un titre que j’ai beaucoup de difficulté à traduire et qui signifie plus ou moins : Le fait d’être. Dans ce texte qu’on retrouve en page 27 de son livre «The way of unknowing», John Main remarque que de plus en plus de gens sont conscients du fait que, dans la société moderne, nous avons perdu le contact avec l’essentiel. Il poursuit en disant

Travail écrit n°3 : Dissertation : Depuis bien longtemps et encore actuellement les hommes se questionnent sur le bonheur. Ils le désirent plus que tout et passent parfois leur vie à l'attendre ou à avoir peur qu'il ne dure pas. Mais les philosophes, eux, se sont réellement penchés sur la question à savoir comment atteindre ce bonheur tant convoité. Mais chacun d'eux diffèrent sur la maîtrise de celui-ci et sur la manière de l'atteindre. Afin d'en savoir plus sur ce bonheur, je vous exposerai

IIIIII- Se contenter de peu, c’est se satisfaire du peu que l’on a conquis et mérité, en profiter conduit à un bonheur légitime Se contenter de peu, c’est aussi renoncer à ses désirs, et donc à un possible bonheur Mais finalement, se contenter de peu, n’est-ce pas faire preuve de sagesse en évitant le malheur qui accompagne le bonheur ? Le désir est considéré par Spinoza dans L’éthique comme une force vitale. Se contenter de peu de désirs revient à vivre moins intensément, et donc à moins être

Nous connaissons la vérité non seulement par la raison, mais encore par le coeur ; c'est de cette dernière sorte que nous connaissons les premiers principes, et c'est en vain que le raisonnement, qui n'y a point de part, essaye de les combattre. Les pyrrhonien? qui n'ont que cela pour objet, y travaillent inutilement. Nous savons que nous ne rêvons point ; quelque impuissance où nous soyons de le prouver par raison, cette impuissance ne conclut autre chose que la faiblesse de notre raison, mais non

Cette thématique du masque irrigue bien tout ce chef-d’œuvre de Musset lui donnant son unité dramatique. La réflexion désabusée sur l’action politique fait de Lorenzaccio une pièce moderne qui tranche profondément sur la production de son époque. Son sujet très critique, sa démesure, sa volonté de l’inscrire dans la tradition shakespearienne des tragédies historiques, l’ont écartée certainement de la représentation du vivant de Musset. Mais le personnage lui-même, double de l’auteur, a contribué

Pure Innocence! Vertu sainte! O les deux sommets d'ici-bas! Où croissent, sans ombre et sans crainte, Les deux palmes des deux combats! Palme du combat Ignorance! Palme du combat Vérité! L'âme, à travers sa transparence, Voit trembler leur double clarté. Innocence! Vertu! sublimes Même pour l'oeil mort du méchant! On voit dans l'azur ces deux cimes, L'une au levant, l'autre au couchant. Elles guident la nef qui sombre; L'une est phare, et l'autre est flambeau; L'une a le berceau dans son ombre

La colére La colère est une émotion,qui traduit l'insatisfaction. On éprouve cette émotion ( qui peut être considérée comme une passion) envers une personne ( ou un objet) que nous considérons comme coupable de notre frustration. La colère s'exprime par un comportement agressif et un vif mécontentement. Il y a différente intensités de colère qui dépendent de l'importance de la frustration,qui vas du mécontentement à la rage. Du point de vu d'une personne qui éprouve une insatisfaction on

Proverbes et citations Se venger d'une offense, c'est se mettre au niveau de son ennemi ; la lui pardonner, c'est se mettre au dessus de lui. Le pardon est la plus belle de toutes les choses du monde, mais surtout la plus difficile d’entre toutes ; c’est tout simplement la porte de la sagesse. Savoir pardonner c’est : ouvrir son âme, purifier son esprit , et adoucir son cœur. Lorsque l’on pardonne à quelqu’un, combien même il est fautif, on devient plus fort que lui. Moi en tout cas c’est ce

Il y a celui qui souffre parce qu’il a fait souffrir autrui. Il y a aussi celui dont la souffrance ne concerne que lui, sans qu’elle soit en rapport avec une faute, ni un méfait, sans qu’aucun reproche ne peut lui être adressé. Il y a cet enfant, qui seul témoigne de l’innocence, mourant dans les bras de son père, après que la mer l’eût emportée, ou parce que la terre s’est fait violente. La souffrance n’est pas toujours conditionnée. Elle tombe parfois, comme çà, quand la nature se déchaîne, ou

sans craindre la mort, car celle-ci est une privation. (B). Faites des liens entre le récit et (i) le stoïcisme (i) Ensuite pour atteindre l’ataraxie, le stoïcisme recommande d’abord de distinguer ce qui dépend de nous et ce qui n’en dépend pas, donc nous devons contrôler ce qui dépend de nous et non ce qui n’en dépend pas. Dans la deuxième partie, Siddhartha respecte la manière de vivre du stoïcisme et décide de contrôler ce qui dépend de lui et ne se souci pas de ce qui ne dépend pas de lui. Par