Cytolyse hépatique

Nom du médicament : duphalacNom de la molécule : lactulose | Forme pharmaceutique possibles : Solution buvable 15 mlFlacon 200 ml Présentation : sachets | Indications thérapeutiques | -Traitement symptomatique de la constipation-Encéphalopathie hépatique | Modes d’administration | -Voie orale : pur ou dilué-Voie rectale : diluée | Contre-indications | -Colopathies organiques inflammatoires-Syndrome occlusif ou subocclusif-Syndrome douloureux abdominaux de cause indéterminée-Régime exempt de galactose-

légumes et des fruits est en général autorisée. Il faut éviter les fritures, les graisses cuites et l'alimentation trop riche Dans un souci de confort intestinal, adapter le repas à l’ appétit. Eviter les boissons gazeuses et alcoolisées.86Bilan hépatique BilirubinémieBilirubine totale: N= 3 à 20µmol/lBilirubine libre: N=2 à 17µmol/lElle augmente par hémolyse (anémie hémolytique), par déficit en enzymes de conjugaison ou dans les hépatites viralesBilirubine conjuguée: N=0 à 3µmol/lAugmente lors d’ictère

principal cation du secteur extracellulaire.  Hyponatrémie : Conséquence d'un déficit d'apport de sodium. : pertes digestives, rénales. Conséquence d'une augmentation de la quantité d'eau (hyperhydratation) : insuffisance cardiaque, rénale, hépatique; œdèmes. Hyponatrémie de dilution. Hypernatrémie : Conséquence d'une diminution de la quantité d'eau (déshydratation) : pertes digestives, diminution d'apport hydrique, perte d'eau importante, sudation. Conséquence d'une surchage

le principal cation du secteur extracellulaire. Hyponatrémie: Conséquence d'un déficit d'apport de sodium. : pertes digestives, rénales. Conséquence d'une augmentation de la quantité d'eau (hyperhydratation) : insuffisance cardiaque, rénale, hépatique; œdèmes. Hyponatrémie de dilution. Hypernatrémie: Conséquence d'une diminution de la quantité d'eau (déshydratation) : pertes digestives, diminution d'apport hydrique, perte d'eau importante, sudation. Conséquence d'une surcharge de sodium.

catalytique (ou concentration d'activité enzymatique). Homogène à une vitesse initiale (UI/L = μmol.L-1.min-1) III.E. Intérêt médical Diagnostic biologique Exemples : Cytolyse hépatique (hépatite virale ou toxique) : libération massive d'enzymes cytosoliques dans le sérum → élévation de l'activité sérique de ALAT et ASAT Cytolyse pancréatique (pancréatite) : libération de lipase Suivi biologique Exemple : Médicaments hépatotoxiques : suivi d'ALAT et ASAT IV. ISOENZYMES Les isoenzymes sont des

concernant le Paracétamol Paracétamol (para-acétyl-amino-phénol) Propriétés pharmacologiques Antalgique et antipyrétique Posologie habituelle 1g 3 à 4 x/jour espacé de 4h et 60mg/kg/j pour enfant. Effet indésirable majeur Toxicité hépatique et cytolyse hépatique si posologie trop grande. Entraîne la mort du patient. La dose toxique est à 10g. Antidote N-acétyl cystéine (mucomyste) 15. Complétez et expliquez le tableau suivant concernant l’Aspirine® Aspirine® (acide acétylsalicylique) Propriétés

principales en dehors des causes idiopathiques. Partie 4 : Hépatologie Question 1. Citez les anomalies biologiques caractéristiques d’une cytolyse hépatique. Question 2. Citez les 2 examens biologiques essentiels pour apprécier la gravité hépatique d’une cytolyse hépatique aiguë. Question 3. Citez 2 virus hépatotropes pouvant provoquer une cytolyse hépatique chronique (plus de 6 mois). ANNALES PAE MEDECINE GÉNÉRALE - MAFUTA - 2020.indd 18ANNALES PAE MEDECINE GÉNÉRALE - MAFUTA - 2020.indd

pharmacodépendance ou toxicomanie Iatrogénie Quelques médicaments impliqués Médicaments cardiovasculaires Diurétique hyponatrémie, hyperkaliémie Antagoniste calcique insuffisance cardiaque Les AINS et antalgiques Ulcère gastroduodénal Cytolyse hépatique sévère Les Anti-infectieux Manifestations allergiques Colite pseudo-infectieuse Les anti-vitaminique K Hémorragies 20 Dangers des médicaments Toxicité 21 Aucun médicament n’est inoffensif Toxicité aiguë : Absorption

Seldinger pour la mise en place de drains dans des collections abdominales, dans les voies biliaires, ou encore pour la réalisation des gastro-jéjunostomies par voie percutanée. - les techniques endovasculaires appliquées au traitement des tumeurs hépatiques (chimo-embolisations), des hémorragies digestives d’origine artérielle (embolisations hémostatiques) ou des complications de l’hypertension portale (shunts porto-sushépatiques). 15 1. CONDITIONS GÉNÉRALES DE RÉALISATION DES ACTES INTERVENTIONNELS

moyen et long terme[modifier le code] Une consommation chronique d'éthanol a des répercussions directes sur différentes fonctions et organes du corps : système nerveux : neuropathie alcoolique, névrite (optique rétro bulbaire), encéphalopathie hépatique, démences alcooliques (Korsakoff, Maladie de Marchiafava-Bignami, Wernicke), hallucinose alcoolique) ; foie : cirrhose avec insuffisance hépato-cellulaire ; pancréas : pancréatite (aiguë ou chronique, insuffisance pancréatique exocrine (mal digestion)