Cytolyse hépatique

secondaires du saquinavir sont rares et modérés (8). Ils ne sont pas dose-dépendants (4) : on note essentiellement des troubles digestifs (diarrhée, nausées, gêne abdominale) survenant chez 5 p. 100 des malades traités (3), des vertiges (9) et une cytolyse hépatique peut être notée (2, 8). En monothérapie, un prurit, des ulcérations buccales et des éruptions cutanées aspécifiques sont rapportés (2). Il existe de nombreuses interactions médicamenteuses entrainant une augmentation des taux sériques (kétoconazole

une hypertension ou une insuffisance hépatocellulaire. Rappel anatomiques Anatomie et micro anatomie Le foie fait deux kilos situé en dessous des côtés et est bien vascularisé, il y a une double vascularisation : le sang qui arrive par l’artère hépatique et la veine porte (qui ramène le sang de l’intestin et tous les nutriments absorbé dans l’intestin). Le foie a donc deux fonctions synthèse de protéine et détoxification des molécules amené par l’intestin, il sécrète également le liquide biliaire

différencié. Un cas de lymphome de MALT a été retrouvé chez une patiente de 60 ans ayant une notion de conservation de la viande et du poisson par salaison. Les métastases ont été retrouvées chez 15 patients avec une fréquence élevée des métastases hépatiques dans 9 cas ; suivi de métastases ganglionnaire et splénique dans 4 cas chacun et de métastases pancréatique dans 3 cas. L’anémie a été retrouvée chez 16 de nos patients, dont 11 cas d’anémie microcytaire hypochrome et de 5 cas d’anémie normochrome

cellules hépatiques, connues sous le nom d’ hépatocytes. Au cours de l'infection par le virus de l'hépatite B, la réponse immunitaire hépatocellulaire est responsable à la fois des lésions hépatiques et de l’élimination du virus. Bien que la réaction d’immunité naturelle ne joue pas un rôle important dans ces processus, la réponse immunitaire adaptée, en particulier celle des cellules T cytotoxiques spécifiques du virus (CTLs), contribue à la formation de la plupart des lésions hépatiques associées

opioïdes. Effets indésirables : nausées, vomissements, constipation, somnolence, étourdissements, vertiges, céphalées, bronchospasme. Contre-indications : insuffisance respi et asthme sévère, insuffisance hépatique, insuffisance rénale sévère, épilepsie non contrôlée. Rôle infirmier : observer le patient et établir un recueil de données sur la douleur : type, intensité, localisation, durée… ; EN, EVA, surveiller l’efficacité du ttt : diminution

lipophiles. Certains se « diluent » dans l’eau corporelle totale, d’autres dans le milieu extracellulaire, souvent médicaments Hydrophiles. Le secteur de diffusion est apprécié en partie par la notion de volume de distribution. Elimination hépatique Concerne au moins la moitié des médicaments Fait intervenir * soit des processus de transport(sécrétion biliaire) *soit des processus de transport + métabolisme Métabolisme des médicaments Environ 50 % des médicaments sont métabolisés

situation à risque sexuel. Les symptômes surviennent entre 10 et 15 jours suivant la contamination ; ils sont associés à des anomalies biologiques hématologiques (thrombopénie, neutropénie, hyperlymphocytose ou lymphopénie précoce) et/ou à une cytolyse hépatique. Ils s’amendent spontanément en 2 à 4 semaines, les adénopathies pouvant persister plus longtemps. Les principaux diagnostics différentiels de la primo-infection par le VIH sont les syndromes mononucléosiques (EBV, CMV, toxoplasmose…), la grippe

folinique 25 mg/j  Sulfadiazine : per os   100 mg/kg/j soit 4 à 6 g par jour pendant 6 semaines Puis 2 g par jour en entretien • Effets secondaires :   Pyriméthamine : toxicité hématologique Sulfadiazine : cutanés, hémato, hépatique, rénal Yeni. Rapport 2008 Traitement curatif  Alternatif :Pyriméthamine / clindamycine :  En cas de contre indication à la sulfadiazine Efficacité équivalente mais moins rapide Pyriméthamine : même dose Clindamycine :   

plus sensible. Elévation de la créatinine. Hyperkaliémie et troubles du rythme. Anurie et œdème pulmonaire. Dialyse. Cours IFSI CLINIQUE: La défaillance multiviscérale (2) 33 Le foie: Défaillance hépatique   Signe de gravité Cytolyse: dysfonctionnement de la pompe cardiaque Insuffisance hépatique: hypoglycémie, élévation lactate Le Poumon: Défaillance respiratoire   Inflammation générale du poumon Détresse respiratoire, hypoxie, hypercapnie Ventilation artificielle Cours IFSI 34 ROLE

Dans les hépatocytes, ils entament la schizogonie pré-érythrocytaire : le parasite, après des multiplications, donne un corps bleu ou schizonte mûr. Le schizonte mûr s'individualise, s'éclate et donne plusieurs milliers de mérozoïtes. La cellule hépatique se rompt et le corps bleu déverse la plupart des mérozoïtes dans le sang oü ils vont amorcer le stade endoérythrocytaire. Chaque mérozoïte parasitera une hématie. La formation des gamétocytes aura lieu dans la rate et la moelle osseuse. Leur expulsion