Dans Le Regne Des Fins De Kant

I- LE CONTEXTE HISTORIQUEI- LE CONTEXTE HISTORIQUE XVIII me : un siècle marqué par les difficultés économiques et la philosophie des Lumières qui s’achève par la révolution française · Crise économique (guerre, famine, banqueroute de Law) · Affaiblissement de l’autorité de l’état, montée en puissance de la bourgeoisie, contestation des privilèges de la noblesse, importance de l’argent (les discriminations sociales et et les clivages de la société deviennent de plus en plus insupportables

la volonté des autres. Alors pourquoi acceptons-nous d’obéir ? « Obéir » c’est se soumettre à la volonté d’un autre qui exerce sur nous un pouvoir ie une relation entre deux individus tel que l’un dirige la conduite de l’autre pour parvenir à ses fins) ( cf M.Foucault et l’analyse des micros-pouvoir). Obéir c’est donc renoncer à sa liberté. Mais de quelle obéissance parle-t-on ? L’obéissance peut être contrainte, mais aussi libre id est consentie. On peut donc paradoxalement, librement renoncer

privé d’exposition publique ? Cela signifie-t-il que le processus de démocratisation est corrélé à un processus d’extension de la publicité et de la transparence ? Toutefois, transparence et démocratie marchent-elles toujours de pair ? Une société où règne l’idéologie de la transparence absolue est-elle vraiment un idéal soutenable ? Quels sont les risques et perversions qui peuvent résulter de l’usage de la transparence absolue ? Dès lors, comment repenser la place du curseur entre secret et transparence

Le choix a donc bien une raison : la volonté ; mais la volonté n'a pas elle-même de raison (sinon elle serait déterminée par celle-ci, c'est-à-dire non libre), elle choisit ses raisons d'agir, elle est à elle-même sa propre raison. C'est ce que Kant (Critique de la raison pure) en particulier a noté. Deux idées de la raison bafouent le principe de raison suffisante : - dans le domaine de la connaissance : l'idée d'une cause incausée, d'une cause de la causalité du monde mais elle-même sans cause

obligatoire pour tous sans exception. Cela peutparaître utopique à certains, notamment à ceux dont la spécialité est la combine et la magouille,substantifs que le Petit Larousse définit ainsi : - combine :« moyen habile et peu scrupuleux pour parvenir à ses fins » - magouille : « lutte d’influence, série de combinaisons douteuses ou malhonnêtes entredes groupes, des organisations quelconques ou entre des personnes à l’intérieur d’un groupe. » 6 7. Ce cheminement vers le désastre par les voies tordues précitées

et d’actions, de figures infiniment variées de peuples, d’États, d’individus qui se succèdent sans repos. Tout ce qui peut passionner l’âme humaine, le sentiment du bien, du beau, du grand est ici mis en jeu. Partout, on se réclame de fins, on poursuit des fins que nous acceptons et dont nous désirons l’accomplissement : nous espérons et nous craignons pour elles. Dans ces événements, ces incidents, nous sentons l’action et la souffrance des hommes. Partout, nous nous trouvons chez nous et prenons

Louis Marly TD5 Léo Strauss et la modernitéDans quelle mesure la pensée de Léo Strauss illustre un antimodernisme singulier?Léo Strauss est un penseur au cheminement intellectuel profondément marqué par la première moitié du XXème siècle. Né dans une famille de commerçants dans la ville de Kirchhain, en Allemagne en 1899, sa famille pratiquant « un judaïsme pieux» dont il se détache vite, il découvre la philosophie avec Friedrich Nietzsche dont il « croit alors tout ce qu’il disait ». Il entame

Introduction à l'étude des sciences humaines Le vivant : Kant, Critique de la faculté de juger La matière et l'esprit : Merleau-Ponty, Signes La vérité : Bachelard, La Formation de l'esprit scientifique 4. La politique La société : Hobbes, Du Citoyen La justice et le droit : Rousseau, Du Contrat social L'État : Montesquieu, De l'Esprit des Lois, Livre III, chapitre 9 5. La morale La liberté : Sartre, Cahiers pour une morale Le devoir : Kant, Fondements de la métaphysique des mœurs Le bonheur

affirme que le bonheur individuel n'est possible qu'au sein d'une communauté dont tous les membres sont heureux : même si le bonheur personnel est, en tant que fin-en-soi, une fin qui ne saurait aucunement servir de moyen à la réalisation d'autres fins, il n'en est pas moins, pour autrui, un moyen d'atteindre son propre bonheur. Cette thése est fondée, comme le fait observer John Stuart Mill, sur la remarque simple que le bonheur individuel est un bien dont la jouissance ne peut être durable que

Platon 3.3 Premières occurrences du mal dans les textes judéo-chrétiens 3.4 Théodicée augustinienne 3.5 Les Présocratiques 3.6 Platon et néoplatonisme 3.7 Stoïcisme 3.8 Épicurisme 3.9 Cyrénaïsme 3.10 Gnosticisme 3.11 Spinoza 3.12 Leibniz 3.13 Kant - Définition du mal 3.14 Friedrich Wilhelm Joseph von Schelling 3.15 Nietzsche 3.16 John Rawls - Théorie de la justice 3.17 Norman Spinrad 3.18 Marxisme 3.19 Michel Henry 4 Source du mal 5 Le problème du mal et la croyance en Dieu 5.1 Différentes