Dans Quelles Affaires Judiciaires Voltaire Intervient Il Au Nom De La Tolerance

brillamment dans la Défense de l’esprit de lois (1750). Un accueil triomphal dans toute l’Europe n’a pas empêché la querelle de reprendre jusqu’à la condamnation de l’ouvrage par la Sorbonne et sa mise à l’index par le saint siège. Montesquieu, soutenu par voltaire et les encyclopédistes, est reconnu dès ce moment comme le père des philosophes des lumières. Il a écrit beaucoup d’ouvrage notamment : lettres persanes (1721) ; Considérations sur les causes de la grandeur et la décadence des romains (1734) ; Pensées

en avant des causes économiques. Et loin d’être achevée, cette discussion qui fut une ligne de clivages entre droite et gauche, est toujours d’actualité. Au point qu’un homme politique président à la présidentielle de 2007, à écrit un ouvrage « au nom du tiers Etat », de même que V. Peillon à écrit un livre «  la révolution n’est pas terminé ». La révolution est ainsi encore dans les pensées des hommes politiques contemporain. CHAPITRE 1ER : LA CRISE DE L’ANCIEN RÉGIME OU COMMENT MEURT UNE MONARCHIE

croient pas et les révolutionnaires moyens n'en veulent pas. Pour la majorité des contemporains, c'est le phénomène de « la révolution surprise » puisque personne n'ai arrivé à prévoir une révolution, et surtout pas les penseurs des lumières (Diderot, Voltaire, Rousseau). Les révolutions de masse : les révolutions dans lesquelles la masse populaire suit la masse révolutionnaires. Elles peuvent être plus ou moins spontanées et dirigées (on se sert du peuple pour déstabiliser le régime que l'on veut détruire)

absolue par rapport à la contrainte, personne peut le contraindre. Les théoriciens considèrent que l'ensemble des différentes communautés formaient une sorte d'organisme et que leurs intérêts étaient entre les mains du roi, le roi absorbe tout au nom de l'intérêt général. Il y a un caractère divin de la monarchie, on utilise à partir du 17ème la formule « roi par la grâce de Dieu ». Le roi est un personnage hors du commun. Le roi dans l'antiquité ou encore en Egypte était considéré comme sacré

| | |entre l’administration et les particulaires | | |Droit Civil |Régit les rapports fondamentaux des personnes entre elles.|Nom, nationalité mariage propriété | | | |Contrat de vente, responsabilité | |Droit commercial |Régit

un droit public international qui concerne les rapports des États entre eux, et un droit public européen qui concerne l’organisation de l’UE (le droit européen a une autorité directe en France). Cette différence a des conséquences sur le système judiciaire. Il ne faut pas croire que le droit public ne s’intéresse qu’à l’intérêt public, car c’est aussi le cas du droit privé de s’intéresser à l’intérêt public. Dans le droit privé, il y a des règles de différentes natures : -règles subjectives :

Siècle avant notre ère, désormais le pouvoir est exercé par un ou plusieurs magistrats qui portent des noms variés, il y a des archontes et des prytanes. Ces magistrats exercent les fonctions publiques essentielles et ils ont aussi des fonctions judiciaires. Ils sont élus par un conseil d’anciens qui sont des sages de la Cité et ils sont contrôlés par ce conseil d’ancien. Les magistrats ne sont pas seuls, le système prévoit aussi une assemblée qui vote les lois par acclamation et elle doit ratifier

coutumes variaient dans chaque région. Mais cette diversité annulait tout espoir d’un droit unique. Le coutumier postérieur à la féodalité était inspiré des coutumes et le retour de la royauté n’avait pas remis en cause le morcèlement territorial. Voltaire disait « Lorsqu’un voyage en France, on change plus souvent de coutume que de cheval ». Le pays était divisé en Nord et Sud. Au Nord, plus des coutumes inspirées des germaniques. Ils puisaient leurs coutumes orales propres dans les traditions barbares

notamment sous Saint- Louis, démembrement de la cour féodale. Démembrement qui reste sous l’autorité du roi, car démembrement juste pour des questions pratiques. Le noyau dur, celui qui va s’occuper des affaires les plus importantes, c’est le conseil du roi. Il va s’occuper essentiellement des affaires politiques. 14ème siècle : conseil du roi. Va devenir l’instrument privilégié du gouvernement des rois. Ils ont comprit qu’ils devaient régner seul, mais avec l’aide de serviteurs compétents et fidèles

fédérations et disposent d’organes de délibérations communs. Mais en aucun cas ces cités ne peuvent être comparées à de véritables états centralisés (comme les nôtres aujourd’hui). Chaque cité dispose de ses propres organes de gouvernement, exécutifs, judiciaires et délibératifs ; la Grèce antique est donc composée d’une pluralité de cités autonomes disposant d’une pleine souveraineté au moins jusqu’au 4° siècle avant JC. A partir du 4° siècle, le roi Philippe de Macédoine et son fils Alexandre Legrand