De Oratore

ordres 1. Ceux qui combattent et dirigent (chevaliers/seigneurs) a) Les bellatores, les nobles : ont le pouvoir et forment un armée d’occupation. Se battent. Seuls à porter l’épée et l’armure. 2. Ceux qui prient (clercs/hommes d’Église) a) Les clercs (oratores) appartiennent à l’Église : par nécessairement des prêtes, mais aussi des étudiants. 3. Ceux qui travaillent (paysans/artisans) a) Les laboratores nourrissent les deux premiers. b) Se regroupent métiers. c) Habitent hors des murailles dans les bourgs

autres ordres. Il y a donc une hiérarchisation, dans laquelle ceux qui prient sont au-dessus, ces ordres s’appuient l’un sur les autres. Mais ces trois ordres seront menacés par l’expansion d’une catégorie à part, les bourgeois. JvF Les Oratores Les oratores sont ceux qui prient = il y a deux types de clergé, le séculier et le régulier : Clergé Séculier = celui qui est membre de ce clergé vit dans la société, il consacre sa vie à Dieu mais il est en contact avec la population (fiacre, évêque)

régit en trois ordres traditionnels : celui des moines, celui des clercs et celui des laïcs. Une nouvelle partition a pourtant été proposée, vers 860 par Haymon d’Auxerre puis par le roi anglo-saxon Alfred le Grand qui distinguent ceux qui prient (oratores), ceux qui combattent (bellatores) et ceux qui travaillent (laboratores). Ce nouvel ordonnancement parvient, in fine, à s’imposer au cours du XIe siècle, non sans avoir suscité quelques tensions entre les moines et les évêques qui cherchèrent, tout

Régime : La société d'Ancien Régime (ou société d'ordres) est un mode d'organisation sociale qui a prévalu en France du XVIe au XVIIIe siècle. La population française est alors divisée en trois ordres hiérarchisés et inégaux : • Le Clergé ("oratores" : ceux qui prient ) : c'est le premier Ordre dans la hiérarchie de la société contemporaine. Il est exempté d'impôts mais en perçoit beaucoup et possède son propre système de tribunaux. • La Noblesse ("bellatores" : ceux qui

nel fare la corte ad Ada. Appena compare sulla scena colpisce la sua disinvoltura e naturalezza. Egli incanta il salotto di casa Malfenti sia con le sedute spiritiche, sia con una sorprendente performance al violino. In realtà si dimostra grande "oratore" solo nelle convenienze, mostrandosi particolarmente falso. In effetti, egli è esclusivamente interessato a piacere alla gente, certo della propria influenza positiva. La sua presunzione lo porta a fondare una ditta commerciale intendendo rivoluzionare

parmi les laïcs, en fonction de leur statut : ordo clericorum (au départ n’existe que chez les clercs) 11ème siècle : Evêque Adalbéron de Laon : 3 catégories de personnes : - ceux qui prient : oratores - ceux qui combattent : bellatores - ceux qui travaillent : laboratores 1) Les oratores a) Les séculiers Ce sont ceux qui vivent dans le siècle, qui sont au contact des populations 11ème siècle : hiérarchie assez forte : - pape - cardinaux (élection pape) - archevêques

la premiere partie du Xie siecle. Il va les qualifies du terme oratores ceux qui prient, ceux qui combatent par bellatores et ceux qui travaille les laboratores. A cahcuns de ces ordres vont etre attaches des droits et des privilleges (surtout les deux premier ordres). Ces privilleges attaches a ces ordres vont subsister jusqu’au 4 aout 1789. Cette division correspond a une division sociale mais egalement juridique. Les oratores Il appartiennent a l’ordre clerical. Il peut s’agir de clerc

ecclésiastique : Adalbéron de Laon qui dit que la société comporte 3 ordres : c'est une société trifonctionnelle. Il y'a les oratores : ceux qui prient, c'est le premier ordre ; les bellatores, ceux qui se battent et il y'a les laboratores, ceux qui travaillent. Adalbéron de Laon dit que ces 3 ordres sont intimement liés, ils sont indispensables les uns aux autres. Les oratores vont prier pour les laboratores et pour les bellatores. Ils sont protégés par les bellatores et nourris par les laboratores

d’autre part des langues étrangères espagnol, italien. L’idéal d’une langue littéraire : il s’agit de défendre la dignité de la langue et la création littéraire Réflexion théorique sur la rhétorique C’est bien évidemment la redécouverte du De Oratore de Cicéron, de L’Institution oratoire de Quintilien et la profusion d’essais d’art rhétorique comme celui de Pierre Fabri (ou Le Fèvre) Le Grand et vrai art de pleine rhétorique en 1521. La réflexion théorique sur la poésie, comme pour la rhétorique

oratoire. D’autres auteurs vont ensuite s’intéresser à la discipline. Le plus important est sans nul doute Aristote ( IVème siècle ACN). Cicéron, ensuite publiera le De Oratore où il réfléchit sur sa pratique d’avocat. De ces divers traités, il ressort surtout que la rhétorique vise avant tout à mobiliser, à influencer l’action dans un sens ou l’autre. Le plan rhétorique (la dispositio, en latin) :