Decaissables

comme des dotations courtes sur risques à moins d’un an ou pour dépréciation d’actif circulants susceptibles de déboucher sur des décaissements à court terme. En les mettant ainsi dans les autres charges, le SYSCOA les considère comme des charges décaissables et évite de les inclure dans la capacité d’autofinancement globale (CAFG). 4) PRODUCTIONS STOCKEES OU DESTOCKEES C’est la variation des stocks de produits fabriques, qu’ils soient finis, intermédiaires ou en cours. Elle est calculée de

prévisions de la trésorerie Nathalie Gardès Maître de conférence Chap1 Les prévisions de trésorerie 1. 2 Les méthodes de prévisions de la trésorerie Le budget de trésorerie ne regroupe que des dépenses et des recettes : • ni les charges non décaissables, ni les produits non encaissables n’apparaissent dans les sommes considérées. Ne doivent pas être prise en compte : Les dotations, la vceac, le résultat les variations de stocks Les reprises, les quotes parts de subventions virées au résultat

l'excédent brut d'exploitation (EBE) EBE + transferts de charges d'exploitation vers charges à répartir sur plusieurs exercices + autres produits encaissables de l'activité normale (produits financiers; produits exceptionnels) - autres charges décaissables de l'activité normale (charges financières;charges exceptionnelles) Comptes correspondants Excédent brut d'exploitation + Produits encaissés (ou à encaisser) * Transferts de charges d'exploitation * Autres produits de gestion courante * Produits

diminution d’un compte d’actif). La dotation est une charge particulière, en ce sens qu’elle n’est pas décaissée. Cette charge permet fiscalement une diminution du résultat imposable et donc une réduction de l’impôt sur les bénéfices. Cette charge non décaissable et l’économie d’impôt qui en résulte représentent ainsi pour l’entreprise une source d’autofinancement pour ses investissements futurs. 3.1. L’enregistrement de l’amortissement linéaire On reprend l’application 2 et on suppose que l’entreprise

charges décaissées ou décaissables. L’autofinancement proprement dit qui en découle est inférieur à la CAF car le bénéfice est en partie prélevé ou distribué. La CAF est la ressource interne de l’entreprise. Elle appartient aux ressources propres. Elle est donc une composante des ressources stables nécessaires au financement des emplois stables. Remarque : • Tous les produits ne sont pas encaissables (certains sont calculés) • Toutes les charges ne sont pas décaissables (certaines sont

l’excédent de produits encaissés ou encaissables sur les charges décaissées ou décaissables. C.A.F. = Produits encaissés ou encaissables - Charges décaissées ou décaissables Les produits encaissables : ce sont tous les produits qui donnent lieu à un encaissement immédiat ou futur qu’ils soient d’exploitation, financiers ou exceptionnels. Ce n’est pas le cas des reprises sur amortissements et provisions. Les charges décaissables : ce sont les charges qui donnent lieu à un règlement immédiat ou futur

dernière ligne du compte de produit et de charge ainsi qu’au bilan. Le résultat net en tant que dernier solde ne signifier pas une ressource entièrement disponible dans l’entreprise .plusieurs produits « non encaissable » et plusieurs charges « non Décaissable » figure parmi les éléments qui entrent dans sa formule de calcul. D’ou la préférence des analystes à la capacité d’autofinancement (CAF) qui renseigne mieux sur les possibilités financières de l’entreprise. B- Calcul de la capacité d’autofinancement

décembre : 1500DT Travail à faire : 1. Remplir le bilan simplifié de l’entreprise au titre de l’année N. en plaçant Chaque compte dans le rubrique (emplacement) convenable Sachant que :  Les produits encaissables : 250 000DT.  Les charges décaissables : 127 000DT.  Le conseil d’administration de l’entreprise a décidé distribuer 40% des bénéfices de l’année N sous forme des dividendes aux associés 2. Calculer la capacité d’autofinancement(CAF) de l’année N. 3. Déterminer le montant réservé

formation du compte de résultat et de ses différents cycles. Le calcul de la CAF fut aisé selon la méthode additive mais plus complexe selon la méthode soustractive dans la mesure ou il s’agissait d’exclure du calcul un certains nombre de charges non décaissables et de produits non encaissables. Néanmoins les objectifs de la mission 1 ont été atteint. L’élaboration du bilan fonctionnel nécessitait le regroupement de certains postes du bilan comptable selon les cycles d’investissement, de financement et

c’est -à- dire jusqu’à la fin de l’année N+7. Les produits d’exploitation encaissables espérés sont de 5 000 000 dh hors taxe la première année et de 6 000 000 dh hors taxe pour chacune des années suivantes. Les charges d’exploitation décaissables prévues sont de 250 000 dh hors taxe la première année et de 280 000 dh hors taxe les années suivantes. Le besoin en fonds de roulement d’exploitation peut être raisonnablement estimé à 60J de produits d’exploitation (sur la base d’une année