Decaissables

DF) Reste (70%)  CAPRO C) Le passif circulant (PC) : Il regroupe l’ensemble des dettes à court terme (échéance à moins d’un an) :  Dettes circulantes HAO ;  EAP, produits constatés d’avance… ;  Les risques provisionnés (rapidement décaissables) ;  Les fournisseurs, les créditeurs et les autres créanciers D) La trésorerie- passif (TP) :  Crédits de trésorerie ;  Découverts ;  Crédits d’escompte pour les opérations d’effets escomptés non échus (EENE) dont on n’a pas encore

reste à la disposition de l'entreprise pour s'autofinancer. L'identification de cette ressource dite potentielle passe par une analyse produits encaissables-charges décaissables. C'est le flux de fonds final résultant de la différence entre ces rubriques hors flux liés aux désinvestissements. CAF = Produits encaissables - charges décaissables (Hors désinvestissement) Sur le schéma à suivre, il faut noter que les flux de fin d'exercice ne sont que des agrégats de flux continus constaté tout au long de

produit désigne un bien ou un service créé par l’entreprise, il peut être fini ou en cours. Une charge correspond à une prestation reçue en contrepartie d’un décaissement simultané ou non. Les charges engendrées par l’exploitation peuvent être décaissables ou non. L’accumulation des charges et des produits lui donne une valeur désignée par le terme de coûts. On distingue les coûts complets, coûts qui tiennent compte de toutes les charges se rapportant à un branche, un service. Les coûts partiels

créée par la différence entre les produits encaissables et les charges décaissables. Les flux de trésorerie sont immédiats ou dans un futur rapproché. Le terme encaissable signifie que le produit fait l’objet d’une augmentation actuelle ou future de la trésorerie (vente encaissée par chèque ou espèces + vente due par les clients mais qui sera encaissée rapidement (donc qui augmentera rapidement la trésorerie)). Le terme décaissable signifie que la charge fait l’objet d’une diminution actuelle ou future

capitaux o Analyse de la CAF La CAF est le concept qui permet de mesurer la création de richesse issue de l’activité normale de l’entreprise. Elle est définit par : Produits   encaissables         -­‐   Charges   décaissables   =   CAF   La CAF est un concept plus large que l’EBE et son niveau est lié à celui de l’EBE donc si le niveau de l’EBE est insuffisant, on peut en conclure que celui de la CAF le sera aussi. En dynamique, on regarde le % de

de l’entreprise n’y sont pas recensés ; ³ en second lieu, les flux qui y sont présentés ne sont pas parfaitement homogènes. Certains flux entraineront (ou ont déjà entrainé) des variations d’encaisse, alors que d’autres ne sont ni encaissables, ni décaissables. Certains flux traduisent des opérations réalisées avec des tiers alors que d’autres sont de simples flux internes. Le tableau de financement ou le tableau des flux de trésorerie permettent de pallier à ces insuffisances. Les virements de compte à compte

l’entreprise n’y sont pas recensés ; ➩ en second lieu, les flux qui y sont présentés ne sont pas parfaitement homogènes. Certains flux entraineront (ou ont déjà entrainé) des variations d’encaisse, alors que d’autres ne sont ni encaissables, ni décaissables. Certains flux traduisent des opérations réalisées avec des tiers alors que d’autres sont de simples flux internes. Le tableau de financement ou le tableau des flux de trésorerie permettent de pallier à ces insuffisances. Les virements de compte

opérationnelle générée par ce matériel durant les 5 prochaines années sont les suivantes (en k€) : N+1 350 N+2 300 N+3 300 N+4 250 N+5 200 La marge opérationnelle peut être assimilée aux cash-flows générés par ce matériel (ventes prévues – charges décaissables liées aux ventes). Le taux d’actualisation utilisé est de 4%. Un test de dépréciation est réalisé car une revue à la baisse des prévisions de production constitue un indice interne de perte de valeur. Il faut donc déterminer la valeur recouvrable

de la trésorerie. La politique du dirigeant semble être d’augmenter la part des capitaux propres dans la structure financière de l’entreprise. • Etude de la capacité d’autofinancement de Lomatrans. CAF = Produits encaissables – Charges décaissables La CAF permet le financement des investissements et/ou le remboursement des emprunts, mais elle accroît également le potentiel d’endettement. Plus la CAF est faible, plus les difficultés de l’entreprise risquent d’augmenter. Une CAF négative

amortissements et provisions * CAF = EBE + transferts de charges d'exploitation vers charges à répartir sur plusieurs exercices + autres produits encaissables de l'activité normale (produits financiers, produits exceptionnels) - autres charges décaissables de l'activité normale (charges financières, charges exceptionnelles) Les banques, en comparant la CAF au montant des dettes financières, mesurent la capacité de remboursement de l'entreprise. Elles sont attentives à l'évolution du ratio suivant :