Décor

pièce est constituée d'événements fictifs agencés de manière à faire croire aux spectateurs qu'ils sont vrais. Dans l'espace, l’illusion théâtrale se traduit par le fait que le spectateur oublie qu'il est assis dans une salle de spectacle et que le décor qu'il observe est faux. Pour cela, l'espace de la représentation doit être fidèle au lieu de l'action. C'est la pensée qu'a théorisé pour la première fois Platon et qui a été reprise par la suite avec Diderot et son quatrième mur (Mur imaginaire séparant

« Commedia dell ‘Arte » c'est-à-dire du théâtre populaire associé à la satire. Décor Le décor quant à lui correspond à la pièce de Molière. Le fait que les acteurs soulèvent le rideau eux-mêmes nous renvoie encore à la commedia dell’arte et rapproche la scène des spectateurs. Par ailleurs un ingénieux système de plaque tournante permet de modifier le décor rapidement et tout en jouant la scène. Le décor est constitué de trois plans, une vue de face de la maison avec la porte, une

situe plutôt vers 920 : dorénavant la plus grande partie du vase n’est plus couleur de l’argile mais couverte d’un épais vernis noir brillant ; à partir de ce changement technique modifs complètes du décor qui dorénavant se situe entre les anses ; surtout on change rapidement l’organisation du décor ; on retrouve tjs les figures circulaires mais entre les cercles une structure verticale divisée en trois zones : triglyphes (trois bâtons). C’est une petite innovation et la grande nouveauté est le géom

topographique. Le plus souvent en plongé. On n’isole pas le décor et on ne sent pas les personnages. Plan d’ensemble (PE) : il précise le PG. On s’intéresse à un aspect du PG, on est sur un quartier et non plus sur une ville. C’est plus détaillé mais le décor n’est toujours pas identifié car on peut encore voir plusieurs décors à la foi. Plan demi-ensemble (P1/2E) : On est sur un coin de rue et non plus sur un quartier. L’unité d’un décor est précisé cependant il ‘est encore impossible d’identifier

de ne pas fermer les rideau pour changer de decor, invitant ainsi le public à participer aux coulisses de la scene. Afin de combler cet espace modeste, le metteur en scene a adopté un décor idéal. Dans tous les actes, le sol est recouvert de sable : cela permet sans doute aux acteurs de pouvoir tomber plus facilement. Sur chaque coté, on observe des Grandes Armoires en bois, plus tard on constatera qu’ils ont plusieurs fonctions au niveau du décor. Au fond il y a un écran qui fait office de

termes de décor et de décoration. La scénographie a pu être définie dans les années 1960-1970 comme ‘‘ une dramaturgie de l’ espace ‘‘ ou comme ‘‘l’invention de formes nouvelles et leur intégration dans le complexe scénique’’, ’’orchestration spatiale du spectacle’’, ‘‘une sémiographie’’. Ce renouvellement de la conception spatiale au théâtre est fondé sur la remise en cause d’une part du recours à la perspective classique et d’autre part de la fonction figurative et illustrative du décor (fondée sur

accompagnait Diana dans la voiture. Ensuite Charles se marie avec Camilla et tout rentra dans l’ordre. B. Le décor n’est pas trop chargé. On reconnaît facilement que la pièce se passe dans le palais de la reine grâce aux chaises et au trône de la reine. Le décor changeait très peu, ce qui permettait de fixer toute notre attention sur les acteurs et non pas le décor. Tous les espaces de la scène étaient parfaitement desservis, il n’ y avait jamais de « blanc ». Concernant le jeu des acteurs

les deux côtés cour et jardin et à la face de la scène. Selon les caractéristiques du décor, les éléments dont montés suivant un plan très précis établi par le décorateur. L’équipe de machinistes travaille sur le plateau ou sur les passerelles placées dans les cintres. Ils interviennent parfois sur le décor afin de mieux l’adapter aux normes de la scène mais ils interviennent surtout lors des changements de décor durant les représentations. Ils appuient et chargent les décors, font apparaître et disparaître

contexte de parole publique serait le postulat dramaturgique d’une rencontre entre deux médias, la musique et la danse, qui paradoxalement se situent chacun hors du langage. II- Autour de la danse et des danseurs A-Le Décor : Dans cette création, il y a un décor évolutif. Pour commencer, au début du spectacle, il y a deux tableś deux chaises, deux lampes-micros. Au fond, un tableau noir de la largeur de la scène. Tout le décors est utilisé, les chaises son déplacer, les lampes-micros sont

peut également décevoir et rendre la lecture plus agréable qu’une représentation. Pendant une lecture, pour comprendre et apprécier la pièce, le lecteur doit avant tout s’imaginer le décor dans lequel joue les personnages. Etant donné le caractère personnel de l’imagination de chacun, chaque décor pour chaque lecteur va être envisagé de façon différente. La lecture lui permet d’imaginer sans limite une mise en scène qui devient la sienne, donc qui lui est la plus agréable possible. En créant