Décor

ci-dessous). [pic]  La Champmeslé dans son rôle d'Atalide Il n'y a pas plus de réalisme dans les décors que pour les costumes. Les décors simultanés étaient utilisés au début du siècle, mais l'arrivé de la règle de l'unité de lieu amena l'unité de décor, d'où les faibles informations scéniques des auteurs, telle que " la scène est à Rome " dans Cinnade Pierre Corneille. Au milieu du siècle, quelques machineries furent mises à contribution pour les représentations théâtrales. Ces pièces à machines

ressembler tout en sachant que le théâtre est une représentation absurde du monde comme le met en relief l’extrait des Vocations de Baudelaire. Les costumes et les décors d’une pièce sont deux facteurs importants pour une bonne représentation. Le décor se compose d’un milieu et de décorations. Dans le livre On ne badine pas avec l’amour de Musset, la scène 5 de l’acte 2, les personnages sont près d’une fontaine et l’auteur indique qu’un arbre est situé un peu en retrait. Chaque objet à son importance

prendre le dessus sur le dialogue, voire se substituer à lui, ainsi que le souligne Ionesco. Les didascalies marquent donc l’importance nouvelle que les acteurs accordent à la théâtralité, c’est à dire aux “conditions matérielles de la représentation”, décor, jeu, mise en scène, désormais à l’intérieur du même texte. Mais le souci de fixer précisément ces conditions traduit une méfiance à l’égard de nous autres, metteurs en scène... Dès lors que les didascalies sont élevées à la dignité du dialogue et

textes de l’Antiquité, ils écrivaient dans des scriptorium et sur des rouleaux de papyrus, les livres n’existaient pas encore. Dans le scriptorium il y avait aussi des enlumineurs qui devaient décorer le manuscrit avec des dessins après que le texte soit copié. L’enluminure sert de repère dans le texte et de décor car dans la philosophie du Moyen-age, rien n’était trop beau pour honorer Dieu. Il existe plusieurs styles d’enluminures (dans l’ordre chronologique) : celte, anglo-saxon, roman, gothique en

a pas forcément de débouchés mais plusieurs métiers son dans le même style que décorateurs d'interieur et d'exterieur . Il y a aussi : -décorateur(trice) scénographe -Tapissier décorateur option couture -Verrier décorateur - Graphisme et décor option décorateur de surfaces et volumes Et pleins d'autres encore . Pour les peintres d'interieurs , c'est la même chose , comme par exemple : -Façadier peintre -Peintre en décors -Peintre-applicateur de revêtements -Peintre muraliste, décorateur

voitures. 5- Les plans utilisés dans la BD sont : Bande 1 : Plan général car c'est une vue d'ensemble avec prédominance du décors. Bande 2 : Plan panoramique ,de loin ou le décor est important. Bande 3 : Gros plan car il cadre le visage. Bande 4 : Plan américain, le décor et secondaire le personnage prédomine et concentre l'attention sur les gestes. Bande 5 : Plan général avec une vue d'ensemble et les décors qui prédomine. 6- Les guerres

Changeant d'intensité et de couleurs en fonction de l'ambiance, de l'action et des sentiments des personnages. En ouvrant les rideaux, on put apercevoir le décor. Un lit rond au milieu du plateau, quatre portes capitonnées noires, des chaises et des placards dans le fond. Le lit se transforma vite en table pour dîner puis en fontaine. Ce décor sombre et oppressant donnait l'impression d'être coffiné et fermé; ce qui est fréquent dans les décors Vaudevillesques. Le plateau semblait surchargé mais aucun

voir un fond sombre représentant la nuit étoilée. En bas à droite, on apperçois une femme africaine (on a une référence à l'exotisme) qui tient dans ses mains un plateau où est posée la tête de Jean Baptiste. La femme africaine est fondue dans le décor de par sa couleur. La tete de J.B est entourée de scintillements bleu clairs, ce qui contraste avec le ciel sombre. On observe aussi 2 carrés constitués de 9 points rouge chacun. Observations: On observe la présence du clair obscure souvent présent

spectacle érotique serait donc une sorte de terreur délicieuse provoquant à la fois l’idée du sexe et de sa conjuration. La vérité, c’est que ce n’est pas tant la femme elle-même qui attire l’œil humain (masculin diront certains), mais plutôt le décor, le costume, les artifices du spectacle, comme dans un  ballet de music-hall. Ces décors enlèvent une grande part de l’aspect « provocation »  du spectacle. Le spectateur n’aura pas ce sentiment d’être un voyeur. En effet on va plonger l’individu dans

tragique. En effet, nous arrivons, la pièce commence, et déjà alors je peux découvrir tout un montage gigantesque en arrière plan ; un grand échafaud de métal, cela me fait penser à un labyrinthe en hauteur. Les personnages jouent alors dans un décor minutieux, très représentatif. Le souhait de rendre tout comme il est dans la réalité de la part du metteur en scène, est directement visible. Etant cinéaste, j’ai pu m’apercevoir que sa mise en scène semblait beaucoup à un montage de film. Les décors