Decroly

elle-même, Maria Montessori, à Rome, 1907, avec sa Casei dei bambini, crée la méthode portant son nom pour influencer la psychologie sensori-motrice des écoles maternelles. En France, dès 1918, Adolphe Ferrière, Célestin Freinet, en Belgique Ovide Decroly, instaurent l'Éducation nouvelle, inspirée de John Dewey, où l'enfant est actif, social. L'inspecteur Roger Cousinet propose "une méthode de travail libre par groupes" (1943), effectif : observations, collections, travaux manuels, classement des connaissances

en majorité. Il faut la chercher à la fontaine pour plusieurs raisons. La relation mère/enfant, attachement et hygiène Fin 19ème siècle début 20ème siècle : mouvement hygiéniste propulsé par des médecins, psychologues, éducateur (exemple : Decroly, Mont-et-Soui) qui s’intéressent à l’instruction et l’éducation des enfants. Les médecins veulent enrayer la mortalité infantile (microbes, maladie et meilleure alimentation). Toutes les femmes n’allaitaient que très peu leurs enfants. Les femmes

solliciter, à corriger. Les tenants de l’Ecole Nouvelle se sont manifestés dès la fin du 19e siècle, mais se sont surtout des pédagogues du début du 20e siècle qui ont structuré ce courant. Citons quelques noms : [pic]Maria MONTESSORI, [pic] Ovide DECROLY, [pic]Roger COUSINET, [pic]John DEWEY, [pic]Célestin FREINET… Des variantes importantes existent bien sûr dans les orientations de chacun de ces pédagogues (pour de plus amples renseignements, consulter les sites Internet de ces pédagogues. Lire aussi

pédagogie ont été nourries par les apports de la psychologie selon lesquels les apprentissages se faisaient par construction des activités mentales, en interaction avec l’environnement. 1 Nom des chercheurs Piaget, Vygotski, Montessori, Freinet, Decroly 2 Les notions clés apportées par Piaget Il a étudié l’apprentissage d’un point de vue intellectuel. Selon lui, l’intellectuel est lié au dépend de la maturation du système nerveux et musculaire. L’apprentissage se fait par équilibration entre

points sont développés dans Edgar Morin, « les sept savoirs nécessaires à l’éducation du futur » éditions du Seuil, 2000. 9 Une telle réforme intégrerait l’expérience des enseignements « d’éducation nouvelle » initiées par de grands pédagogues comme Decroly, Freinet, Montessori et autres. 10 9 

« The aim of history in elementary education » (1900) et « Ethical principles underlying education » (1897), trad. par L. S. Pidoux, Paris, Delachaux et Niestlé, 1913 ; nombreuses rééditions. Comment nous pensons (How we think, 1910), trad. O. Decroly, Paris, Flammarion, 1925. Les écoles de demain (Schools of tomorrow, 1915), trad. R. Duthil, Paris, Flammarion, 1931. Démocratie et éducation (Democracy and education, 1916), trad. G. Deledalle, Paris, Armand Colin/Nouveaux Horizons, 1975 et 1990

l'élève acteur de ses apprentissages n'est pas récente. Elle est présente dès la première moitié du XX° siècle dans les courants pédagogiques prônant les méthodes actives, comme la pédagogie ouverte (Dewey) ou l'éducation nouvelle (Freinet, Montessori, Decroly). L'idée de projet, elle, apparaît plus tard. Elle apparaît dans les textes officiels au milieu des années 70, à une période marquée par la pédagogie par objectifs, centrée sur l'apprenant et la finalité des apprentissages. Le premier moment de la

dans les pays en développement, Presses de l’Université du Québec, 217 pages. NAZARUK Maja. Le tourisme sexuel en Asie du sud-est.les marchés du désir, Collection points sur l’Asie, Edition l’Harmattan, 2010,200 pages. DUQUESNE Anne-Marie, DECROLY Jean-Michel, Tourisme et societe : Mutations, enjeux et défis, Edition de l’université de Bruxelles,242 pages. KERMEL-TORRES Doryane , Atlas de Thaïlande :Structures spatiales et développement, La documentation Française,207 pages   WEBOGRAPHIE

son flot de paroles. La technique moderne de l’enseignement recommande de parler au maximum vingt minutes et de laisser l’élève poser des questions, ou annoncer un débat sur la question étudiée. Il arrive souvent, comme par exemple dans les écoles Decroly, que l’élève lui-même fait des conférences ou que les élèves eux-mêmes font des recherches, des observations pour découvrir par eux-mêmes ce qui, probablement, ne pourrait être compris à travers la seule explication orale. Le déséquilibre de la personnalité

savoir sont donc ici sujets qui se reconnaissent comme tels et l’enseignant tient la place du mort.»9 Si l’enseignant refuse sa place effacé de « mort », il peut intervenir en abondance et dans ce cas, on dira qu’il a fait le « fou ». 4. Ovide Decroly Decroly met l’enfant au centre de l’éducation. C’est l’enfant qui est selon sa théorie le principal protagoniste dans l’action éducative. Pour lui, comme le diront Jean-Pierre POURTOIS et Huguette DESMET, « l’éducateur doit éviter de bouleverser le