Demarche Educative Maison De Retraite

âgées 11 e. Les autres associations 13 f. Les activités municipales 13 3. Le lien social 14 a. Pourquoi le lien social ? 14 b. La démarche intergénérationnelle 16 4. Rassembler autour du projet 17 II. LES ENJEUX DU PROJET 19 1. Le lien social pour « Bien vivre ensemble » 19 2. La mémoire, la transmission 19 3. La démarche participative 20 III. LE JARDIN INTERGENERATIONNEL 23 1. Les objectifs du projet jardin 23 a. Finalité du projet 23 b. Pourquoi un jardin 

familles. » • Les personnes tenues à cette assistance sont désignées sous le terme de «débiteurs d'aliments». C'est à eux que l'on peut faire appel lorsque les revenus des personnes âgées ne suffisent pas à payer l'intégralité d'un séjour en maison de retraite. * Caractères de l’obligation alimentaire : L’obligation alimentaire a un caractère personnel. Elle s’éteint au décès du créancier et ne peut être transmise aux héritiers du débiteur. Elle a un caractère réciproque contrairement à

de 11 et 13 ans : mieux « Etant plus présente à la maison, mes adovaut, pour cela, définir calmement des règles lescents s’adressent à moi pour demander des de vie et appliquer des sanctions adaptées autorisations, raconte Marie-Pierre. Je le fais qu’utiliser les cris ou des punitions corporelen m’appuyant sur l’autorité de mon mari, en les, toujours humiliantes. L’autorité parentale fonction de ce que nous avons décidé ensemdevient ainsi éducative : son but est uniqueble et cela me soutient beaucoup

milieux sociaux. Le projet a été initié en 1995 à partir d’une démarche diagnostic engagée par le chef de projet et des bénévoles suite à différents constats sur les conséquences relationnelles du fonctionnement de notre société individualiste et de consommation. Notamment, ils partaient de l’idée que le lien social est rompu pour certaines catégories de la population (retraités, jeunes, personnes en grande précarité). Cette démarche met en œuvre une expérience de production d’un bien social commun

conduite », (érigées en principes, dont l’ordre de présentation n’a pas de lien direct avec leur importance), non seulement pour mieux faire face à une réalité d’une partie de la population scolaire, mais également pour initier une réelle action éducative autour des problématiques que cet état de fait suscite. D’autre part, si nous parlons d’établissements scolaires sans préciser leur contexte local d’enseignement, c’est que précisément nous pensons que ces quelques principes ne sont pas « spécifiques

.........................................................5 CHAPITRE I - CONSTAT.................................................................................7 I - LE SPORT DANS SES DIFFÉRENTES DIMENSIONS ................7 A - LA DIMENSION ÉDUCATIVE.........................................................7 B - LA DIMENSION SOCIALE ...............................................................8 C - LA DIMENSION POLITIQUE ...........................................................9 1. L’institution

personnel de la D.A.S.S. de Paris, notamment l’ensemble des membres du service « insertion et développement », • Les différents acteurs de la prise en charge des personnes atteintes de troubles psychiatriques, directions et équipes socio-éducatives des C.H.R.S., médecins psychiatres et équipes soignantes des secteurs, pour le temps qu’ils ont consacré à ce mémoire et l’éclairage qu’ils ont bien voulu m’apporter. Un grand merci également à Sandrine pour son regard critique et son aide

sans modification notoire sur le fond. * * * * La seconde innovation importante est la création des Maisons départementales des personnes handicapées(14), destinées à « offrir un accès unique aux droits et prestations (...), à toutes les possibilités d’appui dans l’accès à la formation et à l’emploi et à l’orientation vers des établissements et services ainsi que de faciliter les démarches des personnes handicapées et de leur famille ». Cette fonction de « guichet unique » pour tout ce qui touche

Saint-Martin a le taux le plus élevé de Saint Quentin concernant les familles nombreuses. Certains micro-quartiers regroupent davantage une population vieillissante qui, parfois est marquée par de grandes difficultés socio-économiques (petite retraite ou Fonds de Solidarité). Pour ces personnes, l’enclavement et l’isolement semblent être importants (exemple : rue du canal, Rampe Saint Prix). Le quartier se caractérise par une juxtaposition de familles plutôt modestes, voir précaires

leurs problématiques sont donc différentes. Il est cependant possible d’en recouper quelques unes communes au public que nous accompagnons. Dans la majorité des cas, ces adolescents souffrent de carences éducatives, affectives et/ou de troubles du comportement. Il faut entendre par carence éducative les négligences graves dans l’éducation des enfants à savoir l’absence de limites ou des limites instaurées inadaptées, le défaut de soins (nourriture, hygiène, logement, traitement et suivis médicaux