Democratie Participative Contre Démocratie Représentative

Depuis dès siècles, le principe de démocratie repose sur la participation du citoyen dans la décision et la gestion des affaires de la cité. Au cœur de l’Agora, les Grecs participaient activement à la vie sociale et politique tout comme les Romains au sein de leur forum. Lieux de vie et d’expression de tous, ces espaces publics sont l’essence même de la participation du citoyen. Aujourd’hui, la société civile est de plus en plus demandeuse de participation. Mais cette dernière est une notion floue

de sens). Le problème de fond est la question de la durabilité de vivre ensemble. Le paradoxe : la crise de l’autorité est fondatrice de la liberté des modernes, l’exacerbation de cette crise actuellement en vient à détruire les fondements de la démocratie. I) La modernité entretient une relation paradoxale avec l’autorité : si le refus de l’autorité fonde le monde moderne, l’autorité apparaît néanmoins comme un processus incontournable au vivre ensemble. A) La modernité se fonde sur le refus

Mort : dissolution ou abrogation d’opérations juridiques Ainsi, elles occupent juridiquement la durée et elles ont des relations juridiques passagères ». • Rappel L’étude des institutions permet d’interroger la « démocratie locale » (ou démocratie de proximité), ↓ → la population intervient dans la gestion de son cadre de vie et élabore des projets la concernant à l’aide de dispositifs et

cherche a conquerir des lieux de representation dans la vie nationale aparte de l espace occupe par les partis politiques , ceux-ci etant incapables d assumer leur role de representation dans la societe civile. La década Fujimori est largement representative de ce phenomene, les mesures prises des 1991 a l encontre des organisations populaires, notamment des comedores populares, etaient censees a l origine favoriser justement leur integration dans l espace institutionnel. Cependant ces mesures sont

comme le précisait B. Kouchner, n’y a-t-il pas devoir d’ingérence lorsque des Etats subissent une catastrophe naturelle, en temps de guerre civile, en situation de dictature ? il y a aussi le risque de l’excès des interventions faites au nom de la démocratie. Donc finalement, l’ingérence pose des questions nombreuses. Même si le concept de souveraineté est maintenu, il y a quand même une remise en cause. Le problème qui se pose est de savoir quelles sont les différentes sortes de souveraineté et comment

« Parce qu’elle est fondatrice d’une expérience de liberté, la démocratie n’a cessé de constituer une solution problématique pour instituer une cité d’hommes libres ». Cette phrase de Pierre Rosanvallon illustre bien le personnage ainsi que le sujet de son ouvrage, Le peuple introuvable. Histoire de la représentation démocratique en France. Spécialiste de l’histoire et de la philosophie politique, Pierre Rosanvallon, intellectuel français, retrace dans son ouvrage l’histoire de la représentation

notamment celui qu'il a fait en Angleterre. TOCQUEVILLE (19ième) : il est l'auteur de De la démocratie en Amérique (une oeuvre en 4 tomes). Il a rédigé cet écrit sous la restauration lorsque la pensée libérale était la pensée dominante. ** Pour les libéraux la démocratie est dénuée de conséquence politique. Tocqueville part alors en Amérique et revient de son périple avec la conviction que la démocratie a des répercutions sur la société. Sa croyance se fonde sur les réalités du système politique

politiques. On assiste à une mise en scène du vote. Ces intervenants parlent sur le mode d’opinions publiques. On retrouve dans leurs discours l’attitude du citoyen modèle. Daniel Gaxie (Le Sens Caché) refuse les a priori de la théorie de la démocratie. Pour lui, il s’agit d’une idéologie politique qui mérite d’être analysée. Pourtant, cette analyse ne va pas de soi. La politisation des électeurs est quelque chose de complexe, contrairement à ce que peuvent dire (par exemple) les journalistes

Droit international général : traités de l’ONU (ex DUDH ?)  —> obligatoires , ils peuvent être à l’ échelle mondiale (traités des droits de l’Homme, ou traités contre l’esclavage etc.), à l’ échelle régionale (régions du monde)  —> les États décident donc de limiter eux-mêmes leurs pouvoirs en s’engageant à l’international

rencontres thématiques ; l’élaboration de recommandations auprès des décideurs économiques, sociaux et politiques. Pour la Solidarité organise ses activités autour de différents pôles de recherche, d’études et d’actions : la citoyenneté et la démocratie participative, le développement durable et territorial et la cohésion sociale et économique, notamment l’économie sociale. Think tank européen Pour la Solidarité Rue Coenraets, 66 à 1060 Bruxelles Tél. : +32.2.535.06.63 Fax : +32.2.539.13.04 info@pourlasolidarite