Democratie Participative Contre Démocratie Représentative

politique, la souveraineté n’appartient qu’à l’aristocratie et le peuple en est écarté). Il existe 3 grandes théories de l’Etat : Théorie Libérale, Socialiste et théocratique islamique. a. Théorie Libérale Les théories libérales de l’état se définissent contre l’absolutisme monarchique. Elles sont défendues par LOCKE à la fin du 17èmesiècle, par MONTESQUIEU au 18ème siècle ou encore par De TOCQUEVILLE. Ils en font la critique de la conception absolutiste de l’état. · John LOCKE : il a une conception libérale

politiques, de droite comme de gauche, récupèrent de façon ponctuelle certains thèmes libéraux (surtout en économie), tout en gardant une conception très étatiste du pouvoir. On peut citer le néoconservatisme17 américain, le blairisme18, la social-démocratie attachée à l’Étatprovidence19 mais consciente de l’importance de l’économie de marché, voire le communisme chinois, étonnamment devenu « économie de marché socialiste », adepte du libre-échange libéral dans un cadre politique non libéral. Notons

socialistes soviétiques USCG : Union des Syndicats Confédérés de Guinée PDG : Parti Démocratique de Guinée JRDA : Jeunesse Révolutionnaire Démocratique Africaine USCG : Union des syndicats confédérés de Guinée « La démocratie n’est le monopole de quiconque, ni d’aucune ère de civilisation». Jean Louis Roy « Cet acte fondamental (la loi fondamentale de 1990), socle d'une société nouvelle, est certes issu du libre engagement pris par l'armée, le 3

« Acte 2 » de la décentralisation 2014 → trois lois attendus : loi du 27 janvier ; loi dite de modernisation de l'action publique et affirmation des métropoles «  MAPAM » printemps ; doit être suivi d'une loi sur les régions automne ; loi sur la démocratie local. Pour l'instant la décentralisation connaît trois temps. En résumé, la décentralisation nécessite trois caractéristiques. Un transfert de compétence de l'Etat vers les collectivités territoriales, une élection des représentants enfin, le

laquelle concourent objectivement la plupart des tendances actuelles. L'ampleur du phénomène en laisse prévoir la durée. La globalisation, pour le dire autrement, constitue désormais le cadre de notre histoire présente. C'est pourquoi se déclarer « contre la globalisation » n'a aujourd'hui plus beaucoup de sens. On peut en revanche en élucider la signification, et tenter d'agir sur ses formes et son contenu. Deux facteurs ont joué un rôle essentiel dans l'avènement de la globalisation. D'une part,

droits de l'homme dans la sphère de leur influence - veiller à l'abolition du travail des enfants - veiller à l'élimination de la discrimination dans le recrutement et l'évolution des carrières - prévenir les risques environnementaux - lutter contre toutes les formes de corruption. En 2001, la France a inclus dans sa loi Nouvelles Régulations Économiques, dite loi NRE9, l'obligation pour les entreprises cotées de droit français de faire état dans leur rapport annuel de « la manière dont la société

l’accent sur l’étroite interpénétration des deux univers, militant et cinématographique, rompant avec l’idée d’une simple instrumentalisation de l’art au service d’une cause militante. 9 Enfin, l’étude des mobilisations des femmes artistes américaines contre la guerre en Irak est l’occasion pour Violaine Roussel d’ajouter la dimension du genre à l’analyse des relations entre art et politique. Malgré la volonté de celles qui s’engagent, la mobilisation fait apparaître des hiérarchies de genre qui orientent

mieux les libertés des individus . La séparation des pouvoirs est donc devenue aujourd'hui un élément fondamental des régimes démocratiques, quoique les deux notions ne se recoupent pas entièrement (il n'y a pas de séparation des pouvoirs dans une démocratie directe). À ce propos, la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen affirme dans son article 16 : "Toute société dans laquelle la garantie des droits n'est pas assurée ni la séparation des pouvoirs déterminée, n'a point de Constitution."1

et les données accumulées permettraient ainsi de clarifier les débats autour du pouvoir des médias sur les individus. Il existe également un consensus dans les travaux de nombreux chercheurs sur le fait que l'identification partisane, dans les démocraties occidentales, décline en importance en faveur de l'attirance des électeurs pour les personnalités perçues des candidats, leurs positions sur le débat politique, leurs performances électorales et leurs résultats (Katz et alii, 2001, p. 2). Il apparaît

décentralisation effective 103 La constitution marocaine de 2011 : démocratiser les institutions 106 Le projet royal de régionalisation au Maroc : une réforme d’avenir 112 Décentraliser les services publics locaux 120 Démocratie locale, bonne gouvernance et développement participatif 124 Produire les richesses locales 130 Coopération décentralisée au service d’un développement maîtrisé Vue aérienne de Casablanca, au Maroc. Morocco—an Effective Decentralization