Dénotation et connotation

» dans le premier texte, « trouve sous la main » alors que c’est un chevalier il reste a manger ce qu’il lui tombe sous la main ce qui est assez comique, et dans le dernier texte « courbettes » ainsi que pyramide alors qu’ils sont pauvre a une connotation comique.

La comparaison et la métaphore sont des figures de style[->0] que l'on appelle souvent les figures de la ressemblance. La comparaison Une comparaison est construite selon un modèle très simple : on rapproche deux choses qui ont un point commun, c’est-à-dire une ressemblance. Ce rapprochement s’effectue à l’aide d’un mot de comparaison : Cet enfant est blanc comme un cachet d’aspirine. Dans cet exemple, on compare l’enfant à un cachet d’aspirine. Cette comparaison est rendue possible car tous

de vénitiens : Titien et Véronèse, dont la reconnaissance artistique n’est plus à faire. Ce choix apporte cependant une note déjà négative quant aux capacités du peintre. La notion de manière comporte effectivement depuis plusieurs siècles une connotation négative . Pellerin est donc rapidement perçu comme un artiste maniéré. Il n’est pas artiste mais bien peintre de pastiche , copiste. D’autre part, les références telles que « guipure blanche », « éventail noir » ou encore « tortis de perle » montrent

mythique » chez l'homme, Le mythe-récit est le sens qu'on retrouve sous la plupart des emplois du mot, soit qu'on l'applique aux hommes des cultures (anciennes ou actuelles) dans lesquelles la fonction mythique domine, soit qu'on s'en serve avec la connotation plus ou moins péjorative qui affecte les trois adjectifs que nous avons rapprochés. Quant au mythe-vécu, il cesse d'être vécu dès qu'on le prend comme un récit. C'est pourquoi personne n'en parle comme tel, sauf peut-être le philosophe lorsque le

(ligne 24), homme du clergé en français, qui désigne le principal, renforcent la peur du personnage. Les termes « sanctum » (ligne 21) et « Dominie » (ligne 24) ajoutés aux mots « vénération » (ligne 27) et « maître » (lignes 28 et 29) apportent une connotation religieuse, quelque peu synonyme de domination, au texte. L’auteur, en prenant l’exemple des livres, ne fait qu’accentuer cette atmosphère lugubre. On assiste à une description de livres quelque peu inquiétante qui montre l’ancienneté de l’école

stratégie économique globale accordait la priorité à la mécanisation du pays ; le GAP a été le fruit de cette vision. Mais les questions liées à la commercialisation du projet, à ses enjeux écologiques ou même à son inscription dans une stratégie plus globale n'ont jamais figuré dans les plans des concepteurs du GAP. Résultat : on en est aujourd'hui à un point où il n'est plus possible de mener à bien le projet, ni de s'en débarrasser. Chacun a une définition différente du GAP. Pour l'industriel

Problématique de l’étude: être et devenir dans différents discours et genres Texte II : slogan publicitaire « Deviens ce que tu es » (slogan des publicités Lacoste) Ce slogan est très frappant, il saute aux yeux. Comme spectateur, on est surpris, car le slogan présente quelque chose d’illogique, et ainsi il attire vraiment notre attention, ce qui est la fonction principale d’un slogan. Mais pourquoi exactement ? Quels sont les processus derrière ? C’est ce qu’on va analyser dans le parcours

I) Les implications de l'engagementA. Le choixB. La passion : moteur essentiel de l'engagementC. Contrat passé avec autrui et responsabilité. Implication de l'individu tout entierII) Le refus de s'engager, une revendication de liberté ?A. Le choix comme fixation de l'opinion, par nature changeante. AliénationB. Une figure du refus : Alidor et l'engagement amoureuxC. Aporie de cette position, l'homme est engagé dans le mondeIII) L'engagement volontaire comme entreprise libreA. Le choix comme détermination

Champ lexical Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Aller à : Navigation, rechercher On parle de champ lexical pour désigner un ensemble théorique de noms, de substantifs, d'adjectifs et de verbes appartenant à une même catégorie syntaxique et liés par leur domaine de sens. Par exemple, le champ lexical du nom nature est l'ensemble des noms s'y rapportant : forêt, clairière, branche, feuille, nid, pin, chêne, scie, bûcheron, bois, etc. L'ensemble des termes de couleur entretient

croulant sous les « miasmes infâmes des eaux » et sur des « égouts » qui sont personnifiées de tel sorte à être assimilées à des monstres. Enfin, Zola compare à Paris un Océan connotation déjà utilisé par Flaubert dans Emma Bovary. Par conséquent, ce « spectacle » qui s’offre à lui est décrit à l’aide d’expressions à connotation péjoratives telles que « mer vivante et pullulante » et «  toits bleuâtres » qui dégagent malgré tout une atmosphère plaisante. Enfin, Paris est assimilée à un conte des Mille