Des Jugement La Bruyère

monde clos connu et reconnu où il faut paraître selon son rang Parure et beauté qui suscitent des louanges, de l’admiration. Les réputations sont construites et vérifiées. => Cette apparence brillante est sans cesse soumise au regard et au jugement. Qd ce regard va dépasser ? II. la galanterie : l’apparition de l’objet aimé A. « L’aventure qui avait qqc de galant et d’extraordinaire » M. de Guise, M. de Nemours qui passe par-dessus les chaises = ce qui reste du héros courtois franchissant

classique. Les grands auteurs de l’époque, tels Corneille, Racine, Molière, La Fontaine, s’inspirent des grecs, Euripide, Aristophane, Théophraste, Esope et des Latins, Plaute, Térence, Virgile, Horace et Sénèque. La Bruyère s’inquiète, à la première page des Caractères, que tout soit dit : « En ce

Français comme capricieux. A travers les femmes, Montesquieu dénonce une société d’apparences, du paraître, il dénonce le jugement superficiel des Parisiens qui ne s’attachent qu’aux apparences. Exemple le fils qui ne reconnaît plus sa mère= image d’elle très superficielle. 1) Satire du paraître • Il présente la mode comme des caprices. • Il dénonce le jugement superficiel des parisiens (= snobisme). Il cherche sans cesse à se différencier des autres. • Les parisiens ne s’attachent

Moïse sauvé de Saint-Amant). • La tragédie, genre par excellence du classicisme français (Pierre Corneille, Jean Racine). • La comédie fait appel au jugement moral (Molière). • La poésie officielle, composée pour fêter les grands événements du royaume (Malherbe), la poésie burlesque (Scarron), la poésie mondaine (Boileau), le portrait (La Bruyère), les maximes (La Rochefoucauld), la fable (La Fontaine), le roman (Mme de Scudéry).

- « j’enrage comme un chrétien » (l.11) est une reprise de l’expression « jurer comme un païen »  La rhétorique de l’étonnement • Ch. Lexical de l’étonnement • Naïveté feinte : « à peine » (l.17), « qu’une légère idée » (l.17) • Verbes de jugement : « juges » (l.5) • Prétérition (dire qu’on ne va pas faire qqch ms on le fait) : l.16-17  La satire de la vie parisienne • Hauteurs des maisons = image fantaisiste • L’agitation - « toujours » (l.1), « continuel »(l.1) - Ch. Lexical mouvement

ont inspiré les générations futures et permis l’éclosion d’autres chefs d’œuvre : la culture antique (Horace, Pindare) pour les poètes de la Renaissance (Ronsard, du Bellay) et pour les auteurs du XVIIème s. (La Fontaine s’inspirant d’Esope, La Bruyère de Théophraste) … elles sont donc indispensables 3. Les œuvres contemporaines ne sont pas si abordables qu’on pourrait le croire. a) Lire Sartre ou Camus est une tâche exigeante car œuvres nourries de philosophie b) Elles développent une esthétique

LA BRUYERE : LES CARACTERES. ! & ) $ . * % ( 5 4 8 " ) 19 ( 0 ' % ' ' '/ 0 6 '' ! '' " ( ! # ( * $ ( + % , ) . - + " ' ( ( '/ / $%1 2313 ! % ( ! ' ( / ' ! ' 7 (' 0 $%1 2313 " 4 : ' 0 ' ( 0 ' ;< ; 0 < &= > < ?@@A < >?4 0 ) ! : % 4 B*-4 0 0 0 ) 4 7 8 % + * 6' ! $ 4 9 1 * 4 ! B*-4 + 4 B*-4 ' 8 . 8 % 6 ! ! " ## I) Le Grand siècle ou le siècle classique "# $ % B*-3 C + : C 4 B* ' ' * " F C ( . F &'( B- >A&D E >

l’aspiration au bonheur • Blaise Pascal, Pensées (p. 368 ES/S et Techno / p. 370 L/ES/S) • Jean de La Bruyère, Les Caractères (p. 370 ES/S et Techno / p. 372 L/ES/S) • Charles de Saint-Évremond, Sur les plaisirs (p. 378 ES/S et Techno / p. 380 L/ES/S) Pistes de lecture – Jean de La Bruyère, Les Caractères (p. 393 ES/S et Techno / p. 395 L/ES/S) Corpus bac (Séries générales) – Jean de La Bruyère, Les Caractères (p. 394 ES/S / p. 396 L/ES/S) Les différents genres représentés Théâtre Poème didactique

les portes. La mode influe sur l’architecture qui est un domaine assez important.       =&gt; Montesquieu utilise des procédés d’exagération. II. La satire 1) Satire du paraître * Il présente la mode comme des caprices. * Il dénonce le jugement superficiel des parisiens (= snobisme). Il cherche sans cesse à se différencier des autres. * Les parisiens ne s’attachent qu’à l’apparence. * L’exemple du fils qui voit sa mère autrement lorsqu’elle change d’habit signifie que le fils ne

il n’est point d’éloge flatteur », Beaumarchais, Le mariage de figaro. Cette morale en début de récit fait que l’on part d’un principe, d’une conséquence pour remonter vers les causes. Elle va servir de base pour le reste du texte. De même dans la Bruyère ; « caractère » qui part toujours d’un principe soit de la morale pour l’expliquer. Ou en fin de récit ; « Le Lion et le Moucheron », Fables, 1668-1696 ; ‘ Les plus à craindre sont souvent les plus petits’. Ainsi, le positionnement de la morale en