Des visages des figures

LES DEMOISELLES D’AVIGNON et il invente en compagnie de Georges Braque un mouvement artistique majeur du XXème siècle le CUBISME .La peinture cubiste ne représente pas le personnage tel qu’il apparaît en réalité. Elle découpe les silhouettes, les visages en formes géométriques. Le but du cubisme est de montrer les objets et les personnages comme si on les observait de plusieurs endroits à la fois. On voit dans une même image le personnage de face et de profil. C’est le début de la modernité dans

entre dans une nouvelle phase marquée par l’influence des arts grecs, des arts africains et de Paul Cézanne. Il commence à peindre les visages comme si c’étaient des masques, en géométrisant le réel et en multipliant les points de vue pour représenter un objet. Les objets sont fragmentés en plusieurs facettes permettant de les observer sous différents angles. Une figure peut ainsi être vue de profil et de face. Le clair-obscur traditionnel est remplacé par le camaïeu, peinture d’une seule couleur, dont

œuvre romaine d’époque impériale, sculptée d’après un original créé par Praxitèle, un sculpteur grec de la période classique vers 340 av. J.-C. Cette sculpture est assez caractéristique du second classique, dans la mesure où nous pouvons observer la figure juvénile du dieu Apollon, l’aspect lisse et sans trop de détails anatomiques et musculaires du corps. De plus, nous retrouvons dans la pose de la statue, le souci de pondération des corps, dans la manière de répartir le poids du corps du personnage

ternissait pas. À l’égard de l’âge de cette personne, la rondeur de son visage, sa blancheur et son embonpoint empêchaient qu’on en pût bien décider. Mon sentiment, à moi, fut qu’il s’agissait d’une quarantaine d’années, et je me trompais, la cinquantaine était complète. Cette écharpe de gros taffetas sans façon, une cornette unie, un habit d’une couleur à l’avenant, et je ne sais quelle réforme dévote répandue sur toute cette figure, le tout soutenu d’une propreté tirée à quatre épingles, me firent

Ce n'est pas vraiment non plus le roi de France malgré la présence de quelques regalia (les regalia pas plus que le sacre ne font le roi), ni un imperator romain. On peut parler d'un personnage théâtrale, d'une composition à partir de plusieurs figures. Le corps du roi Immobilité L'immobilité est la première règle. Dans l'escalier comme dans la galerie, on s'aperçoit que le roi est beaucoup plus immobile que en mouvement. Dans l'escalier, il est debout, assis sur un siège antique ou encore

de lui : La description d’une personne C’est une fille, un garçon, un gros monsieur, une vielle dame… Chaque personne a ses caractéristiques : Comment on le voit : c’est le portrait physique : - il est grand, elle est mince - elle a un joli visage, il est souriant L’habillement donne des indications sur l’âge, le métier, l’identité d’une personne - il marche avec une canne - elle porte une blouse blanche - il a un turban sur la tête Comme on le ressent : c’est le portrait moral : - il

cause du chien. Baskerville, Henry. Neveu de Charles Baskerville; fils du frère cadet de Charles; jeune; a fait de l'agriculture au Canada; très bien à tous égards; sir; baronnet; trentaine d'années; petit; vif; trapu; yeux bruns; sourcils noirs; visage éveillé et combatif; hâlé; de bonne race; maintien assuré; courageux; hérite près d'un million de livres de Charles; accent américain; amoureux de Beryl Stapleton; a entrepris un long voyage avec le docteur Mortimer. Baskerville, Hugo. Ancêtre

représentait une scène de combat innovant par la recherche des poses des figures. Le style des sculptures est comparable à celui des vases attiques au niveau du rendu des corps (les mollets sont figurés par trois traits) et des attitudes dans l’espace. Cette comparaison permet de dater le Trésor et les vases attiques à figures rouges aux alentours de 530 BC. * Les problèmes d’attributions Qui est l’auteur ? Plusieurs cas de figures. La civilisation grecque est parmi les premières à fournir des œuvres

entre dans une nouvelle phase marquée par l’influence des arts grecs, des arts africains et de Paul Cézanne. Il commence à peindre les visages comme si c’étaient des masques, en géométrisant le réel et en multipliant les points de vue pour représenter un objet. Les objets sont fragmentés en plusieurs facettes permettant de les observer sous différents angles. Une figure peut ainsi être vue de profil et de face. Le clair-obscur traditionnel est remplacé par le camaïeu, peinture d’une seule couleur, dont

si une analyse plus précise le confirme. Ce sonnet en alexandrins, l'un des plus connus de Verlaine, évoque une figure féminine fuyante et ambiguë que nous essayerons de cerner. Nous refléchirons ensuite sur le caractère subjectif et affectif de cette présence onirique. Enfin, nous étudierons le charme de ce poème intimiste qui s'appuie sur l'incantation sonore. (I Une figure féminine ambiguë) (1. Identité incertaine) Tout au long de Mon rêve familier