Des visages des figures

jetée là, sur un coussin. »: « charnier », « pelletée brute », « la boue », « la moisissure ». L'absence de commentaire explicite, la description brute et précise, procédant de façon méthodique (il y a un ordre de la description, qui est organisée: figure>oeil>nez>bouche>cheveux), contribuent à ce réalisme presque médical de l'évocation de la mort. Au-delà du réalisme Cependant Zola, par plusieurs aspects, sort de cette objectivité réaliste ou naturaliste. L'écrivain accomplit avant tout un travail

déchirures, crayonnages … et en utilisant de moyens non-conventionnels : peinture jetée contre la toile, ou étalée à l’aide de chiffons, de brosses ou de balais. 2. Analyse esthétique : * Nous sommes face à un portrait assis du Pape (figure malgré tout reconnaissable de par ses attributs) sur ce qui semble être un trône. Fond noir indistinct. * Utilisation de diverses nuances de violets, de bruns, de jaunes et de noirs. Contraste marqué entre le jaune du trône, le blanc de l’aube

être, qui ne soit pas selon la nature. Que cette raison universelle et naturelle chasse de nous l'erreur et l'étonnement que la nouveauté nous apporte. Texte B : J.-M. Leprince de Beaumont, La Belle et la Bête (1757). Après avoir découvert le visage monstrueux de la Bête, la Belle engage la discussion avec cet être repoussant. Le soir, comme elle allait se mettre à table, elle entendit le bruit que faisait la Bête, et ne put s'empêcher de frémir. « La Belle, lui dit ce monstre, voulez-vous

Diallo – de la famille des Diallobé – et l’un de ses camarades. Quelqu’un les sépare. Lorsqu’il leva la tête, son regard rencontra un grand visage altier, une tête de femme qu’emmitouflait une légère voilette, de gaze blanche. On le nommait la Grande Royale. Elle avait soixante ans et on lui eut donné quarante à peine. On ne voyait d’elle que le visage. Le grand boubou bleu qu’elle portait trainait jusqu’à terre et ne laissait rien apparaître que le bout pointu de ses babouches jaune d’or, lorsqu’elle

Des Grieux et Manon : elle l’anticipe et l’annonce en même temps qu’elle s’en distingue par des éléments radicalement antithétiques : en particulier la Manon du convoi de Havre n’est pas du tout la Manon destinés au couvent d’Amiens. I : Les figures du lecteur a) Le regard de la « populace » b) La réaction de la vielle femmes c) Une lecture attentive II : La préfiguration de la rencontre a) La mise en parallèle des deux rencontres b) Un tableau pittoresque III : Une ouverture

CGE : Analyse de publicité Tout d’abord, nous pouvons voir qu’en haut à gauche figure le nom et logo de l’entreprise pour laquelle cette publicité a été réalisée suivie du nom du créateur de cette bouteille de collection. Cette image est donc une publicité pour la firme multinationale Coca-Cola. Cette publicité s’adresse aux jeunes femmes avides de mode. En effet, au centre de l’image figure le haut du visage et le regard rieur d’un célèbre styliste français qui n’est autre que Jean-Paul Gaultier

sensualité), ensuite l’œil, qui rend le sujet regardant à son tour regardé, par nous. C’est un œil fertile. Puis enfin l’étoile-pince à cheveux  symbolise autant la connaissance (le front est aussi le siège de la pensée) que la puissance de Dieu. Ce visage de cyclope si peu réaliste est assailli par des mains avides ou protectrices. Il suscite l’envie, la jalousie ou l’admiration. Ce portrait vertical réduit la femme à quelques éléments de son être, mais ceux-ci suffisent à évoquer la vertu unificatrice

Le portrait en peinture : Le portrait, la représentation sculptée ou peinte de la figure humaine : « Un portrait n’appartient ni à son auteur, ni à son modèle, ni à son commanditaire, ni à ses héritiers. Un portrait appartient à celui qui le regarde. Libre à lui d’en faire ce qu’il veut. Tout ce qu’il veut. » Pierre ASSOULINE “ bien peindre , ce n’est pas reproduire , mais voir l’âme. “ saint jean - Le projet de faire le portrait de quelqu'un n'implique pas forcément de le reproduire

Europe et en Afrique principalement. Comment la reine de Saba est-elle représentée dans les œuvres ? Dans un premier temps la reine est passée d’une figure religieuse à une figure profane de la séductrice puissante, et dans un deuxième temps la reine est ensuite passée d’une vision européenne à une vision africaine. • De la figure religieuse à la figure profane de la séductrice puissante A. Les origines. • La Bible La reine de Saba est un personnage que

position qui accentue l’expression intense des visages. Le cheval blessé : Placé au centre de la composition, il symbolise, des dires même du peintre, le peuple. La liberté est mourante. Comme pour la mère portant son enfant mort, la douleur est exprimée par la langue pointue comme un couteau. La lance qui transperce le flanc du cheval rappelle celle qui blesse la poitrine du Christ dans de nombreux tableaux religieux. Le taureau : La figure mythique du Minotaure est un motif central de l’œuvre