Descartes Animal Rationnel

l’état); c’est le début de l’op° publique. Public au sens théâtral du terme. Chez Kant, le droit à se constituer en public va conduire à plus de rationnalité pol et c un ppe de progrès ds l’Histoire. Le débat public doit permettre aux op° les plus rationnelles de l’emporter. Les tps modernes ont dvt un individualisme en plusieurs temps : 1) apparition de l’espace privé 2) dde de participation. La modernité est donc en premier lieu une attitude d’émancipation. La modernité c une époque valorisant une

donc pas soumis aux mêmes lois de causalité. Il n’y a pas de détermination de l’esprit. Celui-ci est totalement libre. La liberté devient alors possible par l’exercice de notre libre-arbitre. Toute action libre découle d’une décision libre. Pour Descartes, l’homme est fondamentalement libre car il est doté d’une âme. Elle lui permet de prendre des décisions libres découlant de sa volonté et de rien d’autre (Les passions de l’âme, 1649). L'individu face à la morale : - En tant qu’être de nature, l’homme

antérieur au cartésianisme, le thomisme lui est essentiellement étranger. Leurs principes sont radicalement incompatibles; «le doute d'Aristote et de saint Thomas est celui qu'exprime le mot Utrumet dont s'accompagne toute question: le doute de Descartes porte sur des réponses.» Pour saint Thomas, l'homme est capable de connaître et de se connaître. Il récuse la solution qui consisterait à «abstraire de ce sujet réel qu'est l'homme son pouvoir de connaître, puis réaliser à part cette abstraction

volaille". Les autres créatures citées par l'auteur évoquent la même hybridité et la replacent dans un contexte semi-humain, associant systématiquement la forme humaine à des attributs animaux : des "cornes", des "pieds de boeuf", "la tête d'un perroquet", "quatre griffes". Plus effrayant que le pur hybride animal parce que plus proche de nous, c'est l'hybride humain qui inquiète. 2. la confusion des sexes Le texte s'achève sur l'évocation d'un être particulièrement monstrueux "participant de la

gout la neurobiologie, qui nous fait découvrir une machine à cent lieues d'une création divine à qui on aurait octroyé le libre arbitre. Aujourd'hui aux petits anges et aux jardins d'Eden, je préfère la beauté des galaxies et la magnificence du monde animal, et même la superbe d'un théorème mathématique.  Donc pour moi, science, religion ou compte d'enfant, beauté ou laideur, ça n'implique que ce qu'on regarde et la façon dont on le ressent. Alors oui, pour moi elle le fait, mais différemment.

vulnérabilité corporelle, l’homme, au contraire des animaux, est obligé à développer des techniques pour survivre. Comme l’explique Platon dans le mythe de Prométhée (Protagoras), l’homme est originalement imparfait et inachevé : il faut donc qu’il s’éduque et qu’il se perfectionne lui-même. En effet, l’homme a la capacité quasi infinie de se perfectionner et d’acquérir progressivement des nouvelles qualités et connaissances. Ce qui le différentie des animaux c’est qu’il est perfectible, comme le propose

volonté sans être entravé par le pouvoir d'autrui. Elle est définie : négativement : absence de soumission, de servitude, de contrainte exercée par autrui. L'être humain est indépendant. positivement : autonomie et spontanéité du sujet rationnel ; les comportements humains volontaires se fondent sur la liberté et sont qualifiés de libres. La question de la liberté peut être considérée comme une question métaphysique par excellence Le problème de la liberté surgit naturellement quand

permanence des questions philosophiques au cœur de la modernité 1-Analytique de la modernité : cadre conceptuel 2- Quelques courants de la philosophie moderne 2.1- Le tournant galiléen ou la reconnaissance des droits de la raison scientifique 2.2-Descartes : le cogito comme nouvelle entrée dans la modernité et dans la subjectivité 2.3-L’Aufklärung : les lumières de la Raison 2.3.1-L’esprit des Lumières : de la publicité de la raison chez Kant 2.3.2-La question de la connaissance : une nouvelle épistémologie

du XVIIème, affirmait « je puis bien concevoir un homme sans mains, pieds, tête [...]. Mais je ne puis concevoir l'homme sans pensée : ce serait une pierre ou une brute. ». Ainsi, la pensée marque la fracture entre l'Homme et le monde animal. Je ne suis pas un animal parce que je pense. L'être humain est le seul être vivant à avoir conscience d'être un Homme, de vivre puis de mourir et grâce à cette conscience, celui-ci peut s'étonner, s'interroger, douter, chercher à comprendre et à apprendre. La

envisager une autre solution : celle de faciliter son travail. Descartes a envisagé une prise de pouvoir de l’homme sur le travail. Ceci se ferait grâce à « l’invention d’une infinité d’artifices qui feraient qu’on jouirait sans aucune peine des fruits de la terre et de toutes les commodités qui s’y trouvent ». Pour dire que, au contraire, le travail permet d’accéder au bonheur, on peut déjà commencer par critiquer la vue de Descartes : là où il déplore la dépense d’énergie dans la transformation