Descartes Et Marx

la logique ou de fonder le sujet concret réel. Le sujet comme expérience singulière et concrète : Si, avec la logique, le sujet en vient à désigner un être réel et singulier, il n’acquiert le sens spécifique d’un « je », qu’à partir du moment où Descartes va, dans la philosophie, substituer au problème antique de la conformité du prédicat à son sujet ; la question du fondement de la connaissance : c’est la célèbre expérience du cogito. Aussi bien dans le Discours de la méthode, que dans les Méditations

d'unereprésentation ; la blancheur, la liberté, sont des abstractions. aliénation Du latin alienus, « étranger », de alius, « autre ». En droit, désigne le fait de donner ou de vendre. C'est le sens qu'utilise Rousseau dans Le Contrat social. Hegel, Feuerbach et Marx, l'aliénation est le processus par lequel un individu est dépossédéde ce qui le constitue au profit d'un autre, ce qui entraîne un asservissement. Aristote 384-322 av. J-C. Philosophe grec, né à Stagire (Macédoine). Elève de Platon, il fut le précepteur

le contexte de cette époque, il semble important de préciser que quelques années auparavant le monde occidentale assistait à la révolution scientifique conduite par Descartes, Galilée et bien d'autres, qui a apporté un changement majeur dans les représentations humaines de la nature. Les hommes sont maintenant comme l'écrit Descartes «maîtres et possesseurs de la nature»[3]. Ces conceptions entraînent une désacralisation de la nature qui peut donc être transformé et remplacé. Comme le note George

Descartes (XVIIème siècle), le cogito Descartes est le plus connu des philosophes français. On lui doit son esprit dit "cartésien", d’abord basé sur les mathématiques. À la manière de Platon, il prend pour base le doute, sur lequel, oubliant toutes connaissances, il veut arriver à la vérité par l’intuition (pas au sens commun, mais au sens où on ne peut en douter) et la déduction à l’aide d’une méthode très rigoureuse. Le "cogito ergo sum" ("je pense donc je suis") est un point de départ pris par

l'homme, ref. Bergson et l'homo faber. - Référence : Aristote "ce n'est pas parce qu'il a des mains (...)" III. Quel est le rapport entre sciences et techniques - repère : théorique / pratique - la technologie, les technosciences - Référence : Descartes, l'arbre de la philosophie IV. Faut-iol avoir peur du progrès technique ? - Le projet cartésien : devenir "comme maître et possesseur de la nature" 15/09/2014 La technique - une science d'observation et expérimentale - cause et moyen, sciences

elle-même - Héliocentrisme vs géocentrisme - Bruno (1600) - Publie et enseigne la thèse de l’Héliocentrisme - Il meurt brulé - Galilée (1633) - Défend l’Héliocentrisme - Il se rétracte afin de sauver sa vie - Descartes (1637) - Défend l’Héliocentrisme 4. René Descartes (1596 – 1650) 4.1 Biographie - Philosophe important - « Le discours de la méthode », « Les méditations métaphysiques » - Physicien (loi de la réfraction de la lumière), mathématicien (géométrie analytique), moraliste

connaissable sans elle (comment savoir quelque chose sans en avoir conscience ?), elle n'en est pas moins sujette à l'erreur et à l'illusion. La réponse de Descartes Le doute retourné contre le scepticisme C'est pour vaincre le scepticisme, donc pour fonder le dogmatisme (« établir quelque chose de ferme et de constant dans les sciences »), que Descartes entreprend de douter de tout. En effet, il voit dans le doute le moyen d'atteindre l'indubitable : une pensée absolument certaine résistant absolument

de E.Kirschner Descartes (1596-1650) philosophe scientifique mathématicien et auteur (loi circulation du sang et un théorème sur la réflexion de la lumière) Il remet en cause toute ces certitudes a la fin de sa vie. Descartes : « Le doute est une méthode qui consiste à considérer comme faux ce qui est douteux » on peut douter de tout. Descartes : « Lorsque nous doutons, nous pensons » Cogito = « Je pense donc je suis » Toute pensée est consciente. Pensée = conscience. Descartes définit l’existence

même c'est donc penser que l'on existe même dans le doute de toute chose. Descartes, dans Méditations métaphysiques II , se force à considérer comme faux tout ce qui est douteux pour atteindre une certitude inébranlable. Il met entre parenthèse tout ce qui se présente à sa conscience ; il parvient alors à une certitude fondamentale : il existe en tant qu'il est un sujet pensant, car pour douter, il faut être. Ainsi Descartes prouve que nous sommes conscient de nous même et de nos actes. Aussi, pour

intérieure, en s’apercevant qu’ils sont faux. René Descartes, Lettre à Elisabeth du 6 octobre 1645 Travail d’approche: Parties du texte : première partie (« Madame […] et qu’on devienne plus triste ») → Descartes soulève le problème qu’il entend résoudre ; deuxième partie (« Si je pensais que […] acquisition »)→ souverain bien = ? ; troisième partie (« C’est pourquoi […] qu’ils sont faux »)→ Descartes fait valoir sa position. Thèse : pour Descartes, le souverain bien n’est pas la joie mais la connaissance