Descartes Et Marx

mécaniquement (matérialisme mécaniste de l'Antiquité, avec Démocrite, Epicure, Lucrèce), soit dialectiquement (selon Marx et Engels). Ce qu'on appelle «âme» n'est rien d'autre que la faculté, pour le corps, de sentir et d'agir. La mort étant l'anéantissement total de cette faculté, nous n'avons nulle vie future à espérer ou à craindre. Le courant rationaliste Ce courant, dont Descartes est considéré, à juste titre, comme l'initiateur, s'accomplit avec Spinoza (Éthique) et Hegel (la Logique). Selon

originel, l’homme doit alors se tourner vers Dieu (se convertir). La foi est un don de Dieu à l’humanité/ Lui seul donne la foi à qui il veut (Cf. Pharaon // Moïse et son peuple). Pour Pascal, Dieu est une vérité inaccessible à la raison humaine (≠ de Descartes qui tentent de prouver l’existence de Dieu par des preuves rationnelles) ; seul le cœur peut la connaître ou la (vérité) sentir. « C’est le cœur qui sent Dieu et non la raison… » (Pascal, ). La foi n’est pas de l’ordre

libertins de mœurs. Ils vont refuser de se soumettre à la religion -> libre pensée, refusent les règles de croyance établies B) les Rationalistes Descartes est français et est un grand mathématicien et voyageur. En tant que nationaliste (> naissance du sujet pensant. Le « JE » pensant est plus réel et plus certain que tout ce qui existe. Avant Descartes, la première certitude c’était dieu. Depuis, c’est le sujet pensant. 1ère certitude : Sujet pensant, soi, sa propre existence 2ème certitude :

actes sont tout simplement éprouvés. - La conscience réfléchie : C’est grâce à elle qu’une personne se saisit elle-même comme conscience. C'est-à-dire consciente d’être consciente. - La conscience de soi comme fondement absolu selon Descartes : Pour Descartes, on parvient à la vérité par le doute. Seule la conscience peut mettre un terme au doute. Car en doutant, on peut être certain d’une chose, c’est d’être conscient, et donc d’exister. Ainsi, pour lui, la conscience est « le moi », « l’âme »

avant de commencer un ouvrage, c’est par quoi il faut commencer » Pascal, Pensées. 2. « Il y a » Apollinaire, Calligrammes. 3. « La pensée est essentiellement à l’écoute de l’être » Martin Heidegger, Lettre sur l’humanisme. 4. « Cogito ergo sum » Descartes, Discours sur la méthode. 5. « Ça pense donc ça est » Volonté de puissance, Nietzsche. 6. « Dieu est la pensée qui éternellement et sans fatigue se pense elle-même » Aristote. 7. « Il est tout à fait du philosophe, ce sentiment : s’étonner. »

pensée. Le monde réel n'existe qu'à travers les idées et les états de conscience. Le monde et même l'être se réduisent donc aux représentations que nous en avons. Pour Platon (427-347 avant JC), le monde des Idées constitue la vraie réalité. Descartes (1596 1650) qui peut être considéré comme un idéaliste, considère que c'est l'esprit de l'homme qui est sa véritable nature et non son corps. Le principe de l'idéalisme absolu a été résumé par l'évêque et philosophe irlandais George Berkeley (1685-1753)

auxiliaire précieux elle nous protège de la nature ou qu’elle nous rende la vie plus facile en nous débarrassant des corvées, la technique est une bénédiction. Avec la technique, l’homme devient « comme maître et possesseur de la technique » soutient Descartes. C’est dire qu’on doit penser le rapport de l’homme à la nature non pas en termes de dépendance mais de maîtrise. Grâce à la technique, ce n’est plus l’homme qui est soumis à la nature, c’est la nature qui est soumise à l’homme. La technique libère

ce qui survient, le stoïcisme délimite l’espace intérieur d’une indépendance par rapport au monde et aux passions qu’il peut susciter, position génératrice de conceptions et de débats que l’on retrouve dans toute la philosophie classique. Ainsi, Descartes conçoit la liberté comme pouvoir de choisir entre deux partis (c’est la "liberté d’indifférence") sans subir aucune contrainte extérieure ; mais il considère par ailleurs que la connaissance du bien l’éclaire et l’aide à choisir. À l’inverse, Leibniz

de discréditer (d’où l’exemple du morceau de cire de Descartes) pour arriver à une connaissance véritable des corps sensibles, jamais assimilables à la perception, mais aussi à la connaissance du principe sur lequel repose la possibilité de toute connaissance. Descartes est à la recherche d’un fondement ultime. L’ancienne théologie voulait tout faire dépendre de Dieu ; la modernité veut tout fonder sur le sujet pensant. Le doute, que Descartes conçoit comme volontaire, radical, méthodique, hyperbolique

yeux l’existence de Dieu n’est pas démontrable et ne peut donc pas être quelque chose de rationnel. Ce n’est pas ce que pense Descartes, qui va faire la démonstration de l’existence de Dieu et prouver que l’on peut être rationnel et fidèle. La religion va donc donner lieu à une réflexion importante qui permettra à l’homme de s’épanouir pleinement. Dans ses méditations, Descartes assure la chose suivante : j’ai l’idée de l’infini, or, étant moi-même finis, je ne peux avoir eut cette idée de moi-même,