Descartes Freud Raison Comparaison

phantasmatiques, de ce dernier. C’est le problème éthique et politique et même anthropologique. La question est de savoir si la peur à l’égard de la technique est fondée ou non. La peur de la technique peut sembler fondée dans là mesure où elle aurait des raisons au lieu de n’être qu’une simple phobie, ou une diabolisation qui relève du phantasme. D’un côté nous pouvons penser que la technique n’est qu’un mouvement de répulsion à l’égard du nouveau et de tout ce qui risque de changer les habitudes sociales

laissée par un ancien vécu de plaisir, le tout premier ressenti de plaisir. Il a pour but de reproduire la satisfaction laissée par cette trace originelle. Le désir est donc issu des premiers ressentis de plaisir et du souhait de revivre le plaisir.Pour Freud on ne peut désirer que ce que l’on a déjà connu.Les pulsions provoquent une tension qui tend à être déchargée à travers un ressenti de plaisir. Plaisir et désir sont liés, nous pouvons associer le désir au travail des pulsions.Il faut bien différencier

vraiment intégré le processus d’expérimentation dans son outillage heuristique. Ceci est évident pour la philosophie antique et médiévale qui ne connaissait pas l'expérimentation. Même les grands philosophes qui se sont illustrés comme scientifiques (Descartes, Pascal, Leibniz pour ne citer qu'eux) ont toujours distingué leur travail dans le domaine scientifique et dans le domaine philosophique. Certains philosophes comme Kant ou Wittgenstein9 ont même vu dans l’absence d’expérimentation en philosophie

: réflexion sur la production et la singularité des textes ; l’argumentation et ses effets sur le destinataire Lectures analytiques : Scène 1 : l’exposition (la didascalie initiale puis p. 17-19 ; depuis « Tu es restée » > « Tête de Freud ») Scène 8 : Freud professe son athéisme (p. 64-67 ; depuis « Voyez, ici » > « la dignité ») Scène 8 : Procès de la toute-puissance humaine (p. 73-75 ; depuis « Au début » > « dans l’absence de Dieu ») Scène 10 : Misère et splendeur de l’homme (p. 85-88

ACADEMIE DE PARIS UNIVERSITE RENE DESCARTES – PARIS V INSTITUT DE PSYCHOLOGIE CENTRE HENRI PIERON ANNEE 2002/2003 Mémoire de Psychopathologie des Addictions en vue de l’obtention de la maîtrise de Psychologie Clinique et Psychopathologie Présenté par Mickaël DELALANDE Les mécanismes de défense comme facteurs de vulnérabilité à l’alcoolisme Sous la direction de Mme Isabelle VARESCON ***© Tous droits réservés *** Document issu du site internet Ressources-Psy.com ***©

Sujet 2 Que vaut l'opposition du travail manuel et du travail intellectuel ? Sujet 3 Un texte de Hume sur la justice Séries STI, STL, STG, SMS Sujet 1 Les échanges favorisent-ils la paix ? Sujet 2 Les lois sont-elles l'oeuvre de la raison ? Sujet 3 Texte de Bachelard sur la science et l'opinion Sujet L n°1 Toute prise de conscience est-elle libératrice ? C'est un sujet qui interroge le lycéen sur trois grandes notions du programme : la conscience, l'inconscient, la liberté

- Euripide - Platon - Aristote . LA CONNAISSANCE DE SOI : DU STOICISME A L’AUGUSTINISME - Stoïcisme - Augustinisme . DE LA REFUTATION DES IDEES INNEES AU TRIOMPHE DE L’EMPRISME - Descartes - Hobbes - Locke - Hume - Wolff - Bonnet 2. DE L’INCONSCIENT, DU ROMANTISME ET DU SOMNAMBULISME . AUTOBIOGRAPHIE ET QUETE DU SENS INTIME - Montaigne - Rousseau - Maine

vérité. » PLATON, Cratyle, IVe s. av. J.-C. 3- « L’unité de la conscience est ce qui seul constitue le rapport des représentations à un objet, c’est-à-dire leur valeur objective ; c’est elle qui en fait des connaissances [...]. » K NT i ue de la raison pur Les pensées de plusieurs auteurs feront écho aux vôtres, sous des formes plus accomplies. ® Problématique surgie à cette étape du dialogue, avec renvoi à un texte de la Partie 2. Peut-on dire « à chacun sa vérité » ? (texte p. 86)

homicides, et qui tente de fonder sa légitimité sur ce principe de compensation : prendre la vie d’un homme, en guise de châtiment pour la vie qu’il a prise à un autre. En réalité, le mal subi ne peut jamais être effacé, et encore moins compensé, en raison de son incommensurabilité (deux maux ne sont jamais identiques) : « rendre le mal pour le mal » conduirait bien plutôt qu’à effacer le mal subi à ajouter au premier mal un deuxième mal, et serait donc un principe de propagation bien plus que d’apaisement

vraiment intégré le processus d’expérimentation dans son outillage heuristique. Ceci est évident pour la philosophie antique et médiévale qui ne connaissait pas l'expérimentation. Même les grands philosophes qui se sont illustrés comme scientifiques (Descartes, Pascal, Leibniz pour ne citer qu'eux) ont toujours distingué leur travail dans le domaine scientifique et dans le domaine philosophique. Certains philosophes comme Kant ou Wittgenstein[8] ont même vu dans l’absence d’expérimentation en philosophie