Descartes Méditations Métaphysiques 2

INTRODUCTION 1-A quoi bon ? 1)Connaissance de soi même devient le moyen en vue d’une fin dont il faut déterminer la nature 2)Connaissance de soi serait en elle même vaine indépendaemment de toute recherche 2-connaître 1)S’oppose à ce qui est faux – nécéssairement vrai  • adéquation à la réalité = égalité entre le sujet connaissant et l’objet connu 2)On la considère de façon statique : comme le terme d’un processus recherche • soit médiate (raisonnement) • soit immédiate

|Usage approprié des concepts clés. | | | | |2 – Situer les conceptions examinées dans leur contexte et dans |Exposition de certains aspects significatifs du contexte | |les courants de pensée correspondants. |historique d’émergence dans lequel les conceptions

plus profonde du sujet. Par conséquent, la définition précise des concepts clés est fondamentale pour une communication et une compréhension efficaces.L'essence de soi et son identité sont examinées de manière introspective à travers l'enquête métaphysique "qui suis-je ?".Dévoiler l'essence ultime d'un individu, une réponse définitive et indiscutable est la clé.Présupposés :L'identité, stable et cohérente, est une nécessité.Répondre objectivement à une question subjective est une possibilité.Essence

à autrui (idées, sentiments, sensations, émotions, informations). =la conscience comme produit de la vie en société (ce qui rend possible le lien social). expression d'un moi, être singulier déjà constitué (indépendante de toute vie sociale). 2. Origine de la conscience. a) origine de la conscience le résultat d'une terrible nécessité qui a longtemps dominé l'homme" = Faiblesse naturelle et originelle de l'homme : situation réelle de tout être vivant (l'homme = "l'animal le plus menacé")

notre conduite. » 2-Le cogito cartésien. Pour l’essentiel, la conscience n’est-elle pas au fondement de mon identité de sujet ? Analysons les raisons pour lesquelles on peut penser que le moi s’identifie à la conscience, que je suis ce que je pense être. Cette vision de l'homme comme être essentiellement conscient s'enracine dans la philosophie cartésienne. Voir extrait du Discours de la méthode, 4ème partie étudié en classe. Dans la démarche qui mène Descartes à formuler le célèbre

L'expérience du vivant. 2. L'organisation et le milieu. 3. La constitution d'une science : la biologie. II. Les difficultés de la biologie. 1. Finalité et mécanisme. 2. Le vitalisme. 3. Critique du vitalisme. III. La connaissance de la vie. 1. L'âme. 2. Le gène. 3. La vie comme invention. Plus d'informations sur ----------------------------- Descartes dans les Méditations métaphysiques montre que l'âme est ontologiquement distincte du corps. Descartes critique par là même ceux

que l’animal, lui aussi semble avoir une conscience. 2. Parce que la conscience est plus une propriété qu’une qualité. Quel serait le propre de la conscience de l’homme, qui pourrait faire que la conscience est bien le propre de l’homme ? Définitions : La conscience peut se définir comme la connaissance que l’homme a de ses pensées, de ses sentiments et de ses actes. Toute conscience humaine sera, donc, quelque part, une connaissance de : 1. Soi. 2. Les autres. 3. Le monde. Comment cela est-il possible 

le régime du mythe ne suffit plus à expliquer ce que l’hô ne comprend pas: Le Logos (= Parole, discours, argumentation, calcul,… Par extension : La raison) Pensée devient rationnelle dans 2domaines : 1. 1.      La connaissance de l’univers 2. 2.      La pratique politique 1. Emergence du logos dans la connaissance de l’univers. On explique l’origine du monde et la complexité de la vie par des récits fabuleux (mythos). Philosophes du 6èmeS avt J-C : passage du Mythos              Logos

comment vivre sans se soucier des répercussions de son propre comportement sur autrui ? Ce serait le considérer uniquement comme un simple moyen ou comme un instrument de jouissance personnelle. Or comme le montre Kant dans les fondements de la métaphysique des mœurs, cela est incompatible avec notre dignité d’hommes. • La liberté d’indépendance est par ailleurs inenvisageable pratiquement. Car si chacun a « droit sur toutes choses » (c’est « l’état de Hobbes »), alors chacun risque à

si bien que ça (emportements d’émotion, actes manqués, …). Etre pour le sujet, c’est à la fois ne pas être toujours soi même mais sur le fond d’une continuité qui assure son identité. Le sujet est à la fois dans la dispersion et dans l’unité. 2. L’expérience et la fondation cartésiennes de la subjectivité En 1543 parait la Révolution des orbes célestes de Copernic qui propose une représentation Hélio-centrée du cosmos et porte un coup fondamental au mode géocentrique de Ptolémée. Sur les