Descartes Méditations Métaphysiques 2

présantes possédent l'acte d'être 2) L'existence de Dieu 2 possibilités: oui/non a) les philosophes d'antiquité dieux existent mais on ne preuve pas leur existence gnoseologie ancienne-on ne peut pas connaître que ce qui apparaît aux sens, il faut le 1ercontact sensible 1. Héraclite, Anaxagore avant eux, les dieux entendus comme les matérieux ils comprennent les dieux comme les spirituaux logos=parole, raison, le feu noêma=pensée, ctd dieu dirige le monde 2. Platon- 4eme siecle av. J.-C.

Décès 4 décembre 1679 (à 91 ans) École/tradition Contractualisme, empirisme Principaux intérêts Physique, éthique, politique, religion, langage, métaphysique Idées remarquables pacte de soumission, état de nature Œuvres principales Léviathan ; Du citoyen Influencé par Platon, Aristote, Machiavel, Bodin, Galilée, Descartes A influencé Spinoza, Rousseau, Mendelssohn, Maistre,Schmitt Adjectifs dérivés hobbesien, hobbesienne modifier Consultez la documentation du

Foi et raison : les preuves de l’existence de Dieu ( rappeler qu’il s’agit d’une question de métaphysique ). A. Schématiquement, 4 manières de prouver l’existence de Dieu : 1 ) Preuve par l’ordre du monde : a ) Monde apparaissant comme œuvre d’une intelligence souveraine : ordre du système solaire, structure d’un être vivant ou d’un organe, relations équilibrés entre les vivants : cela peut-il être dû au hasard, càd à la rencontre de causes ne poursuivant aucun but (possibilité

Cours sur la conscience et l’inconscient 1- René Descartes René Descartes (philosophe du XVIIe siècle), dans Méditations métaphysiques, soumet ses connaissances à l’épreuve du doute. Le doute de Descartes est provisoire et méthodique, à l’inverse du doute des sceptique qui est définitif. En outre, Descartes doute dans le but de supprimer ses opinions et forger un véritable savoir, s’appuyant sur des certitudes. Le doute méthodique de Descartes est radical : il remet en question les évidences

affirmons qu’un énoncé est vrai, quel que soit cet énoncé, nous le tenons aussi pour vrai. La croyance accompagne tous les énoncés que nous considérons vrais. Exemple : une preuve objective et adhésion subjective en même temps : 3x + 2 = 4 / 3x = 4-2 / x= 2/3 Outre le mode de vérification apporté par les maths, existent d’autres modes de vérification adaptés à chaque domaine : - La démonstration en mathématiques - L’expérimentation/l’observation en sciences physiques et biologiques

 » Prendre du recul avant d’agir  « Qu’est-ce donc que je suis ? Une chose qui pense. Qu’est ce que cela ? C’est bien une chose qui doute, qui connaît, qui affirme, qui nie, qui veut, qui ne veut pas, qui imagine aussi et qui sent » (Méditations Métaphysiques 2)   Le philosophe Pascal : «  Pensée fait la grandeur de l’homme […] » http://www.letudiant.fr/boite-a-docs/document/la-conscience-0888.html : « toute conscience est conscience de quelque chose ». E ne suis pas responsable de mon apparence

est mortelle ou immortelle." Pascal. Pensées 430. Pour la recherche du plan: 1= Quelles sont les raisons qui nous poussent à "réduire" le besoin religieux? Est-ce une conséquence de la conscience de la mort? Un besoin peut-il être être inventé? 2= Mais l'homme n'est-il pas un animal religieux? Ne peut-on donner une autre origine à ce besoin religieux? Par exemple, Kant, dans La critique de la raison pratique: L'origine de ces croyances religieuses sont à chercher dans la conscience morale. Dieu

la couleur rouge. » (Critique de la Raison Pure, Analytique des concepts, chapitre II, 2e section). En résumé, pour que l’homme puisse, notamment par ses techniques, « se rendre comme maître et possesseur de la nature » (la formule est de Descartes), il faut supposer que la nature est soumise à un déterminisme (ou à une nécessité) absolu, qu’elle ne recèle aucun mystère, aucun phénomène inexplicable (ou « surnaturel »). De même, on peut envisager la physique cartésienne sous un angle

En effet, même quand je dors cela reste vrai. C'est bien ce que dit Descartes dans la 1ère méditation « Car soit que je veille ou que je dorme, deux et trois joints ensemble formeront toujours le nombre cinq » Cette proposition affirme une identité : quatre est ramené à deux et deux. On est donc dans le registre du même (Leibniz), il n'y a pas de contradiction c'est de la même chose qu'il s'agit. Cela nous permet de distinguer 2 registres : de la science et de la croyance. Ici, tout le monde peut

instantané, intemporel, direct, sans l'intermédiaire d'aucun démiurge. S'il est libre, c'est en tant qu'il crée par raison et sagesse. Liberté métaphysique : démontrer, c'est penser par soi-même. Libre signifie doué de raison, capable par nature de connaître la vérité. (Choix de la vérité ou de la raison) ⇒ obligation morale. Selon Sartre, Descartes, en homme de son siècle, met en Dieu la liberté créatrice que lui voit en l'homme. • en raison de ≠ à cause de ; • initiative ⇒ transgression