Descartes Substance Pensante

Enfin, nous verrons que la conscience de soi n’est pas suffisante à la connaissance de soi. En effet, c’est avec le philosophe Descartes que l’on découvre l’existence du sujet conscient, c’est le « je pense donc je suis ». En outre, même si mon raisonnement est faux le fait de produire une pensée quelconque montre que je pense et donc que j’existe. Descartes passe de l’évidence à la logique d’une proposition, c'est-à-dire « je suis, j’existe ». Affirmation vraie chaque fois qu’il la conçoit

dictionnaire Lexis de Larousse, prouver une chose, c'est démontrer qu'elle est vraie au moyen d'arguments, de faits incontestables, de démonstrations abstraites. Prouver quelque chose, c'est aussi en faire apparaître l'existence, la réalité. C’est ce que Descartes veut faire dans ses Méditations Métaphysiques Troisième et Cinquième. Il veut prouver à travers son raisonnement rationnel l’existence de l’être infini, éternel, immuable ; Dieu. Le paradoxe de l’œuf et de la poule et l’un des plus vieux paradoxes

capacité, on a donné le nom de conscience: - Le caractère essentiel de l'esprit en opposition à la matière qui en est dénuée. - La condition de possibilité de la liberté. B- Que signifie être conscient. 1- La découverte de la subjectivité de Descartes. L'Homme est une position singulière à l'égard des choses parce qu'il les penses or " par le mot de penser, j'entends tout ce qui se fait en nous de telle sorte que nous l'apercevions immédiatement par nous même. " Cette activité essentielle est

de bonheur. Lorsque l’homme Pour Descartes l’homme est une exception de la nature faite de conscience, de volonté, de pensée… Toutes ses qualités qu’on ne retrouve pas chez l’animal qui font de l’homme un être métaphysique. b) La représentation contésienne de l’homme L’homme substance pensante res (=chose) cogitus (=pensante) l’âme – conscience – l’esprit substance étendue res extansa le corps Les autres êtres vivants sont des simples substances étendues L’animal simple

philosophe Pascal récuse pour sa part l’idée de conscience « substance » (« une chose » pensante) et lui préfère la métaphore du roseau qui évoque non seulement la grandeur de l’homme mais aussi sa fragilité : « La grandeur de l’homme est grande en ce qu’il se connaît misérable. Un arbre ne se connaît pas misérable. Pensée fait la grandeur de l’homme […] L’homme n’est qu’un roseau, le plus faible de la nature. Mais c’est un roseau pensant » Toute conscience est une conscience morale La conscience

philosophe Pascal récuse pour sa part l’idée de conscience « substance » (« une chose » pensante) et lui préfère la métaphore du roseau qui évoque non seulement la grandeur de l’homme mais aussi sa fragilité : « La grandeur de l’homme est grande en ce qu’il se connaît misérable. Un arbre ne se connaît pas misérable. Pensée fait la grandeur de l’homme […] L’homme n’est qu’un roseau, le plus faible de la nature. Mais c’est un roseau pensant » Toute conscience est une conscience morale La conscience

désigner une qualité objective : de l’air, de la fleur, de l’eau etc. Il appartient à l’attitude naturelle que de croire que les qualités sensibles appartiennent aux choses. Une chose, c’est donc, du point de vue de l’attitude naturelle, une sorte de substance, pourvue de toutes sortes de propriétés qui sont « dedans ». Et je suis persuadé que les qualités sont réellement dans les choses, mieux : je suis persuadé que le monde est exactement tel que je pense qu'il est et quiconque le verrait différemment

défini par ce Dieu. Par ailleurs, l’homme est un être rationnel, c’est-à-dire qu’il est doté d’une raison, il cogite et fait l’expérience du «Cogito ergo sum» : le «Je pense donc je suis» de Descartes. Pour Descartes, l’homme est divisé en deux entités : la substance étendue (son corps) et la substance pensante (son esprit). Selon la thèse du conscientalisme, la vie psychique de l’homme se résume à sa conscience réflexive, sa capacité de représentation de lui-même. L’homme connaît donc toutes ses pensées

de soi mais, pour autant, n'avons-nous pas besoin d'autrui pour avoir conscience de nous-mêmes ? En d'autres termes, puis-je avoir conscience de ma propre existence dans la solitude, voire le solipsisme ? Telle est, en tout cas, la position de Descartes : si, dans ma quête d'une vérité indubitable, je m'isole du monde et suspends jusqu'à ma croyance en son existence, c'est bien dans un acte solitaire qu'est rendue possible la pure présence de soi à soi, dans l'intuition du « je pense » dont la possibilité

évoluent avec le temps et pourtant nous restons toujours nous-mêmes car une chose ne change pas : notre substance qui fait de nous un être unique. Cette substance selon Leibniz ne peut jamais être détruite , c’est notre ADN. Elle contient tous les prédicats de notre individualité. b/ le COGITO Cartésien Le moi pense donc il a obligatoirement conscience de ce qu’il est. C’est donc inné pour Descartes de par son expression « je pense donc je suis ». Le COGITO est la certitude de soi. Je sais que je