Description Lieu Merveilleux

(troubadours) qui est plutôt grossier et satirique (les fabliaux), tantôt merveilleux (les Romans de la Table Ronde). C’est Rabelais qui va au 16ème siècle, faire la synthèse des deux courants antérieurs (réaliste et satirique) : énorme succès. Au 17ème siècle : la grossièreté disparaît mais le merveilleux reprend ses droits (les contes de Perrault 1698) et on traduit les conteurs orientaux (« les Mille et Une nuits » en 1702). Le merveilleux est la source première du conte voltairien car les faits sont imaginés

contre les impostures du pouvoir nobiliaire et contre le dogmatisme incarné par le philosophe optimiste. Nous allons nous demander en quoi cet incipit donne à voir les éléments traditionnels du conte pour mieux les subvertir et devient ainsi le lieu de la dénonciation des apparences trompeuses. Dans un premier temps, nous verrons que Voltaire utilise le schéma traditionnel du conte, puis qu’il dénonce l’illusion du pouvoir nobiliaire. Et enfin, nous verrons que Voltaire dénonce également l’illusion

se voit offrir une abbaye, qu’il accepte à condition qu’elle soit « contraire à toutes les autres ». Thélème est donc un anti-couvent. (Thélème = « bon vouloir » en grec) Ainsi, le chapitre 57 qui constitue l’épilogue de Gargantua décrit un lieu merveilleux, idéal et utopiste. Thélème ou l’anti-couvent Une tradition satirique : le procédé du monde à l’envers Prendre le contre-pied d’une vérité ou d’une réalité est un procédé satirique. Ici Rabelais utilise Thélème pour dénoncer

l'hémistiche donnant une harmonie, un équilibre lent propice à la description des sentiments de l'auteur. Lamartine l'année précédente sauva de la noyade de ce lac une femme plus âgée dont il tomba amoureux, d'un amour teinté de tendresse maternelle, et a qui il écrivit des élégies amoureuses sous le nom d'Elvire, une napolitaine. Le poète qui revient seul l'année suivante demande au lac de lui restituer le souvenirs des merveilleux moments passés ensemble dont il a du garder la trace. Notre poète

du lecteur pour les personnages et pour les péripéties, à quoi s'ajoutera plus tard l'intérêt pour un art d'écrire. Genre polymorphe (plusieurs formes), le roman exploite aussi bien les différents discours (direct, indirect, indirect libre), la description (cadre spatio-temporel - portraits) que la narration (péripéties), le commentaire ou l'expression poétique. Le roman appartenant au genre narratif, on peut rendre compte de l'enchaînement plus ou moins complexe des événements d'un roman en établissant

de l’espace Le cadre spatio-temporel subit au fur et à mesure du roman un certain nombre de dégradations qui éloigne le roman du réalisme. L’espace s’assombrit, se réduit et se liquéfie. Par exemple, l’église est un lieu enchanteur au moment du mariage et elle réapparait comme un lieu sombre et triste au moment de l’enterrement de Chloé. Dans le même sens, l’appartement de Colin qui se caractérise par une grande luminosité au chapitre 1 va se dégrader dès le mariage et au fur et à mesure de la maladie

premier temps Bonvesin della Riva nous apporte une description traditionnelle d'une ville médiévale. En effet, on y retrouve l'organisation habituelle. Cela transparaît d'abord dans un aperçu de symboles du Moyen Age, puis dans un second temps dans la description d'édifices politiques ou non que l'on retrouve habituellement dans les villes à cette époque. A) Des symboles du Moyen Age Dans un premier temps, on peut voir en effet que la description que nous fait Bonvesin de Milan est celle d'une ville

ROMAN POUR LA JEUNESSE Objectifs* Aborder la notion d’intertextualité. * Voir ou revoir différents genres littéraires. * Reconnaître et utiliser l’épithète. * Savoir employer les registres de langue. * Approfondir les techniques de la description et du dialogue. * S’initier à l’argumentation, oralement et par écrit. * SÉANCE N°1 : LECTURE ET ÉCRITUREÉvaluation initiale (travail donné à l’avance au moment de la lecture personnelle du livre)

portrait d'une héroïne ambiguë (v1-2)v1-2 : Nous avons avec l'emploi de l'imparfait de l'indicatif la description de la situation initiale de l'héroïne de ce récit. Un portrait physique ambigu qui emprunte les codes du conte merveilleux :* La tournure impersonnelle «  Il y avait » : formule habituelle des contes souvent associée au fameux « Jadis/ autrefois... ». * Substitution du lieu au temps :

Il y rencontre une jeune fille dont il tombe instantanément amoureux. La fête est donnée pour célébrer les noces de Frantz, le frère de la châtelaine avec une petite ouvrière, Valentine. La fiancée tant attendue s'est enfuie, le mariage n'a pas lieu et la fête prend tristement fin. Revenu à sa vie d'écolier, Meaulnes n'a plus qu'une idée en tête : retrouver le domaine mystérieux et la jeune femme qu'il aime. Ses recherches restent infructueuses. Il s'en va étudier à Paris. C'est par hasard que