Description Mer

Apparition du personnage : « Resté dans l'angle, derrière la porte, si bien qu'on l'apercevait à peine ». Description de l'habit-veste: « une quinzaine d'année environ […] plus», « les cheveux coupés droit ». - Description de l’attitude : « Il les écouta de toutes ses oreilles… » - Description de détail : la casquette - Prise de parole du personnage. Caractère épique et pittoresque des descriptions : longues énumérations, jeu sur les couleurs « vert », « noir », « rouge », « jaunâtre », « bleu »

Bec-Salé. II. Une scène de séduction sous la forme d'une épopée dégradée a) Le regard « familier de Gervaise » L'emploi du langage familier rompt avec la grandeur épique. b) Sensualité épique Regard de G qui rappelle son intempérance Description du corps de Goujet : gradation « ses épaules, sa poitrine, son cou enflaient » c) Une épopée dégradée image de héros d'épopée dans une ère néo. Industrielle champs lexical de la forge Duel comique : fabriquer un boulon Activité : rédiger

un inconscient car Gnathon sait exploiter avec talent la commisération de ses semblables. Opposition constante entre les possessifs et autrui, entre lui et les autres déniés (emploi de « personne »). II. Un caractère Nous avons ici une description d'un « Caractère ». - D’après l’onomastique, Gnathon veut dire mâchoire : c’est une métaphore pour désigner l’être. - On a affaire à un type, auquel on prête des traits collectifs. Le présent de vérité générale, le présent gnomique, en témoigne

Sommaire 1- Plan 2- Description : - Tostes - Yonville-l’Abbaye - Le château de Vaubyessard - Les Bertaux - Rouen - Paris 3- Explication et origine 4- Leurs effets 5- Conclusion 1- Plan Tout d’abord nous allons vous décrire et situer les 5 lieux principaux de Madame Bovary écrit pas Gustave Flaubert. Puis nous vous expliquerons pourquoi Flaubert les a choisis et d’où ils viennent, leur

misérable de cette pièce ? (forme de discours, au moins trois figures de style). « Dans le texte d’Honoré de Balzac, Le Père Goriot, l’auteur évoque le caractère misérable de cette pièce de la pension Vauquier. L’auteur nous fait la description de cette salle de manière péjorative. En effet, il commence par décrire l’aspect général de cette salle. Il dit qu’elle est insalubre, que sa couleur est indistincte à cause de la crasse et que celle-ci a imprimé des « couches de manière à y

Commentaire Incipit Boule de Suif : Une description réaliste qui évoque la défaite et la fuite devant les prussiens. Les premières lignes de Boule de Suif évoquent avec beaucoup de réalisme la défaite et la fuite des Français devant les Prussiens lors de la guerre de 1870. L'incipit de nous plonge dans l'atmosphère de la guerre de 1870. Il décrit le passage de l'armée française à Rouen, comme le montre cette expression métaphorique : «Pendant plusieurs jours de suite, des lambeaux d'armée

familier dans lequel apparaît celui qui deviendra l’époux de l’héroïne, Charles Bovary. Celui-ci, jusqu’à la fin du roman, incarne l’image d’un personnage ordinaire et banal, à l’existence sans passion ni relief. Ce n’est pas tant à travers la description de la casquette que Flaubert met en place l’univers réaliste du roman qu’à travers l’accumulation des « petits détails vrais » qui caractérisent l’atmosphère de la salle d’étude, bouleversée par l’arrivée du proviseur qui accompagne un nouvel élève

toutes ces références religieuses la place saugrenue occupé par le thermes « loup-garou » L.63 qui révèle la naïveté de Sganarelle, celui-ci respectant le loup-garou à l’égalité de tous les dogmes Chrétiens. De même, on remarquera que toute cette description verbeux et truffés de référence pseudo-culturel prise à l’antiquité tel que «un pourceau d'Epicure, un vrai Sardanapale » qui traduise les prétentions inginu de Sganarelle à la philosophie. - Enfin pour complète ce portrait amoral de Dom Juan

précision basée sur la succession des dates indiquées à chaque épisodes. En effet le narrateur évolue dans un décor réel, dans des endroits qu'il serait possible de situer sur une carte et où n'importe quel lecteur pourrait se rendre. De plus, la description est précise.

partageait le troisième lit avec sa sœur Alzire, si chétive pour ses neuf ans, qu’elle ne l’aurait même pas sentir près d’elle, sans la bosse de la petite infirme qui lui enfonçait les côtes. » (texte 1, colonne 1, au bas). La redondance dans la description des lits qui sont partagés entre frère et sœur, le manque d’espace pour chacun ainsi que le manque de confort permettent au lecteur de comprendre que la famille de mineur n’a aucun confort. Le manque de confort et la santé surabondante de la jeune