Dessin d'architecture

Norman Rockwell, assis de dos à califourchon sur un tabouret. Devant lui se trouve une toile, il se penche pour regarder son reflet dans le miroir situé à sa gauche sur une chaise. Le peintre tient dans sa main droite un pinceau avec lequel il se dessine sur la toile en noir et blanc. Le reflet du miroir est celui de l’artiste en train de se regarder : mêmes taille, couleurs, posture. Ses yeux ne sont pas visibles, puisqu’ils sont dissimulés derrière ses lunettes. Il tient dans sa bouche une pipe

s’élaborent à partir de cette matière cloisonnée par aplats différenciés qui s’exaltent en se juxtaposant. Le cerne, par lequel ils se lient entre eux et s’assemblent pour se rendre lisibles, n’est déjà plus celui de Manet enserrant la couleur dans son dessin, mais il en accomplit les virtualités. Le cerne n’est jamais n’est jamais expressif ; il tranche dans la couleur, il compose avec elle et l’ordonne figurativement. L’Enfant au Pigeon prélude à la période bleue, ce bleu qui n’est encore ici qu’une

Pologne et décédé en 1985, est né d’une famille juive. Il devient français et se fait arrêté plus tard. Il est déporté à Auschwitz. Il sera libéré quelques années plus tard par l’armée américaine. Puis témoignera de ce qu’il a vu en peintures ou dessins comme celle-ci : « The oven room ». Description et Interprétation : Au premier plan, je vois un groupe de personne (deux adultes, trois enfants et un nouveau-né). Le fait qu’ils se tiennent la main pourrait faire croire qu’ils appartiennent

HARING : Au début des années 1980 à New York, un jeune homme parcourt les lignes de métro, de Brooklyn à Harlem, en passant par Manhattan, une boîte de craies blanches à la main. A chaque station il recouvre les panneaux publicitaires vides de dessins. D'un seul trait, rapide et précis, il trace des lignes et des formes simplifiées à l'extrême. Il faut faire vite, pour ne pas se faire repérer par la police. Il investit alors tous les lieux publics avec des fresques géantes aux couleurs vives aux

surréalisme. Il est l'un des plus importants artistes du XXe siècle, tant par ses apports techniques et formels que par ses prises de positions politiques. Il a produit près de 50 000 œuvres dont 1 885 tableaux, 1 228 sculptures, 2 880 céramiques, 7 089 dessins, 342 tapisseries, 150 carnets de croquis et 30 000 estampes (gravures, lithographies, etc.)2. Sommaire 1 Biographie 1.1 Enfance et famille 1.2 Le peintre débutant 1.3 Période bleue 1.4 Période rose (1904-1906)

David ou, d’une certaine façon Delacroix existèrent, c’est qu’il y eut d’abord Simon Vouet » A propos du tableau : La crucifixion, est un huile sur toile de 216 centimètres de haut sur 146 centimètres, on ne connait actuellement pas de dessins ou d’esquisses préparatoires. Le thème de cette peinture est, comme son nom l’indique, la Crucifixion. On y retrouve tous les éléments du baroque : une exagération certaine du mouvement, on retrouve une tension et un effet dramatique et un grand contraste

scientifique, ingénieur, inventeur, anatomiste, peintre, sculpteur, architecte, urbaniste, botaniste, musicien, poète, philosophe et écrivain. Il liait ces différentes connaissances pour tous ses travaux. (Anatomie -> dessins humains) Son journal : * Plus de 13'000 pages de notes, dessin, croquis qui associent art et philosophie naturelle. * Il écrivait en écriture miroir. * Carnets récupéré et exposé dans différents musée (Louvre, Bibliothèque National d’Espagne. Médecine et anatomie :

l’aspect du patriotisme pendant la 1e guerre mondiale ; « les familles sont heureuses malgré leur deuil ». A) Décrire les caractéristiques graphiques de l’image Les dessins sur cette planche sont en noir et blanc avec des nuances de gris ce qui fait penser à des xylographies et un style graphique. Les personnages sont dessinés de façon naturaliste : sur la planche, les armes sont dessinées telles qu’elles sont dans la réalité ainsi que les visages des différents personnages et le dessinateur représente

d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l’Équatype. Au fil du temps l'Image d’Épinal se transforme. Le tableau unique est complété par la planche composée d'une histoire, de dessins, de chanson. Une devinette Épinal:Parmi la production de l'imagerie d'Épinal, on trouve les « devinettes ».

l’entourent. -Développement affectif : Besoin d’être sécurisé, accapare beaucoup les adultes, vit en fonction de ses émotions. -Développement du langage : Age du questionnement « quand ? », « comment ? » -Développement du graphisme : L’enfant dessine tout ce qu’il sait des choses. Caractéristiques générales des jeunes de 6-8 ans - Morpho-biologique : Fragilité osseuse - Psychomoteur : Difficulté pour courir, sauté, distance mal apprécié, notion de temps à construire, latéralisation non