Deux Arguments De Hume

dise ; il n'y a que des Européens." Jean-Jacques Rousseau, 1771. [à continuer]Le XVIIIe siècle : le siècle des Lumières La liberté par les lois, c'est d'un bout du 18e siècle à l'autre ce que soutiennent ces deux pôles de la pensée du politique, Montesquieu et Rousseau, pendant que Hume en Angleterre et Condillac en France renouvellent les modèles de la connaissance et que Voltaire combat le trône et l'autel, les piliers de l'ancien régime au nom de la tolérance et de la liberté de pensée. L'Encyclopédie

les tenants d'un rationalisme pur (Descartes, Spinoza), pour qui les catégories de la raison humaine suffisent à déterminer le monde, et les partisans d'un empirisme/réalisme complet (Locke, Hume), pour lesquels le réel s'impose à notre pouvoir de connaître. Voici un tableau des grandes oppositions entre ces deux courants doctrinaux : EMPIRISME | RATIONALISME | Connaissance a posteriori | Connaissance a priori | Perception | Intellection | Idées acquises | Idées

conceptuels qu’il recouvre. En fait, la théorie de l’identité se présente, pour une large part, comme un ensemble de tentatives en vue d’en déterminer le sens. Ou le non-sens: tel fut le propos de la critique de David Hume. Signification de l’identité À quelle expérience, demande Hume, se réfère l’idée d’identité, étant entendu qu’à toute «idée» une «impression» empirique doit correspondre? La singularité de chaque objet nous procure l’idée d’unité (au sens d’unicité), non celle d’identité. Et la

La nausée Folio Sartre Huis clos Folio Shakespeare Othello, Macbeth Poche Stendhal De l’amour Flammarion Proust Un amour de Swan Folio Dostoïevski Les frères Karamazov Poche Camus L’étranger Gallimard Balzac Mémoire de deux jeunes filles rangées Gallimard LA CULTURE Sartre Les mots Gallimard Lucien Malson Les enfants sauvages, 10/18 Lévi-Strauss Race et histoire, Editions Gonthier, Médiations. Freud L’avenir d’une illusion, P.U.F. Freud Malaise

la « morale »). En effet, pour savoir comment apprendre la morale, il faut analyser la teneur de la morale elle-même. Indifférence aux critères de la conduite, elle-même suspendue à un jugement. Il faut restituer l’argumentation de l’auteur, ses arguments clé - manque de lucidité sur ses propres présupposés. Très souvent, l’introduction montre des présupposés qu’on a choisis, et qui ne posent pas problème, à tort. Les présupposés, faux, les plus fréquents : ★ apprendre  savoir théorique  application

de progrès de vérités de faits (sciences naturelles) mais dans le domaine des mathématiques ou de la logique (vérités de raison ?). 2. Formulation du problème a. Théorie Vous trouverez, au travers de vos lectures d’Annales de bac, l’usage de deux termes pour désigner souvent la même chose : le problème et la problématique. On peut énoncer de façon conventionnelle que la problématique désigne le problème plus ses enjeux et le plan. Dans un premier temps il faut identifier et formuler le plus

avancer le monde. De plus toute réflexion va-elle mener à la réfutation de la croyance, la croyance doit-elle être abolie pour parvenir au savoir qui est le fruit de la réflexion ? De même il s’agit ici de voir si la croyance et la réflexion sont deux choses compatibles ou inconciliables. Il faudra donc savoir ce qui dissocie la croyance de la connaissance, du savoir. Dans quelle mesure, la croyance et le savoir sont compatible mais aussi si la négation de ses croyances est une étape infranchissable

distinguer : • le mal physique, souffrance qui affecte une créature intelligente et sensible ; • le mal métaphysique, ou imperfection de la créature ; • le mal moral, comme faute. Parmi les problèmes que suscite l'existence du mal, deux ont une importance particulière : savoir ce qu'il est et pourquoi il existe ; savoir s'il est possible de vouloir le mal. |Sommaire | |[masquer]

nous voulons apporter à ces questions reflètent à la fois notre propre expérience de l’enseignement de la philosophie du droit aux étudiants en droit et la conception du droit qui nous inspire. L’une est nécessairement reliée à l’autre, comme les deux versants d’une montagne. L’idée et le rôle que le chercheur se fait de la philosophie du droit, doivent nécessairement se refléter dans l’enseignement de celle-ci. Il s’ensuit que la description de notre enseignement de la philosophie du droit se

idées ainsi que notions tout en s’appuyant sur des exemples pertinents et actuels (XX° et XXI° siècles). La première partie résulte d’une analyse et d’une réflexion sur les frontières dans le monde, comment sont-elles réglées et clôturées ? Dans les deux dernières parties de l’ouvrage, Michel Foucher place l’Europe au cœur de sa réflexion sur ces frontières qui l’obsèdent. Les problèmes d’émergence continue et de confins sont les points de départ de son travail de recherche pour ces parties. La première