Diagnostic Externe Credit Mutuelle

APPROCHES STRATEGIQUES 204 8.3 – LE DIAGNOSTIC EXTERNE 208 8.4 – LE DIAGNOSTIC INTERNE 212 8.5 – LA REPRESENTATION SYNTHETIQUE DES ANAL. STRATEGIQUES 216 8.6 – LES STRATEGIES CORPORATE 220 8.7 – LES STRATEGIES BUSINESS 225 8.8 – LES MODALITES ET LES CONTRAINTES STRATEGIQUES 228 8.9 – LA MISE EN ŒUVRE DES STRATEGIES 232 9.1 – LA COMMUNICATION 235 9.2 – LA COMMUNICATION INTERNE 240 9.3 – LA COMMUNICATION EXTERNE 244 9.4 – L’ORGANISATION DE LA COMMUNICATION

fonctionnement d’une firme, face aux risques auxquels elle est exposée en se servant d’informations internes et des sources externes »[1] Ainsi pour les auteurs CONSO P. et COLTA A. (1981) « L’analyse financière a pour objectif de rechercher les conditions de l’équilibre financier de l’entreprise et de mesurer la rentabilité des capitaux investis. Elle vise à établir un diagnostic sur la situation actuelle pour servir de support à un pronostic »[2]. En nous basant sur les conclusions des auteurs

constitue une opportunité dans la perspective de la contractualisation, jusque là peu utilisée. Devant la multitude et la diversité des acteurs que sont l’État, les Collectivités Locales, les Établissements Publics de Santé, les Comités de santé, les Mutuelles de santé, les ONG, les Organisations Communautaires de Base (OCB) entre autres et devant le nombre important d’expériences de contractualisation, on a assisté à la naissance d’un partenariat mutuellement bénéfique et à la prise d’initiatives offrant

(politique et social !) et le tableau est complet … et la situation complexe ! A.b) Structure des pouvoirs et des flux organisationnels à l'hôpital Le sommet stratégique ambigu rend impératif les concertations et les négociations sociales (internes et externes). La ligne hiérarchique brisée rend obligatoire (et d’ailleurs souligné dans la loi sur les hôpitaux) les négociations et concertations avec le corps médical. 4 L’hypertrophisme de la dimension “logistique” (technique) est la conséquence de

l’Air ABM = Agence de BioMédecine AC = Action Coordonnée AC = Aide à la Contractualisation AC = Autorité Compétente ACAATA = Allocation de Cessation Anticipée d’Activité des Travailleurs de l’Amiante ACAM = Autorité de Contrôle des Assurances et des Mutuelles ACBUS = Accords de Bon Usage des Soins ACIF = Association des Cliniques Indépendantes de France ACOSS = Agence Centrale des Organismes de Sécurité Sociale ACP = Analyse de Composantes Principales ACP = Anatomo-Cyto-Pathologie ACS = Attestation de

de concertation, de travail en société de culture et d’entraide. Elle sert de relais aux structures d’encadrement et permet une gestion concertée de la filière coton, - des mécanismes d’approvisionnement en intrants agricoles et de gestion de crédits rodés, - un taux d’équipement relativement plus élevé comparativement au reste du pays, - du coton de bonne qualité en raison de la récolte manuelle et compétitif sur le marché, - l’existence de mécanismes de fixation et d’annonce du prix

macro-économique se retrouvent au niveau micro-économique de l’entreprise de service. Le caractère multidimensionnel des résultats et des effets du service, ainsi que l’importance des relations entre de multiples acteurs internes et externes pour atteindre ces effets, rendent le diagnostic des résultats au travers de mesures précises particulièrement difficiles. Lorsque des efforts de mesure et de quantification sont mis en place pour contrôler l’activité, ils ne se limitent pas aux seuls résultats immédiats

interprofessionnelle (la banque n’est pas maîtresse de son offre, ni de ses prix entre autre l’influence de la politique des gouvernements). ı La notion du risque est très forte (manipulation de l’argent). ı La position de la banque demeure forte pour vendre (crédit), mais faible pour acheter (ressources). ı Le manque de protection à l’innovation (pas de brevet possible entraînant une certaine difficulté pour différencier ces produits de façon durable). ı Le degré de culture du client, lorsqu’il s’agit des

TRUCHI Jacques DENIZEAU Yves MEDINA Anne-Marie LAVIGNE Gouvernance, Éthique, Gestion des Risques Comités d'audit et administrateurs Nicole GOULARD Marie SUPIOT Rémunération des dirigeants Thierry RAES Développement Durable Rémi MONTREDON Crédit d’Impôt Recherche Olivier MARION Vincent LE BELLAC Edith BACCICHETTI Prévisions de Trésorerie, BFR, Endettement Ludovic DE BEAUVOIR Dominique BERNARD Daniel GIFFARD-BOUVIER Priorités, Coûts, Investissements Noël ALBERTUS Alain CALMÉ Hervé

interprofessionnelle (la banque n’est pas maîtresse de son offre, ni de ses prix entre autre l’influence de la politique des gouvernements). La notion du risque est très forte (manipulation de l’argent). La position de la banque demeure forte pour vendre (crédit), mais faible pour acheter (ressources). Le manque de protection à l’innovation (pas de brevet possible entraînant une certaine difficulté pour différencier ces produits de façon durable). Le degré de culture du client, lorsqu’il s’agit des particuliers